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Position du Parti de la France sur le conflit israélo-palestinien : (24/09/2025)

Publié par Guy Jovelin le 24 septembre 2025

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Thomas Joly

L'IA Grok résume à peu près bien la position du Parti de la France sur le conflit israélo-palestinien :
Le Parti de la France (PdF), un parti nationaliste d'extrême droite, adopte une position de neutralité affirmée sur le conflit israélo-palestinien, souvent résumée par l'expression « Ni keffieh ni kippa », qui rejette à la fois un soutien aux Palestiniens et aux Israéliens. Cette stance est mise en avant dans des émissions et déclarations de ses cadres, comme lors d'un forum dédié au sujet où ils dénoncent l'« hystérisation » du débat en France. Le parti critique régulièrement ce qu'il perçoit comme un biais pro-israélien dominant dans les médias français (par exemple, accusant CNews d'être une « chaîne de propagande du gouvernement israélien ») et dans la classe politique, y compris au sein du Rassemblement national (RN), qu'il accuse de soumission à Israël pour obtenir une légitimité internationale.
Sur les actions spécifiques :
- Le PdF condamne les crimes du Hamas, comme l'assassinat de la famille Bibas, qualifié d'« ignoble », mais pointe du doigt une symétrie avec les « massacres » de familles palestiniennes par l'armée israélienne, soulignant un traitement médiatique inégal.
- Il critique les frappes israéliennes contre l'Iran (considérées comme une escalade irresponsable et contraire au droit international) et le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, décrit comme menant une politique « belliciste et dangereuse » qui expose la région à un « engrenage tragique » et massacre les Palestiniens.
- Le parti s'oppose à la reconnaissance de l'État palestinien par Emmanuel Macron, la qualifiant d'« à contretemps » et d'inutile alors que Gaza est un « champ de ruines », tout en appelant à une désescalade générale sans ingérence étrangère.
Globalement, le PdF adopte une approche souverainiste et non-interventionniste, priorisant les intérêts nationaux français (comme l'immigration ou l'économie) sur ce conflit lointain, qu'il juge surmédiatisé et sans impact direct sur la France. Il n'exprime aucune sympathie pour le régime iranien ou le Hamas mais rejette toute allégeance à Israël, vu comme un État influençant indûment la politique française via des lobbies. Cette position s'inscrit dans une ligne plus large de diplomatie indépendante, refusant la soumission aux États-Unis et favorisant un partenariat avec la Russie.

11:00 | Tags : conflit israélo-palestinien | Lien permanent | Commentaires (0)