Selon Christelle Comet, porte-parole de l’association “Mamans Louves”, la manière dont on aborde la sexualité avec les enfants peut avoir des conséquences néfastes sur leur développement psycho-affectif. Elle cite l’exemple d’une école de Saint-Etienne où une infirmière scolaire a expliqué à des enfants de 9 à 10 ans ce qu’était la fellation, la sodomie, le cunnilingus, le changement de sexe ou encore de caresser les testicules.
Cela revient à traumatiser les enfants et à faire tout l’inverse de l’objectif fixé. En effet, si l’enfant est confronté à un prédateur sexuel alors qu’on lui a dit que certaines pratiques étaient possibles, il risque d’être davantage exposé. De plus, cela peut inciter les enfants à essayer ces pratiques entre eux.
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