Publié par Guy Jovelin le 12 décembre 2025

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Publié par Guy Jovelin le 12 décembre 2025

Publié par Guy Jovelin le 12 décembre 2025
Auteur : Rastignac
La rumeur prend de plus en plus d’ampleur dans les rédactions et commence à prendre de la consistance.
Les interrogations sur la psychologie d’un président dont personne ne comprend plus les actions paradoxales, voire totalement contradictoires, ont débouché sur une hypothèse étonnante : et si c’est Brigitte qui décidait et Emmanuel qui obéissait ?
Nous ne prendrons, pour étayer cette éventualité, que deux derniers faits étranges :
– la gifle que madame à infligé à monsieur lors de leur voyage au Vietnam le 25 mai 2025, acte décrit par les concernés comme « un moment de détente et décompression après 16h de voyage, et avant l’enchaînement de trois visites d’État en cinq jours ».
– la sortie, quelque peu vulgaire et virile, de Brigitte traitant de « sales connes » les néo-féministes d’ultra-gauche venues interrompre le spectacle de l’humoriste Ary Abittan.
Ceux qui connaissent de près Brigitte – et qui s’en sont éloignés – évoquent une femme autoritaire, parfois cassante, voire manipulatrice et qui pratique une quasi emprise maternelle sur son ancien élève.
Les anciens conseillers, et véritables ex-mentors, d’Emmanuel Macron, Alain Minc et Jacques Attali n’ont pas de mots assez durs, et méprisants, envers une marionnette qui leur a échappé des mains et qui se comporte comme un enfant perturbé.
Et si cet « enfant perturbé » n’obéissait plus, en fait, qu’aux injonctions, plus au moins affectives, de celle qui fut son professeur de théâtre adulé ?
Derrière ce « théâtre d’ombres », la rumeur gagne les réseaux sociaux, honnis par Emmanuel, et éclaire d’un jour nouveau la vraie place de Brigitte.
Rastignac
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 12 décembre 2025



Publié par Guy Jovelin le 11 décembre 2025

Alger, qui ne cesse de demander réparation pour les 130 années de colonialisme français, qui a créé l’Algérie, semble avoir oublié que la région a été continuellement sous férule étrangère pendant des siècles : cinq siècles dans l’Empire romain, conquise par les Arabes à partir du VIIe siècle, pour passer sous domination ottomane à partir de 1526. Elle semble aussi avoir oublié son active participation à la traite et à l’esclavage.
Pour la plupart de nos concitoyens, la traite continue à être assimilée à la traite négrière et l’esclavage à résulter de la seule traite atlantique. Pourtant la traite des Noirs en Afrique commença dès la fin du VIIe siècle lorsque, vingt ans après la mort de Mahomet, le général arabe Abdallah ben Sayd partit à la conquête de l’Afrique du Nord. Après avoir conquis l’Égypte, il imposa aux chrétiens de Nubie, par un traité, le bakht, la livraison de 360 esclaves par an, puis il continua vers le Maghreb, nom donné par les conquérants arabes à une région que les Européens appelèrent d’abord Berbérie, car peuplé par les Berbères, puis Barbarie. La traite des esclaves de Barbarie est amplement historiographiée : les marchés d’esclaves du littoral maghrébin, dont l’actif marché d’Alger, se livrèrent pendant des siècles à un lucratif commerce d’êtres humains, tant Africains subsahariens qu’Européens.
Les ports de la côte des Barbaresques, Alger, Béjaïa (Bougie), Tunis ou Tripoli, servaient de base à des expéditions esclavagistes vers l’Europe qui durèrent jusqu’au XIXe siècle. Cette traite est le plus souvent associée à la domination ottomane sur le Maghreb et aux exactions de ceux que l’on appelle les pirates barbaresques. Elle fut en effet particulièrement active à cette époque. Mais elle est répertoriée dès le IXe siècle et devint si préoccupante que la chrétienté s’en émut. Pour ces captifs européens destinés à l’esclavage, il y avait une libération possible, tout aussi rentable pour les traitants : si le captif avait des biens, sa famille était sollicitée pour payer une importante rançon ; il arrivait même qu’un village entier se cotisât pour faire libérer l’un des siens. Mais, pour la plupart des captifs, il n’y avait guère d’espoir. C’est ainsi que Rome, s’inquiétant de la conversion possible de ces prisonniers à l’islam, décida d’agir. Dans ce contexte apparurent des ordres religieux spécifiquement dévolus au rachat des esclaves chrétiens, que l’on appelle des ordres rédempteurs. Leur création au début du XIIIe siècle montre que la traite était déjà bien développée avant l’arrivée des Barbaresques.
Publié par Guy Jovelin le 11 décembre 2025

