Le tabou de l’immigration illégale

Laurent Nunez, actuellement ministre de l’Intérieur, était lundi l’invité de LCI. Interrogé sur les chiffres de l’immigration illégale, il a d’abord tenté de ne fournir aucun chiffre sous prétexte de ne pas alimenter de « polémique ». Le journaliste insiste, ne concevant pas que le ministre de l’Intérieur, en charge de la sécurité nationale, ne puisse pas donner de chiffre aux Français. Finalement, Laurent Nunez déclare du bout des lèvres qu’il y aurait en France «200.000 à 300.000» immigrés en situation irrégulière. Un chiffre ridiculement bas, largement inférieur à celui avancé dans le passé par son prédécesseur Darmanin qui les évaluait entre « 600 000 et 700 000 » personnes.

Quarante-huit heures plus tard, le même Laurent Nunez était interrogé par une autre journaliste, cette fois pour Europe 1. Entretemps la polémique a naturellement enflé. Politiciens, journalistes et réseaux sociaux tirent à boulets rouges contre la mauvaise foi du ministre. Au micro d’Europe 1, il finit donc, au bout de longues contorsions, par lâcher : «La fourchette de 6 à 900.000 me paraît assez cohérente mais le chiffre de 700.000 l’est tout autant». La journalise rappelle évidemment au ministre que ces chiffres sont bien plus importants que ceux qu’il a livrés 48 heures plus tôt sur un autre média. Et voilà Laurent Nunez qui se met encore à mentir comme un arracheur de dents et prétend ne pas avoir donné de chiffres lorsqu’il était sur LCI.

Quelles leçons tirer de tout cela ?

1° Laurent Nunez, ministre de l’Intérieur, ment délibérément et sans vergogne aux Français.

2° Le sujet de l’immigration, en particulier de l’immigration clandestine, reste l’un des grands tabous de la Macronie.

3. Même les chiffres les plus élevés lâchés finalement par Laurent Nunez sont bien inférieurs à la réalité.

Pierre-Alain Depauw

Il arrive, mais c’est peu commun, que le ministre de l’Intérieur soit flanqué d’une sorte de numéro 2 officiel, comme c’est le cas entre l’ignoble et vulgaire Christophe Castaner et le plus réservé Laurent Nuñez (qui a droit, lui, à son tilde sur le « n » dans les documents officiels de la République, contrairement aux Bretons…).
Le ministre de l’Intérieur est dirigé par un duo.
Qu’est-ce qui explique cette incongruité apparente ?

Le problème est simple.
Macron a voulu mettre un politicien ami à la tête de cette institution capitale, quelqu’un qui lui soit fidèle, doublé d’un « parleur ».
Or Castaner, on le sait, n’est pas très intelligent ni cultivé, mais il est roublard, il a été formé dans les bars louches de Marseille où il fréquentait la pègre, c’est un kéké, qui suit les modes et aime « draguer ».

Photomontage Contre-info (la photo de Castaner avec sa coupe « mulet » étant hélas authentique).

Il n’est pas doué pour les dossiers, il ne maîtrise pas son sujet ; voyez comme Nuñez doit le reprendre publiquement devant une commission parlementaire :

Castaner n’a pas de passé dans la police ou le corps préfectoral.
Bref, Macron le voulait là pour des raisons politiciennes, ou pire encore, mais cela risquait fort de ne pas passer auprès de la police, de la gendarmerie et des différentes services du Ministère ne comprenant pas quelle est sa légitimité et le trouvant tout simplement trop […].

Pour calmer ce petit monde, on a donc adjoint à Castaner le Nuñez qui a la « qualité », essentielle dans cette institution, d’être… franc-maçon.

En effet, le ministère de l’Intérieur est connu pour être très largement aux mains de cette organisation occulte et ésotérique, antichrétienne et mondialiste.
« 75 % des hauts fonctionnaires de la place Bauveau sont maçons » d’après des auteurs maçonniques eux-mêmes.
La proportion est plus grande encore parmi les hauts gradés de la gendarmerie.
Comme nous le signale une source très bien informée, il fallait, avec un Castaner, mettre un gros franc-maçon pour faire passer la pilule au sein du Ministère…

Merci à Henri

Source : contre-info