Il arrive, mais c’est peu commun, que le ministre de l’Intérieur soit flanqué d’une sorte de numéro 2 officiel, comme c’est le cas entre l’ignoble et vulgaire Christophe Castaner et le plus réservé Laurent Nuñez (qui a droit, lui, à son tilde sur le « n » dans les documents officiels de la République, contrairement aux Bretons…).
Le ministre de l’Intérieur est dirigé par un duo.
Qu’est-ce qui explique cette incongruité apparente ?
Le problème est simple.
Macron a voulu mettre un politicien ami à la tête de cette institution capitale, quelqu’un qui lui soit fidèle, doublé d’un « parleur ».
Or Castaner, on le sait, n’est pas très intelligent ni cultivé, mais il est roublard, il a été formé dans les bars louches de Marseille où il fréquentait la pègre, c’est un kéké, qui suit les modes et aime « draguer ».
Il n’est pas doué pour les dossiers, il ne maîtrise pas son sujet ; voyez comme Nuñez doit le reprendre publiquement devant une commission parlementaire :
Castaner n’a pas de passé dans la police ou le corps préfectoral.
Bref, Macron le voulait là pour des raisons politiciennes, ou pire encore, mais cela risquait fort de ne pas passer auprès de la police, de la gendarmerie et des différentes services du Ministère ne comprenant pas quelle est sa légitimité et le trouvant tout simplement trop […].
Pour calmer ce petit monde, on a donc adjoint à Castaner le Nuñez qui a la « qualité », essentielle dans cette institution, d’être… franc-maçon.
En effet, le ministère de l’Intérieur est connu pour être très largement aux mains de cette organisation occulte et ésotérique, antichrétienne et mondialiste.
« 75 % des hauts fonctionnaires de la place Bauveau sont maçons » d’après des auteurs maçonniques eux-mêmes.
La proportion est plus grande encore parmi les hauts gradés de la gendarmerie.
Comme nous le signale une source très bien informée, il fallait, avec un Castaner, mettre un gros franc-maçon pour faire passer la pilule au sein du Ministère…
Merci à Henri
Source : contre-info