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  • En clair : on haïtise la France, par le bas, par l'extérieur.

    Publié par Guy Jovelin le 22 avril 2025

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    Thomas Joly

    Haïti, c’est ce que devient un pays quand l’État n’existe plus, quand le pouvoir est capturé par des bandes armées, quand la Nation est remplacée par la loi du plus fort. Une société redevenue tribale, primitive, où l’on survit au jour le jour. Mais attention : Haïti, c’est la conséquence d’un effondrement interne, culturel, moral et politique. La France, elle, suit une trajectoire différente… mais le résultat pourrait être le même. Chez nous, ce n’est pas l’État qui s’effondre tout seul, c’est l’État qui organise son propre remplacement, en important massivement des populations venues du Tiers-monde. On n’assimile plus, on importe la criminalité, la violence, le communautarisme. En clair : on haïtise la France, par le bas, par l'extérieur. Il ne faudra alors pas s'étonner du résultat...

  • C’était un 22 avril…

    Publié par Guy Jovelin le 22 avril 2025

    C’était un 22 avril…

    • 1182 : excédé, le roi de France Philippe Auguste expulse de ses états tous les Juifs, sans exception. Il les avait tous arrêtés, un jour de sabbat, dans toutes les villes du Royaume. Etant ainsi détenus dans leurs synagogues, ils n’obtinrent leur liberté qu’« en rendant l’or et l’argent qu’ils avaient extorqués par les usures les plus diverses ». Le roi anéantit toutes les créances et confisqua tous leurs biens.

     

     

     

     

     

    Source : contre-info

  • Rennes : véritable scène de guerre

    Publié par Guy Jovelin le 21 avril 2025

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    Ce 17 avril, à Rennes, s'est déroulée - en plein jour - une véritable scène de guerre : des tirs nourris à l’arme automatique sur un point de deal. Le genre d’image que l’on croyait réservée à Medellín ou à Rio de Janeiro. Mais non, c’est en Bretagne, au cœur de la France, que la barbarie s’installe. Car soyons clairs : ce n’est plus une insécurité diffuse, c’est une guerre de territoire. Et cette guerre, nous la perdons.
    Nous la perdons parce que depuis quarante ans, les gouvernements se succèdent et se ressemblent : faibles avec les forts, forts avec les faibles. Le narcotrafic prospère, porté par une immigration massive, incontrôlée, qui a importé avec elle ses réseaux, ses mœurs et sa violence. Le juge relâche quand le policier arrête. Le délinquant rit, le citoyen pleure.
    La République a déserté. L’État s’efface. Le laxisme judiciaire est devenu une norme. Les peines sont symboliques, la prison est devenue un centre de vacances pour la racaille et l’on s’étonne que les Kalachnikovs parlent ?
    Il faut un sursaut. Il faut frapper fort. Rétablir la peine de mort pour les trafiquants les plus dangereux, ceux qui tuent notre jeunesse à petit feu. Il faut des peines exemplaires, dissuasives, sans remise, sans excuse.
    Il faut expulser tous les délinquants étrangers et, avec eux, leurs familles complices ou complaisantes. La nationalité française ne peut être un bouclier pour ceux qui haïssent la France, les binationaux (très nombreux) en seront déchus.
    Il faut redonner à la police les moyens d’agir, des consignes claires de reconquête et la protection judiciaire qui va avec. Qu’ils n’aient plus peur d’intervenir. Qu’ils n’aient plus peur de faire leur travail.
    Et s’il le faut, créons une force d’élite, un « BOPE » à la française, une troupe formée, surarmée, déterminée à éradiquer la racaille et reprendre chaque mètre carré de notre territoire abandonné.
    Car sans ordre, il n’y a pas de liberté. Sans autorité, il n’y a pas de France.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France