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Selon Valeurs Actuelles, huit membres de la mouvance autonome d’ultra gauche, dont une avocate du barreau de Toulouse, Me Fiona Zemihi, spécialisée en droit des étrangers, sont jugés en comparution immédiate ce vendredi à Toulouse pour violation de domicile et dégradations.
Le 14 avril, un groupe partiellement cagoulé a tenté de squatter une maison privée, déclenchant une alarme. La police est intervenue rapidement et a interpellé les individus, qui ont refusé de donner leur identité et de se soumettre à des tests ADN, une technique habituelle dans ce milieu pour éviter les poursuites.
Tous ont été placés à la prison de Seysses dans l’attente de leur jugement. Ils risquent un an de prison et 15 000 euros d’amende. Les enquêteurs prévoient de recouper leurs ADN avec des traces retrouvées sur plusieurs sites de sabotages et d’incendies criminels revendiqués par l’ultragauche. Une source policière salue une « très belle opération ».
Un rassemblement de soutien réunissant une cinquantaine de personnes est annoncé devant le tribunal.
Alors que les boulangers réclament de pouvoir travailler le 1er mai, plusieurs voix se sont élevées contre cette possibilité, évoquant un jour sanctuarisé. Le député LFI de l’Essonne, Antoine Léaument, propose de supprimer certains jours fériés et d’en créer un autre.Il propose le 18 mars, car il s’agit du «point de départ de la Commune de Paris», une «grande date de notre histoire nationale qui n’est pas assez célébrée», selon lui.
Le député LFI estime que «le 1er mai est un jour sacré» et rappelle qu’il s’agit de «la fête des travailleurs». Il ajoute : «Il faut qu’il y ait des jours qui soient des jours sanctuarisés dans lesquels il y a un point d’intérêt au fait que l’on soit tous ensemble et réunis autour d’une date.» A ce jour, il manquerait d’ailleurs «des jours sur lesquels l’ensemble du pays a des jours communs».
Mais le député est allé encore plus loin, évoquant une autre piste, plus polémique cette fois-ci. Il propose la suppression de certains jours fériés : «S’il faut supprimer des jours fériés, il y en a un certain nombre d’autres qui sont associés à la religion qu’on pourrait éventuellement modifier», lance-t-il face à Jean-Jacques Bourdin. Faut-il supprimer Pâques, Noël ou encore l’Ascension ? «Je laisse libre», glisse seulement le député LFI.
Bayrou : Français, vous devez faire des efforts pour rembourser la dette ! Vous ne travaillez pas assez ! Ce que vous n’avez pas compris !.
François Bayrou s’appuie sur une statistique frappante qu’il a décrite comme un « piège » menaçant l’avenir économique de la France. En fin 2024, la dette publique française a atteint plus de 3 305,3 milliards d’euros, soit un endettement dépassant les 110 % du PIB du pays. Pour donner une idée concrète de cette montagne de dette, Bayrou divise tout simplement le montant total par le nombre d’habitants en France, aboutissant ainsi au chiffre symbolique d’environ 50 000 euros pour chaque citoyen français.
Le nouveau PDG de l’AIPAC, Eliot Brandst, s’exprime lors du sommet du Congrès à Washington, le 23 février 2025.
Dans un enregistrement audio divulgué aux États-Unis, le chef de l’AIPAC American Israel Public Affairs Committee, se vante d’un « accès » spécial aux hauts responsables de la sécurité nationale de Trump.
The Grayzone, site américain de ré-information, est à l’origine de l’article révélant comment le chef de l’AIPAC, puissant lobby israélien américain, se vante d’un « accès » spécial aux hauts responsables de la sécurité nationale de Trump dans un enregistrement audio divulgué.
Le chef de l’AIPAC, puissant lobby israélien américain, se vante d’un « accès » spécial aux hauts responsables de la sécurité nationale de Trump
« Lors d’un panel officieux, le PDG de l’AIPAC a détaillé la manière dont son organisation prépare les plus hauts responsables de la sécurité nationale de Trump et comment « l’accès » de son groupe garantit qu’ils continuent de suivre l’agenda d’Israël » écrit Grayzone dans un article du 9 avril 2025.
