Agents volontaires grassement rémunérés, simples «contacts de confiance» ou «idiots utiles», des grands noms de la presse ont activement travaillé pour le KGB et les services secrets de l’Est pendant la guerre froide. Une «tradition» toujours d’actualité.
Quand le bloc soviétique puisait dans le vivier des journalistes français pour en faire ses espions. Une «tradition» toujours d’actualité. (24/02/2024)
Publié par Guy de Laferrière le 24 février 2024
20:02 | Tags : espions, journalistes français, union soviétique | Lien permanent | Commentaires (0)