Le Parti de la France a d’abord été une réaction politique et idéologique aux errements, aux abandons et aux trahisons du Front National, en 2009, deux ans avant que Marine Le Pen ne transforme le parti de son père en une espèce de conglomérat souverainisto-progressiste.
Ainsi, cela fait plus de 13 ans que le PdF défend les idées qui auraient dû rester celles de toute la droite nationale, un triple respect sur lequel notre civilisation s’est bâtie et se rebâtira : le respect du travail et des travailleurs, le respect de la famille et de la vie, le respect de la patrie et des héros qui ont fait la France.
Ces idées, qui ont l’air naturelles, sont pourtant foulées aux pieds par la gauche et les agents de l’anti-France, ce qui n’est pas surprenant, mais également par ce qui nous est présenté comme la droite et son extrême. On ne trouve plus, aujourd’hui, de LR au RN, de cadres pour rappeler qu’aucune société saine ne peut se construire sur la banalisation de l’avortement, de la pornographie, de l’homosexualité, de la gestation pour autrui, de la PMA sans père ou sans mère, et de la toute-puissance du trio infernal oisiveté-malbouffe-divertissement.
Eh bien le Parti de la France, lui, depuis maintenant 13 ans, est en quelque sorte la boussole de la famille politique nationale. C’est lui qui organise des manifestations contre l’immigration, qui envoie ses cadres et ses militants dans les manifestations pro-vie, qui organise chaque année un hommage à sainte Jeanne d’Arc, qui envoie des candidats aux élections ou qui appelle à soutenir les candidats les plus proches de nos idées ou en tout cas les candidats les moins nocifs à notre peuple et à notre patrie.
C’est parce que le Parti de la France martèle depuis 13 ans ce que la droite nationale a toujours martelé avant de devenir obsédée par la dédiabolisation, notamment par ses candidatures, ses meetings, ses communiqués et la diffusion de son matériel militant (affiches / tracts / autocollants), que les idées utiles à notre peuple et à notre patrie ne sont pas tombées dans l’oubli et qu’hier un candidat a pu s’en saisir, même si c’était assez imparfait, et notre but est de poursuivre ce patient travail d’imprégnation de nos idées parmi la population, mais aussi parmi les cadres du mouvement national pris dans son ensemble.