« Il n’y a pas un soir où un contrôle ne dégénère pas, assure ce policier en poste à Perpignan. Il y a dix jours encore, le véhicule de nos collègues de la brigade canine a été percuté. C’est une évidence que ces refus d’obtempérer sont liés aux stupéfiants. »
[…] Le Parisien via fdesouche