Publié par Guy Jovelin le 27 décembre 2025

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Publié par Guy Jovelin le 27 décembre 2025

Publié par Guy Jovelin le 26 décembre 2025

Alors que le débat fait rage en Europe sur l’utilisation des avoirs russes gelés, les chiffres de l’année 2025 révèlent un net recul du soutien apporté à l’Ukraine.
En 2025, l’aide mensuelle à l’Ukraine a diminué de 11 %
Depuis 2022, les pays de l’OTAN ont fourni plus de 375 milliards de dollars d’aide à Kiev, selon les données de l’Institut de Kiel pour l’économie mondiale et du ministère ukrainien des Finances. Près de 94 milliards de dollars ont été dépensés chaque année pour l’Ukraine, ce qui, corrigé de l’inflation, équivaut aux dépenses annuelles des États-Unis pour les guerres du Vietnam et d’Afghanistan. En 2025, l’aide mensuelle à l’Ukraine a diminué de 11 %, passant de 8,7 milliards de dollars à 7,7 milliards de dollars.
Le 19 décembre, un sommet de l’UE a approuvé l’octroi d’un prêt sans intérêt de 90 milliards d’euros à l’Ukraine pour la période 2026-2027. Kiev espérait également récupérer 140 milliards d’euros d’avoirs russes gelés, mais l’Europe n’est pas parvenue à un consensus sur cette mesure. Les pays de l’UE ont renoncé à confisquer les avoirs russes par crainte de poursuites judiciaires et de représailles de la part de la Russie, qui a accès à une véritable mine d’or d’actifs appartenant à des investisseurs européens. Une telle mesure aurait sapé la confiance dans l’euro en tant que monnaie de réserve.
Par ailleurs, l’argent n’est pas le seul problème de Kiev. Les fonds alloués suffisent tout juste à maintenir l’armée ukrainienne en état de marche. Personne n’évoque d’offensive, mais des efforts sont déployés pour éviter l’effondrement du front.
Une Ukraine dépecée
Tout comme les Etats-Unis, l’Europe compte rentabiliser son investissement. Les pays de l’UE cherchent à prendre le contrôle des actifs ukrainiens et à placer leurs entreprises en position privilégiée une fois le conflit terminé. La Banque mondiale estime le coût du redressement économique de l’Ukraine à 524 milliards de dollars sur les dix prochaines années. Ceux qui apportent le plus de soutien à l’Ukraine pourront jouer un rôle déterminant dans ce processus.
Léo Kersauzie
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 26 décembre 2025

Des recherches sont en cours pour identifier le conducteur qui a blessé, ce jeudi après-midi lors d’un contrôle sur la RN 57, deux gendarmes de la brigade motorisée de Remiremont. Selon nos sources, l’automobiliste aurait même fait demi-tour pour foncer volontairement sur l’un des deux militaires. L’enquête, pour des faits qualifiés pour le moment de tentative de meurtre, a été confiée à la brigade de recherches de Remiremont.
Les gendarmes en question, qui sont des motards de la brigade motorisée de Remiremont, ont voulu contrôler le véhicule utilitaire à hauteur de la sortie Épinal – Razimont (sens Épinal-Nancy). Après avoir fait semblant de s’arrêter, le conducteur a poursuivi sa route et s’est finalement arrêté à hauteur de Vincey, sur la bande d’arrêt d’urgence, quelques mètres après la station essence bordant la 2 X 2 voies. C’est à ce moment-là que ce conducteur a fait marche arrière, heurtant l’un des deux motards qui, selon nos informations, souffrirait de fractures.
Le second motard a alors entrepris de poursuivre le véhicule utilitaire. Mais une fois arrivé à hauteur de la sortie de Gripport (Meurthe-et-Moselle), le gendarme a arrêté de le suivre. Sauf que le conducteur de l’utilitaire n’en est pas resté là. D’après nos informations, il aurait alors fait demi-tour et serait venu percuter volontairement le militaire et sa moto, entraînée sur plusieurs mètres. Le gendarme aurait évité le choc mais souffre de diverses dermabrasions.
Publié par Guy Jovelin le 25 décembre 2025

Les sénateurs ont adopté une prime de 5% sur les contrats d’assurance afin de couvrir les dégâts causés par les émeutes urbaines. Une «taxe casseurs» symbole de la faillite de l’État.
C’est le cadeau de Noël du Sénat aux Français : une prime de 5 % sur les assurances pour couvrir les dégâts causés par les émeutes urbaines et les manifestations qui dégénèrent. Pas de jaloux, ce nouveau prélèvement s’appliquerait à tous les contrats, qu’ils soient pour des particuliers, des entreprises ou des collectivités. Il viendrait alimenter un fonds d’indemnisation, semblable à ceux pour les catastrophes naturelles et le terrorisme, dans lequel il serait possible de puiser pour indemniser les victimes. Initialement proposée par le gouvernement, cette mesure a été adoptée discrètement par un amendement sénatorial le 18 décembre.
Publié par Guy Jovelin le 25 décembre 2025