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  • Un nouveau Président pour l’AGRIF

    Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2025

    Un nouveau Président pour l’AGRIF

    Sur proposition de Bernard ANTONY, Président fondateur, le Conseil d’administration de l’Alliance Générale pour le Respect de l’Identité Française et chrétienne (AGRIF), réuni ce mercredi 29 octobre 2025, a élu Yann BALY comme Président de l’association.

    A la demande du nouveau Président, le Conseil d’administration a également nommé Bernard ANTONYen tant que Président émérite et conseiller exécutif de la direction de l’AGRIF.

    Aujourd’hui comme hier, notre combat continue pour la défense de l’identité française et chrétienne face à toutes les tentatives de haine et de subversion.

    Aidez-nous à mener ces batailles, rejoignez l’AGRIF !

    Yann BALY, Président

    Bernard ANTONY, Président émérite

     

    Source : lesalonbeige

  • Accords de 1968 entre la France et l’Algérie

    Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2025

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    Certains s’enflamment pour une résolution adoptée à une voix près, comme si le Rassemblement National venait de remporter une bataille décisive contre l’invasion migratoire algérienne. Soyons réaliste : oui, dénoncer ces accords de 1968 entre la France et l’Algérie, c’est un geste qui va dans le bon sens, un rappel que ces reliquats coloniaux et gaullistes ont ouvert les vannes d’une immigration qui nous noie depuis des décennies. Mais une résolution ? C’est du vent symbolique, du théâtre parlementaire sans aucune force contraignante. Les accords restent bel et bien en vigueur, gravés dans le marbre administratif, et le flux insoutenable d’Algériens vers la France ne va pas s’arrêter net pour autant.
    On nous vend ça comme une victoire du RN mais c’est une illusion d’optique. Car qu’est-ce qui change concrètement ? Rien. Les Algériens vont continuer d’arriver par milliers, protégés par ces privilèges bilatéraux qui font de la France une terre d’asile pour tous ceux qui fuient leur pays sinistré sans jamais l’assumer. À part l’extrême-gauche, qui voit en eux des martyrs éternels, plus personne en France ne peut sentir les Algériens. Même des Algériens installés ici de longue date, souvent les premiers à râler contre leurs congénères fraîchement débarqués, ne supportent plus cette importation massive de tensions, de clientélisme et de repli communautaire.
    Les Algériens sont parmi les immigrés les plus hostiles au pays d’accueil, ils ont été élevés dans la haine rabique de la France. Ils ne viennent pas pour s’intégrer mais pour coloniser à leur tour, avec des exigences qui épuisent nos ressources et nos nerfs. Il faut renvoyer un maximum d’entre eux en Algérie, stopper net ces flux privilégiés et restaurer une souveraineté migratoire impitoyable. Une résolution ? C’est un pansement sur une hémorragie. Pour agir vraiment, il faudrait une loi, une volonté politique ferme de l'exécutif et non des incantations parlementaires qui nous bercent d’illusions. Tant qu’on s’arrête au symbole, l’invasion continue et la France s’affaiblit un peu plus chaque jour. Le vrai combat est dans les actes, pas dans l'autosatisfaction et les applaudissements éphémères.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
     
     
     
     
  • 69 députés signent une proposition de loi pour supprimer la mention du sexe sur les cartes d’identité

    Publié par Guy Jovelin le 30 octobre 2025

    Député LFI Jean-François Coulomme veut supprimer la mention "sexe" de la carte d'identité

    Soixante-neuf députés, majoritairement d’extrême gauche, ont signé une proposition de loi déposée à l’Assemblée nationale visant à supprimer la mention du sexe sur les cartes d’identité françaises.

    Les « urgences » politiques des élus LFI sont l’agenda idéologique LGBT

    Les priorités politiques des élus LFI  sont souvent d’ordre idéologique, comme en témoigne cette proposition de loi qui a pour objectif de retirer la mention « sexe » des cartes nationales d’identité sous prétexte qu’il serait « urgent d’adapter notre législation à l’évolution de notre société » et que la distinction homme/femme serait « héritée d’un passé inégalitaire ».

    Refusant de tenir compte des réalités biologiques, les députés LFI prétendent que chaque individu devrait pouvoir disposer de son corps et de son identité.

