La rumeur prend de plus en plus d’ampleur dans les rédactions et commence à prendre de la consistance.
Les interrogations sur la psychologie d’un président dont personne ne comprend plus les actions paradoxales, voire totalement contradictoires, ont débouché sur une hypothèse étonnante : et si c’est Brigitte qui décidait et Emmanuel qui obéissait ?
Nous ne prendrons, pour étayer cette éventualité, que deux derniers faits étranges :
– la gifle que madame à infligé à monsieur lors de leur voyage au Vietnam le 25 mai 2025, acte décrit par les concernés comme « un moment de détente et décompression après 16h de voyage, et avant l’enchaînement de trois visites d’État en cinq jours ».
– la sortie, quelque peu vulgaire et virile, de Brigitte traitant de « sales connes » les néo-féministes d’ultra-gauche venues interrompre le spectacle de l’humoriste Ary Abittan.
Ceux qui connaissent de près Brigitte – et qui s’en sont éloignés – évoquent une femme autoritaire, parfois cassante, voire manipulatrice et qui pratique une quasi emprise maternelle sur son ancien élève.
Les anciens conseillers, et véritables ex-mentors, d’Emmanuel Macron, Alain Minc et Jacques Attali n’ont pas de mots assez durs, et méprisants, envers une marionnette qui leur a échappé des mains et qui se comporte comme un enfant perturbé.
Et si cet « enfant perturbé » n’obéissait plus, en fait, qu’aux injonctions, plus au moins affectives, de celle qui fut son professeur de théâtre adulé ?
Derrière ce « théâtre d’ombres », la rumeur gagne les réseaux sociaux, honnis par Emmanuel, et éclaire d’un jour nouveau la vraie place de Brigitte.
Rastignac
Source : medias-presse.info