Auteur : Léo Kersauzie
Ça valait le coup de se faire injecter du poison pour pouvoir retrouver « lavidavan ».
En tout cas, ces gendarmes ont une nouvelle fois prouvé qu’ils faisaient un bien joli métier…
« Imaginez dix gendarmes qui pénètrent dans la salle, en pleine projection, font rallumer les lumières. Les spectateurs ont cru à un risque d’attentat, d’autant qu’il y avait des enfants » , témoigne, jeudi 23 décembre, un des salariés du cinéma Émeraude de Châteaubriant. L’unique cinéma de Châteaubriant a décidé de fermer ses portes « jusqu’à nouvel ordre ».
Source : medias-presse.info