GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Toulouse : interpellation d’un gang de mineurs multirécidivistes, surnommé la “Baby Mafia”, qui semait la terreur au nord de la ville

    Publié par Guy Jovelin le 30 avril 2025


    Ils terrorisaient commerçants, retraités et adolescents au nord de Toulouse. Depuis la fin de l’année 2024, un groupe d’une dizaine de mineurs, surnommé la “Baby Mafia”, sévissait entre les Minimes et Aucamville. Spécialisé dans l’extorsion à la sortie des établissements scolaires, mais aussi dans les vols à l’étalage et à l’arraché, ce gang a été progressivement démantelé par la police entre janvier et début avril 2025. Leur précocité et leur violence interrogent alors que l’enquête révèle un mode opératoire inquiétant.

    “On a eu plusieurs vols”, confirme une commerçante d’Aucamville. “Le plus important était un vendredi : les garçons faisaient diversion au comptoir pendant que d’autres remplissaient des sacs d’articles. On a subi un préjudice de 2 000 euros, une vraie razzia.” Les personnes âgées étaient aussi une cible privilégiée de ces mineurs délinquants. Une commerçante du quartier La Vache rapporte : “On a une résidence senior à côté, et plusieurs retraités ont été victimes de vols à l’arraché.”

    Ce qui interpelle, c’est la jeunesse de ces multirécidivistes. “Ce sont des gamins” assure le gérant d’un commerce des Izards. Les principaux membres de cette “Baby Mafia” étaient âgés de 14 à 16 ans au moment des faits. Leur spécialité : enchaîner vols, recel, extorsions et violences avec une insolence déconcertante.

    La Dépêche via fdesouche

  • « Frais d’incarcération »

    Publié par Guy Jovelin le 30 avril 2025

    494307587_1333681787915180_548653301285629111_n.jpg

    Après Wauquiez et son idée de déportation des OQTF vers Saint Pierre et Miquelon, c’est à présent au tour de Gérald Darmanin de proposer une mesurette symbolique en espérant récupérer quelques voix à droite.
    Au programme, le rétablissement des « frais d’incarcération » auxquels étaient assujettis les détenus jusqu’en 2003, afin de contribuer au fonctionnement des prisons. Une goutte d’eau dans l’océan, surtout qu’il est déjà établi qu’en seront exclus les détenus provisoires et indigents.
    Une réelle mesure de salut public, au regard de la proportion écrasante d’étrangers et de binationaux incarcérés dans les prisons française, serait de mettre en place l’expulsion systématique des délinquants et criminels vers leurs pays d’origine à l'issue de leur peine.
    Mais comme d’habitude, voulant toujours manœuvrer au centre, la classe politique au pouvoir évitera soigneusement toute proposition trop radicale pouvant vexer les sensibilités de potentiels électeurs.
     
    Victor Jan de Lagillardaie – Délégué général adjoint du Parti de la France
  • Pour les “transgenres”, c’est la douche écossaise

    Publié par Guy Jovelin le 30 avril 2025

    Pour les “transgenres”, c’est la douche écossaise

    La Fédération Écossaise de football a annoncé mardi que les joueuses transgenres ne pourront pas participer aux compétitions féminines de football.

    Quelques semaines, après la décision de la Cour suprême britannique de définir les femmes par rapport à leur sexe biologique et non à leur genre, la fédération écossaise de football s’est alignée sur cette position.

     

    Source : lesalonbeige

  • 30 avril, Camerone « un nom qui sonne et qui résonne »

    Publié par Guy Jovelin le 30 avril 2025

    Auteur : 

       « Ils furent ici moins de soixante opposés à toute une armée, sa masse les écrasa. La vie plutôt que le courage  abandonna ces soldats français, le 30 avril  1863. »

    Camerone, le récit.

