Publié par Guy Jovelin le 13 décembre 2025

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Publié par Guy Jovelin le 13 décembre 2025

Publié par Guy Jovelin le 12 décembre 2025

Publié par Guy Jovelin le 12 décembre 2025
Auteur : Rastignac
La rumeur prend de plus en plus d’ampleur dans les rédactions et commence à prendre de la consistance.
Les interrogations sur la psychologie d’un président dont personne ne comprend plus les actions paradoxales, voire totalement contradictoires, ont débouché sur une hypothèse étonnante : et si c’est Brigitte qui décidait et Emmanuel qui obéissait ?
Nous ne prendrons, pour étayer cette éventualité, que deux derniers faits étranges :
– la gifle que madame à infligé à monsieur lors de leur voyage au Vietnam le 25 mai 2025, acte décrit par les concernés comme « un moment de détente et décompression après 16h de voyage, et avant l’enchaînement de trois visites d’État en cinq jours ».
– la sortie, quelque peu vulgaire et virile, de Brigitte traitant de « sales connes » les néo-féministes d’ultra-gauche venues interrompre le spectacle de l’humoriste Ary Abittan.
Ceux qui connaissent de près Brigitte – et qui s’en sont éloignés – évoquent une femme autoritaire, parfois cassante, voire manipulatrice et qui pratique une quasi emprise maternelle sur son ancien élève.
Les anciens conseillers, et véritables ex-mentors, d’Emmanuel Macron, Alain Minc et Jacques Attali n’ont pas de mots assez durs, et méprisants, envers une marionnette qui leur a échappé des mains et qui se comporte comme un enfant perturbé.
Et si cet « enfant perturbé » n’obéissait plus, en fait, qu’aux injonctions, plus au moins affectives, de celle qui fut son professeur de théâtre adulé ?
Derrière ce « théâtre d’ombres », la rumeur gagne les réseaux sociaux, honnis par Emmanuel, et éclaire d’un jour nouveau la vraie place de Brigitte.
Rastignac
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 12 décembre 2025



Publié par Guy Jovelin le 11 décembre 2025

Alger, qui ne cesse de demander réparation pour les 130 années de colonialisme français, qui a créé l’Algérie, semble avoir oublié que la région a été continuellement sous férule étrangère pendant des siècles : cinq siècles dans l’Empire romain, conquise par les Arabes à partir du VIIe siècle, pour passer sous domination ottomane à partir de 1526. Elle semble aussi avoir oublié son active participation à la traite et à l’esclavage.
Pour la plupart de nos concitoyens, la traite continue à être assimilée à la traite négrière et l’esclavage à résulter de la seule traite atlantique. Pourtant la traite des Noirs en Afrique commença dès la fin du VIIe siècle lorsque, vingt ans après la mort de Mahomet, le général arabe Abdallah ben Sayd partit à la conquête de l’Afrique du Nord. Après avoir conquis l’Égypte, il imposa aux chrétiens de Nubie, par un traité, le bakht, la livraison de 360 esclaves par an, puis il continua vers le Maghreb, nom donné par les conquérants arabes à une région que les Européens appelèrent d’abord Berbérie, car peuplé par les Berbères, puis Barbarie. La traite des esclaves de Barbarie est amplement historiographiée : les marchés d’esclaves du littoral maghrébin, dont l’actif marché d’Alger, se livrèrent pendant des siècles à un lucratif commerce d’êtres humains, tant Africains subsahariens qu’Européens.
Les ports de la côte des Barbaresques, Alger, Béjaïa (Bougie), Tunis ou Tripoli, servaient de base à des expéditions esclavagistes vers l’Europe qui durèrent jusqu’au XIXe siècle. Cette traite est le plus souvent associée à la domination ottomane sur le Maghreb et aux exactions de ceux que l’on appelle les pirates barbaresques. Elle fut en effet particulièrement active à cette époque. Mais elle est répertoriée dès le IXe siècle et devint si préoccupante que la chrétienté s’en émut. Pour ces captifs européens destinés à l’esclavage, il y avait une libération possible, tout aussi rentable pour les traitants : si le captif avait des biens, sa famille était sollicitée pour payer une importante rançon ; il arrivait même qu’un village entier se cotisât pour faire libérer l’un des siens. Mais, pour la plupart des captifs, il n’y avait guère d’espoir. C’est ainsi que Rome, s’inquiétant de la conversion possible de ces prisonniers à l’islam, décida d’agir. Dans ce contexte apparurent des ordres religieux spécifiquement dévolus au rachat des esclaves chrétiens, que l’on appelle des ordres rédempteurs. Leur création au début du XIIIe siècle montre que la traite était déjà bien développée avant l’arrivée des Barbaresques.