Kaboul est tombée. Les Talibans sont de retour aux affaires en Afghanistan, eux qui ont une longue mémoire et qui n’ont jamais renoncé, contrairement à nos dirigeants occidentaux qui devraient être jugés pour 20 années d’échecs et de sacrifices de jeunes soldats, notamment des Français, morts pour des intérêts qui n’étaient pas les nôtres.
Ils ne seront malheureusement sans doute jamais jugés et enfermés pour avoir commis le crime d’envoyer à la mort de jeunes forces vives de France, du Royaume-Uni, des USA, face à un ennemi qui lui, ne faisait que défendre sa terre, sa tribu, sa religion, contre l’envahisseur occidental qui voulait lui imposer, à coup de bombardements, le « progrès » et la démocratie.
C’est raté. Les Talibans sont de retour, grâce à une BlitzKrieg, une guerre éclair, et à la capitulation très rapide (trop rapide pour être honnête) des autorités actuelles, sans compter le départ des Américains, et l’abandon sur place y compris de personnels qui avaient travaillé pour eux (ce qui signe leur arrêt de mort et qui démontre à quel point ceux qui nous dirigent, ici en Occident, sont des ordures sans honneur ni parole).
Mais passons sur le sujet qui devrait tous nous intéresser nous, les Européens. L’arrivée dans les prochains mois de millions de réfugiés afghans à nos frontières. Sachant qu’ils constituent déjà aujourd’hui la majorité des demandes d’asile en Europe.
Sachant que l’Europe est submergée migratoirement et menace d’exploser rapidement dans le chaos si nous continuons à ouvrir nos frontières au monde entier venu dans l’illusion de trouver paix et refuge chez nous, mais en conservant sa culture, sa tradition, sa religion… et pour l’Afghanistan, cela signifie totalement incompatible avec notre civilisation.
Nous ne pratiquons pas le Bacha Bazi, nous les Européens. Nous ne voilons pas nos femmes. Nous ne considérons pas que la lapidation ou le viol soient des choses acceptables. Nous n’avons pas pour religion principale l’Islam. Et puis, tout simplement, nous ne voulons pas de ces Afghans parce que nous n’avons pas de place, ni de paix à vous offrir, chez nous.
Il faut arrêter avec ces images de l’aéroport de Kaboul noir de monde prêt à partir, ces bébés mis en avant, et demain, ces caravanes humaines qui traverseront l’Asie jusque la Turquie pour demander l’asile dans nos pays européens.
Il faudrait destituer, condamner même, les élus politiques qui, une fois de plus, appellent à accueillir le réfugié, le nouveau Dieu « Autre », comme si c’était un devoir obligatoire.
C’est très triste sans doute pour ceux qui veulent fuir. Mais cela ne nous regarde pas. Nos yeux, nos coeurs et nos âmes sont suffisamment préoccupées à façonner et à se battre pour l’avenir de nos enfants, demain, ici en Europe, et à tenter d’en finir avec la société totalitaire qui se construit ici chez nous, que nous n’avons plus la moindre capacité d’accueillir, ni de penser à ce qui se passe hors d’Europe.
Ceux qui aujourd’hui cherchent à vous faire verser des larmes sur le sort de ces nouveaux réfugiés à venir, après les Syriens, après les Erythréens, après les Haïtiens ou les Rwandais, le feront avec toute la planète s’il le faut. Ils pensent que le monde n’a pas de frontière et que l’accueil doit être quasiment inconditionnel.
Il est temps d’en finir avec ces illusions, qui n’apportent qu’une chose sur notre continent : la guerre, la société d’insécurité permanente, les tensions communautaires, ethniques, religieuses doublées de celles économiques et sociales du fait d’une concurrence de plus en plus rude sur le marché du travail (l’immigration n’enrichit que les patrons).
Il faut que les élus aillent dire droit dans les yeux à cette famille, dont le garçon a été violé par un Afghan il y a deux ans à Saint-Brieuc, au nom de sa folie et d’une tradition culturelle traditionnelle dans son pays, pour leur annoncer qu’ils veulent accueillir d’autres criminels potentiels, d’autres vecteurs d’instabilité et de remise en question de notre « vivre ensemble ».
Pas un seul Afghan ne doit passer la frontière européenne. Ceux qui sont ici en attente d’asile doivent être expulsés, comme tous les peuples qui sont sur notre territoire et qui n’ont rien à y faire ; Nous n’avons plus le temps de nous apitoyer sur le sort des autres.
Il faut sortir de toutes les conventions internationales qui nous obligent.
Il faut embaucher des soldats et des personnels accompagnants (plutôt que d’embaucher des vigiles migrants partout dans le pays pour contrôler le droit des Autochtones à se faire soigner ou à faire des courses) et charger en masse des avions à destination de toutes les destinations de la planète.
Tout le monde dehors. Et que ceux qui penseraient cette tribune inhumaine aillent se faire voir. Nous, défenseurs de notre peuple, n’avons aucune leçon d’humanité à recevoir venant de gens qui par leurs appels d’air constants, se comportent réellement comme des criminels contre leur propre peuple, un peuple dont le sang coule chaque jour, et de plus en plus, sur les trottoirs de nos métropoles…
L’Afghanistan aux Afghans, l’Europe aux Européens.
Julien Dir
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Source : breizh-info