    L’armée française assiégeait PUEBLA. La Légion avait pour mission d’assurer, sur cent vingt kilomètres, la circulation et la sécurité des convois.
    Le Colonel JEANINGROS, qui commandait, apprend, le 29 avril 1863, qu’un gros convoi emportant trois millions en numéraire, du matériel de siège et des munitions étaient en route pour PUEBLA.
    Le Capitaine DANJOU, son Adjudant Major, le décide a envoyer au devant du convoi une compagnie. La 3ème Compagnie du Régiment étranger fût désignée mais elle n’avait pas d’officier disponible. Le Capitaine DANJOU en prend lui-même le commandement et les sous-lieutenants MAUDET, porte drapeau, et VILAIN, payeur, se joignent à lui volontairement.
    Le 30 avril, à 1 heure du matin, la 3ème Compagnie, forte de trois officiers et soixante deux hommes, se met en route. Elle avait parcouru environ vingt kilomètres, quand, à 7 heures du matin, elle s’arrête à PALO VERDE pour faire le café. A ce moment, l’ennemi se dévoile et le combat s’engage aussitôt. Le Capitaine DANJOU fait former le carré et, tout en battant en retraite, repousse victorieusement plusieurs charges de cavalerie, en infligeant a l’ennemi des premières pertes sévères. Arrivé a la hauteur de l’auberge de CAMERONE, vaste bâtisse comportant une cour entourée d’un mur de trois mètres de haut, il décide de s’y retrancher pour fixer l’ennemi et retarder ainsi le plus possible le moment où celui-ci pourra attaquer le convoi. Pendant que les hommes organisent à la hâte la défense de cette auberge, un officier Mexicain, faisant valoir la grosse supériorité du nombre, somme le Capitaine DANJOU de se rendre. Celui-ci fait répondre : « Nous avons des cartouches et ne nous rendrons pas ». Puis, levant la main, il jura de se défendre jusqu’à la mort et fit prêter à ses hommes le même serment. Il était 10 heures jusqu’à 6 heures du soir, ces soixante hommes, qui n’avaient pas mangé ni bu depuis la veille, malgré l’extrême chaleur, la faim, la soif, résistent a deux mille Mexicains : huit cents cavaliers, mille deux cents fantassins.
    A midi, le Capitane DANJOU est tué d’une balle en pleine poitrine. A 2 heures, le souslieutenant VILAIN tombe, frappé d’une balle au front. A ce moment, le colonel Mexicain réussit à mettre le feu à l’auberge. Malgré la chaleur et la fumée qui viennent augmenter leurs souffrances, les légionnaires tiennent bon, mais beaucoup d’entre eux sont frappés.
    A 5 heures, autour du sous-lieutenant MAUDET, ne restent que douze hommes en état de combattre. A ce moment, le colonel Mexicain rassemble ses hommes et leur dit de quelle honte ils vont se couvrir s’ils n’arrivent pas à abattre cette poignée de braves (un légionnaire qui comprend l’espagnol traduit au fur et à mesure ses paroles). Les Mexicains vont donner l’assaut général par les brèches qu’ils ont réussi a ouvrir, mais auparavant, le Colonel MILAN adresse encore une sommation au sous-lieutenant MAUDET ; celui-ci la repousse avec mépris. L’assaut final est donné. Bientôt il ne reste autour de MAUDET que cinq hommes : le caporal MAINE, les légionnaires CATTEAU, WENSEL, CONSTANTIN, LEONHARD. Chacun garde encore une cartouche ; ils ont la baïonnette au canon et, réfugiés dans un coin de la cour, le dos au mur, ils font face ; à un signal, ils déchargent leurs fusils à bout portant sur l’ennemi et se précipitent sur lui à la baïonnette. Le sous-lieutenant MAUDET et deux légionnaires tombent, frappés à mort. MAINE et ses camarades vont être massacrés quand un officier Mexicain se précipite sur eux et les sauve ; il leur crie : « rendez-vous ! ». « Nous nous rendrons si vous nous promettez de relever et de soigner nos blessés et si vous nous laissez nos armes ». Leurs baïonnettes restent menaçantes. « On ne refuse rien à des hommes comme vous ! » répond l’officier.
    Les soixante hommes du Capitaine DANJOU ont tenu jusqu’au bout leur serment ; pendant 11 heures, ils ont résisté à deux milles ennemis, en ont tué trois cents et blessé autant. Ils ont, par leur sacrifice, en sauvant le convoi, rempli la mission qui leur avait été confiée.
    L’empereur NAPOLEON III décida que le nom de CAMERONE serait inscrit sur le drapeau du régiment étranger et que, de plus, les noms de DANJOU, VILAIN, et MAUDET seraient gravés en lettre d’or sur les murs des Invalides à Paris.
    En outre un monument fût élevé en 1892 sur l’emplacement du combat. Il porte l’inscription :
    ILS FURENT ICI MOINS DE SOIXANTES  OPPOSES A TOUTE UNE ARMEE, SA MASSE LES ECRASA.
    LA VIE PLUTÔT QUE LE COURAGE ABONDONNA CES SOLDATS FRANCAIS LE 30 AVRIL 1863.

    A LEUR MEMOIRE LA PATRIE ELEVA CE MONUMENT.
    Depuis, lorsque les troupes Mexicaines passent devant le monument, elles présentent les armes.

    Un CD reprend magnifiquement les Musiques de la Légion Etrangère. Sur LIVRES EN FAMILLE 

    Camerone, par la Musique de la Légion étrangère, 19.90 €

     

    Source : medias-presse.info

  • Faire les poches des Français les plus fragiles

    Publié par Guy Jovelin le 29 avril 2025

    494530651_993051906343746_7423610792426201655_n.jpg

    Une fois encore, le gouvernement frappe les plus modestes. Derrière le vernis de bonnes intentions — soi-disant protéger notre industrie — se cache la réalité crue : ponctionner toujours plus ceux qui n'ont déjà plus rien. Nos compatriotes, abandonnés par quarante ans de désindustrialisation, trouvent un maigre réconfort dans quelques achats bon marché sur Shein ou Temu. Que leur propose-t-on aujourd'hui ? De leur arracher ce dernier plaisir par de nouvelles taxes. Ne nous trompons pas : ce n'est pas en surtaxant les pauvres que nous relocaliserons nos usines ou sauverons nos savoir-faire. C'est une illusion de plus, un mensonge de plus. Pour reconstruire notre industrie, il faudrait du courage, une vraie politique de patriotisme économique. Mais cela, nos dirigeants en sont incapables. Alors, ils choisissent la solution la plus lâche : faire les poches des Français les plus fragiles.