Au cours du conseil municipal de Lyon du 7 juillet dernier, plus de 20.000 euros ont été votés à des collectifs LGBT : le collectif Lié.é.s, mouvement intersectionnel qui dénonce « l’islamophobie », accuse la police de racisme et défend la cause LGBT.
À Grenoble, Éric Piolle soutient financièrement le « mois décolonial », événement au cours duquel les partisans de thèses racialistes et décoloniales, à l’instar de Taha Bouhafs ou Assa Traoré, s’expriment en toute liberté. Pendant deux ans, la majorité grenobloise a ainsi soutenu l’Alliance citoyenne, collectif militant notamment pour le port du burkini dans les piscines municipales.
A Annecy, la demande de subvention est corrélée au respect du projet politique de majorité écologiste. Dans leur dossier de subvention, il est ainsi demandé aux associations de décrire « leurs pratiques en matière d’inclusion, d’écologie, de vitalité démocratique et de promotion de l’économie locale ».
Source : Boulevard Voltaire