Nos pensées vont aussi et même surtout aux femmes et aux jeunes filles, massivement violées entre Normandie, Sicile, Dniepr et Vistule après ce sanglant mois de juin 1944, par les barbares de l’Armée rouge, les G.I. yankees ou, hélas, les soldats des troupes coloniales françaises en Italie.
Nous ne voulons pas oublier non plus toutes les victimes des bombardements à l’aveugle, qui ont anéanti, de Hambourg à Dresde, Rouen, Budapest, Sofia ou Bucarest, tant de magnifiques cités de notre vieux continent.
Nous refusons de voir couler le sang des fils de France et d’Europe dans des guerres au service d’intérêts étrangers.
Mais l’histoire nous apprend que tout est affaire de volonté et que rien n’est donc jamais définitivement perdu : retroussons nos manches, relevons ensemble les remparts, les tours, les palais et les églises de notre fière Forteresse Europe !