Coronavirus – Quelques questions à se poser sur les journalistes et la pandémie (27/03/2020)

Publié par Guy Jovelin le 27 mars 2020

Comme pour l’incendie de Notre Dame, aucune question n’est posée sur les causes de cette pandémie. Que s’est il passé à Wuhan ? Nous avons en Chine un laboratoire de recherche bactériologique dit P4, c’est à dire hautement pathogène. Nous avons un ancien patron de l’Inserm, mari de l’ancienne ministre de la Santé qui a inauguré, le 23 février 2017, ce laboratoire créé en collaboration avec un pays si peu démocratique qu’il enrégimente sa population quand elle ne l’envoie pas en laogai ! Nous avons une querelle ancienne sur l’utilité de certains vaccins entre Monsieur Levy Buzyn et le professeur Raoult. Nous avons un décret en février pour classer le médicament du professeur sur la liste des substances vénéneuses par le ministère de la santé encore dirigé par madame Buzyn. Nous avons des laboratoires qui cherchent vite, vite les bons remèdes bien rentables alors que le remède du professeur n’est pas couteux…

Le vrai journaliste ne serait-il pas celui qui pose les bonnes questions ?
Tous les gouvernements ou presque signent des traités de non prolifération d’armes chimiques . La bactériologie ne rentre-t-elle pas dans ces traités ? On signe un accord avec un pays qui a tué des millions d’enfants avec sa politique de stérilisation et d’avortement. N’est-ce pas gênant ? Comment ose-t-on préparer des virus pour tuer l’adversaire ? Pourquoi personne n’interroge monsieur et madame Bill Gates sur leurs véritables intentions philanthropiques et leur bilan déjà réalisé en Inde. Stérilisation forcée et avortement en masse des petites filles aboutissent à un pays sans femme…Pourquoi les féministes ne s’agitent-elles pas sur ce drame ? Pourquoi certains se permettent-ils d’appeler à l’élimination des vieux et des pauvres comme le suggérait Margaret Sanger, la fondatrice du Planning Familial, en 1916 aux USA ?

2ème question
Le professeur Raoult n’a pas que les cheveux longs, il a aussi les idées longues et les recherches poussées. Comment un journaliste qui n’a pas fait dix à quinze ans d’étude peut-il contrer vulgairement un homme de science. La seule attitude correcte et utile d’un journaliste c’est de poser des questions et mettre en valeur un savant, un artiste ou un homme politique si celui-ci en vaut la peine. Le reste est bavardage du café du commerce et on en est saoulé.

3ème question
Est ce au gouvernement et à ses fonctionnaires de décider du travail d’un médecin ? Le professeur Raoult a répondu par la négative. Depuis Hippocrate le médecin est seul responsable devant son malade. Pourquoi les enseignants obéissent-ils au garde à vous à l’Etat, alors que les méthodes imposées par celui-ci ont fait la preuve de leur échec ? Pourquoi les hôpitaux privés n’ont-ils pas joué de leur indépendance pour continuer à soigner ceux qui en avaient besoin alors que leurs lits sont restés vides.
Bref pourquoi et comment sommes nous dans un état totalitaire ? Le soviet suprême décidait des cultures en URSS selon son idéologie très éloigné du réel. Les catastrophes sont arrivées en rafales .

Bref cette pandémie est une occasion inespérée de reprendre notre destin en main. Plus de délégation à l’Etat qui n’a que 3 prérogatives, la justice, la sureté et l’exécutif. Ces 3 domaines laissent à désirer , ils ont du pain sur la planche.

Quand aux journalistes ce n’est pas parce qu’ils ont des salaires faramineux qu’ ils nous impressionnent. Le public réclame de la modestie, de l’information véritable, c’est-à-dire la recherche des faits et des causes. Le reste est bouillie pour les chats.

Anne Brassié

 

Source : medias-presse.info

10:42 | Tags : coronavirus, journalistes, questions à se poser | Lien permanent | Commentaires (0)