    A l’antenne de Sud Radio, le député LFI Jean-François Coulomme a prétendu que la mention du sexe sur la carte nationale d’identité « est une sorte d’anomalie », avant de préciser enfin que cette proposition visait à « reconnaître toutes les réalités humaines », notamment celles des personnes transgenres ou intersexes. Et le député de déclarer : « Dans notre société, un grand nombre de personnes ne rentrent pas dans la binarité homme-femme. Pour certaines, cette assignation représente une souffrance ». Sortez les violons…

    « L’espèce humaine est une espèce sexuée, fondée sur le mâle et la femelle »

    L’heureuse surprise fut d’entendre ensuite sur Sud Radio le politologue Léonardo Orlando, co-auteur de Sexe, sciences et censure, qui a démonté une « déclaration publique d’ineptie scientifique et de malhonnêteté intellectuelle », ajoutant que « l’espèce humaine est une espèce sexuée, fondée sur le mâle et la femelle » et que nier cette réalité reviendrait à « confondre le sexe, réalité biologique, et le genre, construction sociale ».

    Jean-François Coulomme a reconnu que cette proposition de loi ne correspond pas à un besoin mais est « un choix politique » dont l’objectif serait de « faire évoluer les mentalités ».

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • L’Ambassade de Russie en France réplique aux propos du chef d’état-major des armées françaises

    Publié par Guy Jovelin le 28 octobre 2025

    General Mandon - L'Ambassade de Russie en France réplique aux propos du chef d’état-major des armées françaises

    Le général Fabien Mandon, chef d’état-major des armées (CEMA), s’est exprimé lors d’une audition parlementaire de près de deux heures le mercredi 22 octobre, devant la commission de la Défense nationale et des forces armées.

    Le CEMA a tenu des propos plus qu’alarmistes cherchant à faire penser que l’armée russe serait sur le point d’envahir l’Europe  :  la Russie « est un pays qui peut être tenté de poursuivre la guerre » en Europe, a prétendu le général. Il a aussitôt ajouté : « Le premier objectif que j’ai donné aux armées, c’est de se tenir prêtes à un choc dans trois ou quatre ans, qui serait une forme de test — peut-être que ce test existe déjà sous des formes hybrides —, mais peut-être quelque chose de plus violent ».

    Le bellicisme anxiogène du général Mandon va dans le sens de ses homologues allemands qui prétendent que la Russie serait prête à « entrer en conflit militaire direct avec l’Otan » avant 2029.

    Hystérie autour d’une « menace russe » imaginaire

    L’Ambassade de Russie en France a réagi officiellement aux déclarations du général Fabien Mandon.

    C’est avec indignation que nous avons pris connaissance des déclarations du chef d’état-major des Armées, le général Fabien Mandon, à l’Assemblée nationale, selon lesquelles l’armée française devrait être «prête à un choc dans trois, quatre ans» face à la Russie. Selon lui, notre pays «peut être tenté de poursuivre la guerre» sur le continent européen.

    L’Ambassade juge nécessaire de rassurer les citoyens français, que le général semble avoir voulu effrayer : la Russie n’a jamais eu, et n’a toujours pas, l’intention d’attaquer la France ou quelque autre pays de l’Union européenne, ni aujourd’hui, ni dans trois ou quatre ans, ni à l’avenir. Il est possible que le général Mandon nourrisse lui-même de tels projets, dans ce cas, il avait explicitement dévoilé qui était le véritable instigateur de la guerre.

    On peut supposer que cette nouvelle vague d’hystérie autour d’une « menace russe » imaginaire, qui coïncide avec l’examen du budget national au Parlement, n’est pas le fruit du hasard. En réalité, le chef d’état-major réclame toujours davantage de fonds pour les dépenses militaires, alors même que l’on tente de réduire les budgets sociaux, de rogner sur les revenus des Français ordinaires et d’alourdir leur charge fiscale. Les propos du général Mandon apparaissent d’autant plus cyniques qu’ils ont été tenus le jour même où le Parlement examinait les propositions gouvernementales relatives au projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), prévoyant notamment de nouvelles taxes sur les titres-restaurants et les chèques-vacances.

    Il convient enfin de souligner que la spirale sans fin des dépenses militaires, destinées notamment à armer l’Ukraine, ne fait que prolonger l’agonie du régime sanglant de Kiev, provoquer des pertes inutiles parmi les Ukrainiens et les mercenaires issus des pays de l’Union européenne, et compromettre les efforts de règlement pacifique du conflit ukrainien.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info