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dette

  • La dette de la ville de Pau,

    Publié par Guy Jovelin le 17 juillet 2025

    lafautearousseau

    À ne pas oublier, tout de même : la dette de la ville de Pau, dont François Bayrou est le maire, a doublé depuis le début de son mandat. L'endettement pas habitant à Pau est désormais supérieur à la moyenne des villes françaises, ainsi qu'à la moyenne de celle des métropoles de 50.000 à 100.000 habitants... (source : Journal du Net / Ministère de l'Economie)

    Comme dit l'adage : "Médecin, soigne-toi toi même !"

     

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  • François Bayrou : Les Français doivent rembourser 50 000 € chacun !

    Publié par Guy Jovelin le 18 avril 2025

    Bayrou : Français, vous devez faire des efforts pour rembourser la dette ! Vous ne travaillez pas assez ! Ce que vous n’avez pas compris !.

    François Bayrou s’appuie sur une statistique frappante qu’il a décrite comme un « piège » menaçant l’avenir économique de la France. En fin 2024, la dette publique française a atteint plus de 3 305,3 milliards d’euros, soit un endettement dépassant les 110 % du PIB du pays. Pour donner une idée concrète de cette montagne de dette, Bayrou divise tout simplement le montant total par le nombre d’habitants en France, aboutissant ainsi au chiffre symbolique d’environ 50 000 euros pour chaque citoyen français.

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • La France se finance désormais plus cher que la Grèce

    Publié par Guy de Laferrière le 27 septembre 2024

    La dette de Paris est jugée plus risquée que celle de Madrid et Lisbonne. 

    C’est un nouveau signe inquiétant pour l’économie française et pour le nouveau Premier ministre, Michel Barnier. Jeudi 26 septembre, le taux d’intérêt sur les obligations françaises à cinq ans a dépassé celui de la Grèce, un pays en quasi-faillite il y a 15 ans. Alors que Paris emprunte désormais à 2,48 %, Athènes se finance à 2,40 %.

    « La France est clairement en queue de peloton avec la Grèce et l’Italie à 3,46 % alors qu’elle appartenait encore en 2012 au peloton de tête avec l’Allemagne et les pays du Nord, tandis que l’Espagne figurait chez les mauvais élèves surnommés les PIIGS (« cochons », en anglais, pour Portugal, Italie, Irlande, Grèce et Espagne) », remarque Alexandre Baradez.

    Le Point via fdesouche

  • Banque de France, la mise en garde à propos de la dette

    Publié par Guy Jovelin le 12 mai 2022

    Fin de partie du monde bisounours que les médias ont vendu aux Français avant les présidentielles. Le banquier Macron, marionnette du système Davos, réélu, le réel s’invite, au propre et au figuré, à nouveau à la table de nos compatriotes. La dette de la France s’alourdit et l’inflation est là, et bien là, et avec elle son cortège de hausse des prix. La question de l’endettement public « a été loin de dominer » la campagne présidentielle française en avril dernier, a déclaré François Villeroy de Galhau, le gouverneur de la Banque de France.

    François Villeroy de Galhau, a émis une mise en garde concernant la hausse des taux lors d’une conférence du Haut conseil des finances publiques. Trop de Français, estime-t-il, considéraient que la dette « serait devenue sans limites et sans coût » après l’augmentation massive des dépenses pendant la pandémie, et avec la perspective de plus en plus nette de hausses de taux de la Banque centrale européenne (BCE) face à l’envolée de l’inflation. « Notre Conseil des gouverneurs agira autant que nécessaire pour remplir notre mandat prioritaire de stabilité des prix ; n’ayez aucun doute là-dessus », a déclaré François Villeroy de Galhau, également membre de la BCE. « Il est donc d’autant plus important pour les autorités budgétaires d’assurer la soutenabilité de la dette en contexte de hausse de taux », a-t-il ajouté. La Banque de France estime que chaque hausse de 1% des taux d’intérêt représente au bout de dix ans un coût supplémentaire de près de 40 milliards d’euros par an, soit quasiment le budget actuel de la Défense. Pour contribuer à ramener la dette publique sous 100% du PIB d’ici dix ans, François Villeroy de Galhau préconise une moindre augmentation des dépenses en volumes, à 0,5% par an contre plus de 1% observé au cours de la décennie précédente.

    La dette sous Macron a explosé sous la fallacieuse excuse de la pandémie Covid et de la guerre en Ukraine alors que la politique économique de ces dernières décennies de la zone Euro et « l’ultralibéralisme qui progresse depuis 40 ans dans les pays occidentaux » sont les véritables responsables du désastre économique actuel. Et de la dette abyssale que les jeunes générations devront régler.

    Conclusion : il va falloir se serrer la ceinture, tout au moins les pauvres, les sans-dents les gilets jaunes. La caste au pouvoir ne sera pas concernée…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Comment l’État camoufle une partie de sa dette et paye bien plus d’intérêts pour pouvoir le faire

    Publié par Guy Jovelin le 03 décembre 2021