Publié par Guy Jovelin le 26 avril 2025
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Le drame avec Justin Polat, c’est qu’après avoir tué une gamine en la poignardant à 57 reprises, la justice sera incapable - quand bien même elle le voudrait… - d’apporter la réponse pénale nécessaire à ce crime.Il sortira de taule avant d’avoir mon âge (33 ans) alors qu’il mérite la mort.Premier problème : l’ordonnance pénale des mineurs du 2 février 1945, d’inspiration communiste.Le criminel est perçu comme une victime et sa peine encourue est Ipso facto divisée par deux au seul motif qu’il n’est pas majeur.S’il est impossible de se prémunir de ce genre de crimes, nous ne sommes pas condamnés à appliquer une justice de dégénérés.Il faut juger les mineurs et les majeurs à la même enseigne, supprimer l’ordonnance des mineurs de 1945 - en réformant complétement le Code de la justice pénale des mineurs (CJPM), entré en vigueur le 30 septembre 2020 - et rétablir la peine capitale.Cette position claire est juridiquement structurable : elle nécessiterait une refonte constitutionnelle, une rupture avec les engagements internationaux, et un retour assumé à une justice pénale fondée sur la sanction et la proportionnalité du châtiment au crime.C’est le projet du Parti de la France.Pierre-Nicolas Nups - Secrétaire général du Parti de la France
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Mensonges budgétaires et fausses économies
Publié par Guy Jovelin le 25 avril 2025
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De Guillaume de Thieulloy dans Les 4 Vérités :
François Bayrou, après tant de ses prédécesseurs à Matignon, se lance à son tour dans le numéro budgétaire qui n’en finit plus de lasser les Français. Comme ses prédécesseurs, il nous promet une restauration des finances publiques sans hausse d’impôts mais avec une hausse des investissements (la petite nouveauté étant que les investissements en question sont militaires au lieu d’être une énième version du traditionnel « Demain on rase gratis » de la gauche qui règne sans partage sur les assemblées parlementaires).
Aussitôt, le jeu de rôles se met en place: les oppositions, de gauche comme de droite, menacent de censurer le gouvernement si, d’aventure, le pouvoir d’achat des Français diminuait. Mais oppositions et majorité agissent comme si tout avait été tenté sans succès pour limiter la dépense publique et comme si, entre gens sérieux, les arrangements ne pouvaient se faire qu’à la marge: on veut bien discuter d’augmenter ou de réduire la TVA ou le RSA d’un point, mais ici s’arrête la marge de négociation. Il est pourtant trop évident que ce n’est pas ainsi que l’on pourra restaurer les finances publiques.
La première chose à faire est de cesser de prétendre que lorsque l’on diminue le service public, on fait des économies. Si la qualité du service public diminue sans diminution des impôts, ce n’est rien d’autre que le rétablissement de la corvée. Au passage, je suis frappé du nombre de maux que l’on reproche – souvent à juste titre – à l’Ancien Régime et qui sont pourtant aussi présents sous Marianne V que sous Louis XVI. Nous avons donc restauré la corvée (qu’est donc le lundi de Pentecôte travaillé mais non payé, sinon un jour de corvée?), le gouvernement des juges, le corporatisme dans la plupart des domaines économiques et sociaux, et même les fermiers généraux (puisque, désormais, à Paris, ce sont des sociétés privées qui rackettent les automobilistes en usant de la puissance publique pour émettre des amendes).
Mais revenons aux finances publiques. Le deuxième impératif est de ne pas laisser croire que le déficit public s’impose aux gouvernements qui n’y peuvent rien: la réalité est que le déficit est un choix politique. Car personne n’oblige le gouvernement à faire voter des budgets dans lesquels les dépenses excèdent les recettes.
Enfin, le vote d’un budget est le cœur de l’action politique: c’est là qu’il est le plus clair que gouverner, c’est choisir. Aucune économie ne sera possible si nos gouvernants continuent à considérer que le budget sert d’abord le clientélisme. Nous attendons d’eux qu’ils nous disent quelles priorités ils choisissent et pourquoi, pas qu’ils nous jouent sempiternellement le même jeu grotesque et lassant. Le bon sens imposerait que l’on considère que les citoyens sont, pour l’État, prioritaires sur les étrangers. Dans les circonstances actuelles, il semblerait également raisonnable de dire que les dépenses militaires sont prioritaires sur les dépenses sociales. Mais non, « on » continue de faire comme si l’État avait le devoir de nourrir la planète entière et les va t’en guerre les plus excités sont aussi ceux qui réclament que le SMIC soit augmenté et refusent que le RSA s’accompagne d’une obligation de travailler.
