Cette déclaration, nous la devons à Béatrice Dalle, samedi dernier, sur un plateau de télévision du service public.
Même si elle ne va pas jusqu’au délire de certaines féministes qui vont jusqu’à promouvoir le fait de ne pas faire d’enfants, cette citation récente de l’actrice est l’occasion de faire quelques rappels nécessaires sur ce sujet en ces temps d’inversion des valeurs et de confusion générale.
Le but de la vie (sauf cas habituels comme la stérilité, la vie religieuse, etc.) est – après celui de faire le salut de son âme – de donner la vie, c’est ainsi que toutes les sociétés sont nées et se sont maintenues jusqu’aujourd’hui, et c’est également un commandement divin (Genèse 2:24 : C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à une femme, et ils deviendront une seule chair).
Ceci étant dit, et la priorité remise à l’endroit (si l’on ajoute à cela l’éducation des enfants), il est temps maintenant de se pencher sur l’argument de certaines féministes qui poussent la contradiction jusqu’à nier ce qu’est une femme, et notamment en refusant de tomber enceinte pour ne pas devenir des “poules pondeuses” comme le dit par exemple la lobbyiste féministe – et enseignante à Sciences Po – Elsa Foucraut. Au-delà du caractère profondément misogyne de qualifier les femmes enceintes de “poules pondeuses”, il s’agit d’une véritable attaque contre ce qui fait une femme, sa différence et sa complémentarité d’avec l’homme : sa capacité à héberger et donner la vie, une qualité qui pousse par exemple l’ensemble du monde chrétien à s’agenouiller devant la sainte mère de Dieu, Marie. Dénigrer – ou nier pour les radicaux – cette qualité intrinsèque des femmes, revient à nier la féminité et, en bout de chaîne, à refuser la vie. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si 100% de ces féministes sont également des militantes actives de l’assassinat des enfants dans le ventre de leurs mères (IVG).
Autre argument, celui de certains écologistes, qui déclarent que faire des enfants c’est faire du mal à la planète. Cet argument part du principe que la planète se réchauffe dangereusement, que ce réchauffement dangereux est d’origine humaine, et que la solution à ce danger c’est d’arrêter de produire du CO2 et donc d’arrêter de faire des enfants, car pour ces “écologistes”, la vie (le CO2) c’est la mort (logique “écolo”…). Cet argument des prétendus écologistes est globalement réservé aux populations blanches, biais racial justifié par ces “antiracistes” par le fait que ce sont les Blancs qui seraient le plus grand problème pour le CO2, même s’ils ne représentent qu’une ultra-minorité des 8 milliards d’humains…
De ces deux arguments, féministe et écologiste, on déduit le schéma habituel de toute la propagande antinaturelle et anticivilisationnelle : le combat contre le Christ et contre les Blancs.
Cette persistance, qu’on retrouve sur absolument tous les “sujets de société” qui sont en en fait des sujets imposés aux peuples blancs par des gens qui les détestent, rendent Béatrice Dalle et tous les gens de cette espèce de parfaits propagateurs d’une idéologie antiblanche et antichrétienne dont on sait bien d’où elle vient : la synagogue de Satan et les loges qui la servent.