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mention sexe

  • 69 députés signent une proposition de loi pour supprimer la mention du sexe sur les cartes d’identité

    Publié par Guy Jovelin le 30 octobre 2025

    Député LFI Jean-François Coulomme veut supprimer la mention "sexe" de la carte d'identité

    Soixante-neuf députés, majoritairement d’extrême gauche, ont signé une proposition de loi déposée à l’Assemblée nationale visant à supprimer la mention du sexe sur les cartes d’identité françaises.

    Les « urgences » politiques des élus LFI sont l’agenda idéologique LGBT

    Les priorités politiques des élus LFI  sont souvent d’ordre idéologique, comme en témoigne cette proposition de loi qui a pour objectif de retirer la mention « sexe » des cartes nationales d’identité sous prétexte qu’il serait « urgent d’adapter notre législation à l’évolution de notre société » et que la distinction homme/femme serait « héritée d’un passé inégalitaire ».

    Refusant de tenir compte des réalités biologiques, les députés LFI prétendent que chaque individu devrait pouvoir disposer de son corps et de son identité.

    A l’antenne de Sud Radio, le député LFI Jean-François Coulomme a prétendu que la mention du sexe sur la carte nationale d’identité « est une sorte d’anomalie », avant de préciser enfin que cette proposition visait à « reconnaître toutes les réalités humaines », notamment celles des personnes transgenres ou intersexes. Et le député de déclarer : « Dans notre société, un grand nombre de personnes ne rentrent pas dans la binarité homme-femme. Pour certaines, cette assignation représente une souffrance ». Sortez les violons…

    « L’espèce humaine est une espèce sexuée, fondée sur le mâle et la femelle »

    L’heureuse surprise fut d’entendre ensuite sur Sud Radio le politologue Léonardo Orlando, co-auteur de Sexe, sciences et censure, qui a démonté une « déclaration publique d’ineptie scientifique et de malhonnêteté intellectuelle », ajoutant que « l’espèce humaine est une espèce sexuée, fondée sur le mâle et la femelle » et que nier cette réalité reviendrait à « confondre le sexe, réalité biologique, et le genre, construction sociale ».

    Jean-François Coulomme a reconnu que cette proposition de loi ne correspond pas à un besoin mais est « un choix politique » dont l’objectif serait de « faire évoluer les mentalités ».

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info