Un concours européen qui se prive de pays européens pour avoir Israël
L’Irlande, l’Espagne, les Pays-Bas et la Slovénie boycotteront le Concours Eurovision de la chanson 2026, suite à la décision d’autoriser Israël à y participer.
Ces quatre pays figuraient parmi beaucoup d’autres qui avaient demandé l’exclusion d’Israël en raison de la guerre à Gaza et des accusations de pratiques électorales inéquitables.
Mais lors d’une réunion à Genève, il a été convenu qu’il n’était pas nécessaire de procéder à un nouveau vote sur la participation israélienne et que l’Eurovision 2026 pouvait se dérouler comme prévu, a déclaré l’Union européenne de radiodiffusion (UER).
La chaîne de télévision espagnole RTVE, qui avait été à l’origine des appels à un vote secret sur la question, a déclaré que cette décision avait accru sa « méfiance envers l’organisation du festival ».
La chaîne irlandaise RTÉ a déclaré que la participation israélienne « restait inadmissible compte tenu des pertes de vies humaines effroyables à Gaza et de la crise humanitaire qui y sévit et qui continue de mettre en danger la vie de tant de civils ».
Un concours où tous les pays ne sont pas égaux
L’Espagne fait partie des cinq pays « majeurs » de l’Eurovision, avec la France, l’Allemagne, l’Italie et le Royaume-Uni. Leurs artistes sont directement admis en finale, car leurs diffuseurs apportent la plus importante contribution financière à l’UER.
Environ 50 diffuseurs ont participé jeudi à une réunion de l’UER pour discuter de l’avenir du concours, suivi chaque année par plus de 150 millions de personnes. Il leur a été demandé de soutenir de nouvelles règles destinées à dissuader les gouvernements et les tiers d’organiser des campagnes de vote pour leurs candidats, suite aux allégations selon lesquelles Israël aurait injustement favorisé son candidat, Yuval Raphael, cette année.
Le président israélien Isaac Herzog a réagi en déclarant qu’Israël « mérite d’être représenté sur toutes les scènes du monde, et je m’y engage pleinement et activement ».
Cependant, cette décision a mis en lumière une profonde division au sein de la communauté Eurovision.
« La violence génocidaire dont se rend coupable Israël »
Dans un communiqué, le diffuseur néerlandais Avrotros a déclaré que « la participation dans les circonstances actuelles est incompatible avec les valeurs publiques qui nous sont essentielles ». Le journal néerlandais De Volksrant a souligné que la décision des Pays-Bas de boycotter le concours a été prise « en raison de la violence génocidaire dont ce pays se rend coupable envers les Palestiniens ».
La chaîne de télévision espagnole RTVE a signalé par communiqué : « Le conseil d’administration de RTVE a décidé en septembre dernier que l’Espagne se retirerait de l’Eurovision si Israël y participait. » « Ce retrait signifie également que RTVE ne diffusera ni la finale de l’Eurovision 2026… ni les demi-finales préliminaires. »
La chaîne de télévision slovène RTV a ajouté que sa position « reste également inchangée ». « Les récentes modifications réglementaires ne changent rien à notre position. En tant que diffuseur de service public, RTV Slovenia est attachée au respect des principes éthiques et attend que les mêmes règles et normes s’appliquent à tous les membres de l’UER et à tous les pays participants. »
La chaîne de télévision belge a déclaré qu’elle « prendrait position dans les prochains jours ».
La compagnie islandaise RÚV a déclaré qu’elle ne prendrait pas de décision définitive concernant sa participation avant la semaine prochaine.
A l’inverse, l’Allemagne avait menacé de se retirer de la compétition si Israël était exclu, et a salué la décision de jeudi.
Un concours de plus en plus abject
Il reste à préciser que ce concours est devenu au fil du temps une abjecte vitrine du mauvais goût, des perversions et même du satanisme.
Léo Kersauzie
Source : medias-presse.info