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  • LFI Delogu fait l’objet d’une enquête préliminaire

    Publié par Guy Jovelin le 21 mai 2025

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    (Dans VA Régions) Le député LFI Delogu fait l’objet d’une enquête préliminaire des chefs de "vol, recel de vol, harcèlement moral et mise en danger par révélation d’informations relatives à la vie privée", a annoncé le parquet de Marseille. Rien que ça !

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  • 21 mai 1681 : ouverture du canal du Midi

    Publié par Guy Jovelin le 21 mai 2025

    Le canal du Midi ou canal des Deux-Mers est un canal français, long de 321 km, qui relie la Garonne (au niveau de Toulouse) à la mer Méditerranée.
    Il fut considéré par ses contemporains comme le plus grand chantier du XVIIe siècle.
    Sous le règne de Louis XIV, Pierre-Paul Riquet supervisa ce projet aux allures d’improbable défi, et fit preuve d’une grande largesse à l’égard des ouvriers et artisans (12 000 au total), posant d’indiscutables avancées sociales.

    Le canal des Deux-MersIl ne verra pas la fin de l’oeuvre débutée en 1666, rendant l’âme en 1680.
    Le canal fournit, avec le canal latéral à la Garonne, une voie navigable de l’Atlantique à la mer Méditerranée.
    Il a été prolongé par le canal du Rhône à Sète. D’abord nommé canal royal en Languedoc, les révolutionnaires le rebaptisent en canal du Midi en 1789.
    Prisé des vacanciers, il est l’un des plus anciens canaux d’Europe encore en fonctionnement.

    Le canal du Midi I Détours en France

    Plus d’informations sur wikipedia et sur ce site bien illustré.

     

     

  • L’entrisme islamique

    Publié par Guy Jovelin le 21 mai 2025

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    Il fallait des décennies de silence, de lâcheté, de collaboration intellectuelle pour qu’enfin, nos dirigeants découvrent — avec des trémolos dans la voix et un ton faussement grave — que l’entrisme islamique gangrène les institutions, les écoles, les hôpitaux, les associations, les partis politiques eux-mêmes. Quelle révélation ! Quelle audace ! Ils tombent des nues comme des enfants stupéfaits de trouver de l’eau… dans la mer.
    Ce que certains appelaient « théorie du complot » hier devient brusquement une « urgence républicaine ». Les lanceurs d’alerte, eux, n’ont pas changé de discours : ils sont simplement passés du statut de Cassandre à celui de visionnaires. Mais à quel prix ? Méprisés, diffamés, traînés dans la boue comme des « fachos », des « identitaires », des « racistes ». Pourtant, ils disaient la vérité. Une vérité simple : sans immigration massive, il n’y a pas d’islamisation de la France. C’est une évidence que seuls les aveugles volontaires, les juges rouges et les éditorialistes subventionnés refusaient de voir.
    Car oui, l’islamisme ne pousse pas dans les champs de blé. Il arrive par bateaux, par avions, par regroupement familial, par l’asile détourné. Il infiltre parce qu’on a ouvert. Il conquiert parce qu’on a capitulé. La submersion démographique précède toujours la subversion idéologique. Ce ne sont pas les mosquées qui précèdent les prières, ce sont les fidèles.
    Et maintenant que les Frères musulmans ont placé leurs pions partout, nos élites se découvrent une passion soudaine pour la laïcité. Fort bien. Mais alors allons jusqu’au bout. Si l’on dénonce l’entrisme islamique, qu’on ait le courage aussi de regarder du côté des autres réseaux d’influence. Ceux qui, sous couvert de philosophie, de morale républicaine, de « valeurs humanistes » ou de victimisation éternelle, tiennent les rênes du pouvoir profond. La République est peut-être en danger, à laquelle nous préférons d'ailleurs la Nation, mais elle ne l’est pas que d’une seule manière.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • Le Général Paul PELLIZZARI, radié

    Publié par Guy Jovelin le 20 mai 2025

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    Le Général Paul PELLIZZARI,

    radié – Place d’Armes lui apporte son total soutien dans son combat pour le respect des institutions et de la souveraineté nation

    Un général radié, une plainte contre le gouvernement, des accusations de représailles : l’affaire Paul Pellizzari agite la France. Mais derrière le scandale, un homme se dresse, armé non pas d’un fusil, mais du droit. Le Général Pellizzari n’est pas qu’une victime ; il est un stratège qui montre comment utiliser la loi pour défendre la souveraineté. Voici pourquoi son combat est une leçon pour tous.

