Après l’école de Béziers incendiée la semaine dernière, après le chapiteau de Chanteloup-les-Vignes, c’est un lycée de Nantes, le lycée Albert Camus, qui vient d’être incendié par des sacro-saints « djeunes » sur qui les autorités n’osent sévir.
Incendier, vandaliser, agresser, auxquels maintenant se rajoute l’école buissonnière pour « sauver » le climat, sont les passe-temps d’une jeunesse désœuvrée, inculte, et dont l’ignorante ne fera qu’empirer. Ils témoignent aussi de l’échec tant des multiples réformes de l’Education nationale, cache-misères d’un système scolaire d’où l’excellence et le savoir sont bannis, que de l’intégration.
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info