Il reste pourtant une option inexplorée: celle de la responsabilité. Ne prenons qu’un exemple: créez le chèque scolaire et vous réaliserez des milliards d’économies sur la gabegie de la prétendue Éducation nationale, tout en augmentant le niveau. Mais c’est précisément là que le bât blesse: nos politicards veulent bien faire semblant de faire des économies, ils ne sont pas prêts à abandonner le pouvoir que nous leur avons abandonné!
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lycéenne sauvagement assassinée à Nantes
Publié par Guy Jovelin le 25 avril 2025
Hier, la France a une nouvelle fois été frappée par l’horreur. À Nantes, dans ce qui devrait être un sanctuaire pour nos enfants, une lycéenne a été sauvagement assassinée à coups de couteau, et trois autres jeunes ont été grièvement blessés. Nos pensées émues vont aux familles plongées dans le deuil et la douleur, ainsi qu’à toute la communauté scolaire bouleversée par cette barbarie.Le tueur, Justin Adar Polat, âgé de 15 ans, un individu d’origine turque, n’est ni un « militant d’extrême droite » comme certains voudraient le faire croire à coups de titres racoleurs, ni un croisé de la haine raciale. Il semble, à ce stade, que nous ayons affaire à un esprit instable, ravagé par une forme de paranoïa née de l’éco-anxiété — ce mal moderne distillé par les gourous pseudo-écolos et leurs discours apocalyptiques, qui instillent la peur et la culpabilité dans l’esprit des jeunes au nom du climat.Mais une question s’impose : où sont les responsables ? Comme toujours, nos gouvernants regardent ailleurs, récitant mécaniquement les mêmes litanies sur la « résilience » et la « solidarité ». Pas un mot sur l’échec criant de la prévention, pas un mot sur la démission de l’État face à la montée de la violence dans nos établissements scolaires.Le Parti de la France appelle à des mesures de bon sens. Nous réclamons que chaque établissement scolaire puisse désigner un référent armé, dûment formé et habilité, membre de la communauté éducative, prêt à intervenir immédiatement pour neutraliser toute menace, qu’il s’agisse d’un agresseur isolé, d’un déséquilibré ou d’un terroriste.L’heure n’est plus aux bougies et aux marches blanches : l’heure est à l’action.Thomas Joly - Président du Parti de la France -
Qui peut citer une seule année sans grève générale de la SNCF ?
Publié par Guy Jovelin le 24 avril 2025
Quintessence de ces entreprises d'État kafkaïennes, la SNCF fournit un service toujours plus onéreux (allant jusqu'à dépasser le prix des billets d'avions pour les mêmes trajets) et moins fiable, alliant retards et délais fréquents, le tout couronné par des mouvements sociaux à la fréquence aussi régulière que les giboulées de mars, dont les voyageurs payent systématiquement le prix…Qui peut citer une seule année sans grève générale de la SNCF, pilotée bien entendu par des syndicalistes professionnels ?Sud-Rail et consorts ont appelé à une nouvelle grève début mai pour des questions relatives aux primes et aux plannings de travail. Rappelons que chaque journée de grève coûte environ 10 millions d’euros à la SNCF, et donc au contribuable…Rappelons aussi que les employés de la SNCF bénéficient de nombreux avantages et réductions sur le réseau SNCF ainsi que d’un emploi stable, contrairement aux employés risquant d’arriver en retard au travail, justificatifs de la SNCF ou non…Ce déséquilibre se retrouve également dans la fonction publique, où trop de travailleurs statutaires et donc pratiquement invirables, peuvent se mettre en grève sans risques, aux dépens d’une mission de service public qui n’est pas assurée.Au Parti de la France, une seule réponse nous semble la bonne : abolir le droit de grève pour les fonctionnaires et salariés d’entreprises publiques.Victor Jan de Lagillardaie – Délégué général adjoint du Parti de la France -
l'État redécouvre la fermeté...
Publié par Guy Jovelin le 24 avril 2025
Après des décennies de laisser-faire, l'État redécouvre la fermeté... en prétendant confisquer les téléphones des dealers et des consommateurs. Pendant que les caïds blanchissent des millions et contrôlent des quartiers entiers avec des kalachnikovs, Darmanin nous sort la politique du gadget. Une vraie stratégie de guerre : désarmer l’ennemi… de son iP