    Un général qui connaît le terrain juridique Pellizzari, radié des cadres par décret du 17 avril 2025, n’a pas signé la tribune controversée de 2021, contrairement aux rumeurs. Sa faute ? Avoir déposé une plainte en avril 2024 contre Gabriel Attal, Sébastien Lecornu et Stéphane Séjourné pour « livraison illégale d’armes à l’Ukraine ». Cette plainte, jugée irrecevable par la Cour de Justice de la République, n’a pas été classée sans suite. Pellizzari a ensuite mis en demeure le Procureur Général d’agir, invoquant une prescription trentenaire. Ce n’est pas un coup d’éclat ; c’est une manœuvre calculée, utilisant le Code pénal comme bouclier.

    Défier l’État sans perdre son honneur L’État brandit le « manquement au devoir de réserve » pour justifier la radiation. Mais Pellizzari contre-attaque, dénonçant une absence de notification légale, une irrégularité qu’il entend contester devant le Conseil d’État. Ce n’est pas juste un recours ; c’est un défi lancé à l’exécutif : « Prouvez que vous respectez la loi. » En restant dans le cadre du droit, Pellizzari incarne une résistance digne, loin des provocations stériles. Il montre qu’on peut défier l’État sans perdre son honneur ni sa légitimité.

    Une leçon pour la France souverainiste À une époque où les voix dissidentes sont muselées par des algorithmes ou des sanctions administratives, Pellizzari enseigne une vérité essentielle : le droit est une arme. En utilisant la CJR, le Conseil d’État, et les procédures légales, il prouve que la souveraineté ne se défend pas seulement dans les urnes, mais aussi dans les tribunaux. C’est une stratégie que tout Français attaché à sa nation devrait méditer : connaître ses droits, les utiliser, et ne jamais céder à l’intimidation.

    Un symbole pour l’avenir Pellizzari n’est pas un martyr ; il est un pionnier. Son combat juridique, loin des slogans, rappelle que la France a les outils pour se défendre : ses lois, ses institutions, son histoire. En défiant l’État avec intelligence, il trace une voie pour une résistance moderne, ancrée dans la légalité et la dignité. À nous de suivre son exemple pour bâtir une France libre et fière.

    Conclusion : Paul Pellizzari n’est pas qu’un général radié ; il est un stratège qui transforme le droit en arme de souveraineté. Son combat, subtil et audacieux, est un appel : Français, apprenez vos lois, usez-les, et ne pliez jamais. La France souveraine commence par des hommes comme lui.

     
     

    Source : Opinion day

  • Mathieu Kassovitz :« j’espère qu’on va continuer à se mélanger. Il n’y a plus de Français de souche, ça n’existe plus ».

    Publié par Guy Jovelin le 20 mai 2025

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    Lors d’une interview sur le plateau de l’émission C à vous sur France 5, le 19 mai 2025, Mathieu Kassovitz a déclaré que le plus gros problème en France, c'était « le racisme » et « j’espère qu’on va continuer à se mélanger. Il n’y a plus de Français de souche, ça n’existe plus ».
    Une fois de plus, ce sale type récidive. Ce n’est pas la première fois qu’il crache sur la France. Mais cette fois, il va encore plus loin : il nie l’existence des Français de souche. Comprenez bien ce que cela signifie. Il ne s’agit pas d’une déclaration anodine : c’est l’effacement assumé de toute continuité historique, culturelle et charnelle de notre Nation.
    Imaginez une seconde – une seule – qu’un commentateur ose dire : « Il n’y a plus de Juifs, ça n’existe plus. Et j’espère qu’on va continuer à se mélanger. » Que dirait Mathieu Kassovitz ? Il serait évidemment hystérique. Il parlerait d’antisémitisme, de haine, d’extermination symbolique. Mais lorsque c’est la France, son peuple, sa culture millénaire qui sont visés, là, soudainement, c’est une preuve d’ouverture.
    Kassovitz, c’est l’homme qui voit du racisme partout, sauf quand il est dirigé contre les Blancs. C’est l’homme qui dénonce sans relâche la France « coloniale », « réactionnaire », « xénophobe » – cette France qu’il insulte continuellement tout en vivant de ses succès. Il n’a de cesse de culpabiliser les Français, de leur faire porter tous les maux : racisme, antisémitisme, violence... Mais jamais, au grand jamais, il ne reconnaîtra les réalités qui dérangent : le racisme anti-blancs, le communautarisme, la haine de la France dans certains quartiers.
    Ce qu’il prône, ce n’est pas le vivre-ensemble, c’est l’effacement de l’identité française.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France