De Bernard Antony :
Sous bien des aspects, les marches « contre » l’extrême-droite dites pour les libertés organisées ce samedi, ont ressemblé à des gays-pride. Mais cette fois à des gays-pride dans lesquelles les sodomites blancs devaient être bien gentiment soumis à l’autorité des dominants « woke » et « racisés » et de l’idéologie « décoloniale ».
Ainsi, à Lyon notamment, mais aussi à Paris les vocifératrices racisées de la lesbiennocratie ont-elles imposé leurs slogans explicitement racistes « Les blancs derrière ! » et encore, « Les mecs derrière ! »
Et, à ce que nous en avons vu sur les réseaux sociaux, les mecs blancs bien disciplinés sont en effet passés sans broncher derrière les orgueilleuses nénettes noires dominatrices.
Mais des fois, bien sûr, qu’il y en aurait à n’avoir pas apprécié ces injonctions au respect de la hiérarchie raciale, l’Agrif, pourrait éventuellement prendre leurs plaintes en considération…
Notons à propos de ces marches la révélatrice absence des femens !
Lesbiennes peut-être, mais trop uniformément blanches pour les indigènes bronzées de la République, et par trop dénudées pour les islamo-gauchistes, charia oblige !
On a aussi entendu scander « les cachets d’aspirine derrière !» Slogan visant à l’évidence les plus blancs des blancs.
Mais alors pourquoi avoir momentanément rendu le camarade Mélenchon lui aussi encore plus blanc que blanc par un impitoyable enfarinement le faisant encore plus clown que d’ordinaire.
Selon nos informations, ce mini attentat à la blanche farine, de haute portée symbolique, aurait été concocté par des racisées de naissance proches des Bouteldja et autres Traoré pour lui rappeler qu’il aura beau dire et beau faire, tant qu’il n’aura pas fait jusqu’au bout son chemin de conversion à l’islam, il demeurera un enfariné de roumi.
Source : lesalonbeige