Dans cet enregistrement qui dure de sept minutes, on entend le directeur exécutif de l’organisation, Elliot Brandt, se vanter, lors du Congrès de l’AIPAC 2025, que son groupe avait ‘préparé’ plusieurs hauts responsables de la sécurité nationale de Trump et était en mesure d’« accéder » à leurs conversations pour s’assurer qu’ils continuent d’adhérer au programme d’Israël.
« Hors caméras, affirme le site américain de ré-information, les dirigeants de l’AIPAC ont livré des détails d’une franchise inhabituelle sur leurs activités. Dans un aveu révélateur, Brandt a expliqué comment lui et son organisation de lobbying avaient préparé le futur directeur de la CIA et d’autres hauts responsables de Trump à devenir des agents pro-israéliens ». L’organisation, détaille encore Grayzone « a cultivé son influence auprès de trois hauts responsables de la sécurité nationale de l’administration Trump – le secrétaire d’État Marco Rubio, le directeur de la sécurité nationale Mike Waltz et le directeur de la CIA John Ratcliffe » et « pense pouvoir accéder à leurs discussions internes ».
L’AIPAC cultive son influence auprès du secrétaire d’État Rubio, du directeur de la sécurité nationale Waltz et du directeur de la CIA Ratcliffe
Parmi les membres influents de l’AIPAC présents à ce sommet, Dana Stroul, « ancienne responsable civile de haut rang chargée des questions du Moyen-Orient au sein du ministère de la Défense de l’administration Biden. Grayzone explique que « Mme Stroul a clairement indiqué que la défense des impératifs stratégiques d’Israël au sein du gouvernement américain était une priorité absolue, arguant que Washington devrait approfondir sa relation privilégiée, « mutuellement bénéfique », avec son « partenaire solide » de Tel-Aviv ».
Fait notable, le rédacteur en chef de Grayzone, Max Blumenthal, est un juif antisioniste de premier plan qui a été récompensé pour son journalisme d’investigation couvrant les crimes d’Israël qui s’est soldé pour lui par son exclusion de l’État sioniste.
et allaient massacrer près de la moitié de sa population…
C’est le 17 avril 1975 que la capitale du Cambodge tomba aux mains des maquisards du Front uni national du Kampuchéa (FUNK). L’entrée de l’armée révolutionnaire fut acclamée par des dizaines de milliers d’intellectuels, de journalistes, de politiciens et de philosophes occidentaux qui se réjouissaient de la chute du gouvernement Lon Nol.
Après avoir célébré la chute de Dien Bien Phu et l’abandon de l’Algérie aux terroristes du FLN, les intellectuels et journalistes français vont une fois de plus se distinguer dans l’innommable, comme l’illustrent les unes exposées ci-dessous. L’envoyé spécial du Monde évoquait, lui, l’« enthousiasme populaire » lors de l’entrée des Khmers rouges à Phnom Penh.
Dès cet instant, le Cambodge bascule dans les ténèbres d’un enfer pensé, analysé, planifié et exécuté par l’Angkar – organisation socialo-marxiste – dominée par les Khmers rouges.
Reconnus et soutenus par l’Internationale socialiste, les « maîtres » du « Kampuchéa démocratique » vont transformer et contrôler la société cambodgienne, saper la mémoire collective et couper la population de son Histoire. Ce processus a conduit à évacuer toutes les villes, à créer un collectivisme absolu et à éradiquer toute trace du passé (monastères bouddhistes, école, livres et journaux).
Cette répression ne visait pas des groupes raciaux ou des minorités ethniques spécifiques, mais des couches sociales et tous les opposants politiques, réels ou supposés. Le démographe Marek Sliwinski a démontré scientifiquement que c’est un quart de la population (7,2 millions d’habitants en 1974) qui a été exterminé et presque 42 % de ceux qui vivaient ou étaient réfugiés à Phnom Penh avant le 17 avril 1975.
C’est ainsi que cet ancien protectorat français (depuis 1863) va sombrer dans l’horreur…
La France du Second Empire y avait établit sa protection sur le Royaume, jusque-là vassal du Siam (Thaïlande). Le Cambodge fut intégré en 1887 à l’Indochine française lors de la création de cette dernière. En novembre 1949, le système de protectorat laissa la place à un statut d’État associé de l’Union française, toujours au sein de la Fédération indochinoise. En 1953, pendant la guerre d’Indochine, le roi Norodom Sihanouk proclama l’indépendance du pays, que les accords de Genève réaffirmèrent l’année suivante tout en conservant son amitié à la France.