L’islamophobie se définit comme la peur ou la crainte de l’islam ; le sens a été tordu vers la notion d’une hostilité envers l’islam et les musulmans.
Les courants intégristes implantés sur notre territoire tels que les Frères musulmans du CCIF tentent d’obtenir la qualification de la critique de l’islam en islamophobie pour mieux tirer bénéfice des frustrations, jouer sur les replis identitaires religieux des populations d’origine et faire du religieux le critère absolu de différenciation, de partage.
Le Haut Conseil à l’intégration français rappelle qu’en République, la critique de la religion, comme de toutes les convictions, est libre, est constitutionnellement garantie et fait partie de la liberté d’opinion et d’expression, et ne saurait être assimilée au racisme et à l’islamophobie.
L’usage du terme islamophobie sert à tordre la perception du citoyen en édulcorant la réalité pour mieux la manipuler.
Les musulmans peuvent brandir l’islamophobie pour bannir toute critique de l’islam, cela ne doit pas nous décourager :
L’islam est incompatible avec notre société.
Qui tue qui en France et en Europe au nom d’Allah et du Coran ?
Depuis les années 80 et Abou Nidal, on dénombre plus de 200 attentats liés à l’islam perpétrés en France.
L’islamophobie sert en fait à cacher la francophobie pour la France et la christianophobie pour les Européens pour mieux accepter sans discussions l’implantation de l’islam en terre de mécréance chrétienne ; les déclarations de différents agents d’influence en France permettent de réactiver le sentiment d’appartenance à l’Oumma, de volonté de domination et de sécession du pays.
Luiz Veriate
Source : ripostelaique