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dette - Page 2

  • Comment l’État camoufle une partie de sa dette et paye bien plus d’intérêts pour pouvoir le faire

    Publié par Guy Jovelin le 03 décembre 2021

  • L’Etat veut mettre la main sur les 200 milliards d’euros épargnés par les Français

    Publié par Guy Jovelin le 24 février 2021

    L’Etat veut mettre la main sur les 200 milliards d’euros épargnés par les Français

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    Faudra-t-il rembourser la dette contractée durant le Covid ? D’Esther Duflot (prix nobel d’économie) à Marine Le Pen, en passant par Bruno Le Maire, quasiment tout le monde pense qu’il faudra bien rembourser. Reste à savoir comment…

    Le gouvernement avance qu’il n’y aura pas de hausse des impôts et « en même temps » un endettement illimité (« quoi qu’il en coûte »). On se demande par quelle baguette magique, l’Etat va régler le sujet… Depuis quelques jours, l’Etat a sorti cette baguette magique : c’est l’épargne des Français.

    L’OFCE avaient déclaré en avril 2020 :

    « Il faudra que les Français consomment leur épargne ».

    L’épargne des Français vient d’atteindre les 200 milliards d’euros. Et cela attire l’Etat. D’après une information du journal Les Echos, une véritable bataille politique est en cours pour voir comment utiliser cet argent dormant sur les livrets des réglementés ou des comptes courants.

    Depuis le 1er janvier 2016, selon une directive européenne transposée en France, les comptes clients dotés de plus de 100.000 euros de dépôts peuvent en effet être prélevés pour contribuer au sauvetage de leur banque.

    Le risque de spoliation est donc réel. Ceux qui ont préféré choisir Macron en espérant garantir leurs économies risquent d’en avoir pour leur argent.

     

    source : lesalonbeige

  • Rechute de l’économie : toujours plus de dettes et de fausse monnaie

    Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2020

     

    Marc-Rousset-2.jpgMarc Rousset

    Nouveaux confinements, pandémie en progression, création monétaire et endettement sans fin des États, incertitudes sur les vaccins à venir, tensions politiques grandissantes aux États-Unis et en Europe : les Bourses, les économies continuent de voguer partout dans le monde, telles des bateaux ivres. Selon le FMI, l’endettement des pays avancés pourrait avoisiner 125 %, fin 2021.

    En Europe, la deuxième vague de Covid-19 fait rechuter les économies au cours du quatrième trimestre 2020, contrairement aux prévisions, et la vraie reprise ne commencera au mieux que dans la deuxième moitié de 2021. On s’orienterait donc vers une reprise en W, la quatrième branche du W étant, au mieux, en « aile d’oiseau » pour 2021, voire complètement horizontale si la croissance est nulle. Le rebond, en France, du troisième trimestre 2020 a été artificiel. L’INSEE prévoit même, pour le quatrième trimestre, une croissance légèrement négative qui a été évaluée, par Euler Hermès pour la France, les Pays-Bas et l’Espagne, à respectivement -1,1 %, -1 % et -1,3 % au lieu de +1 %, +0,5 % et +1,4 %.

    La France fait donc face à la plus forte récession depuis la Seconde Guerre mondiale, tandis que la confiance des chefs d’entreprise replonge. Tous secteurs confondus, 800.000 emplois devraient être détruits en 2020, avec un chômage supérieur à 10 %. Seule une réforme des retraites, une immigration zéro et une réduction des effectifs dans la fonction publique pourraient éviter la banqueroute à la France qui serait immédiate, en cas de hausse des taux.

    Les dépenses publiques vont continuer d’augmenter partout en Europe. L’endettement public moyen de la zone euro sera de 100 % du PIB, fin 2020, soit 15 % de plus. La Grèce, l’Espagne, l’Italie, le Portugal et la France sont menacés, car bien au-dessus de ce seuil. L’économie espagnole, nouveau malade, inquiète particulièrement. La France et l’Espagne sont les deux pays qui décrochent le plus au quatrième trimestre.

    Les défauts de paiement augmentent en Espagne et les banques CaixaBank, Bankia, Unicaja et Liberbank ne voient plus leur salut que dans des fusions. La dette espagnole va friser les 120 % du PIB fin 2020. Selon la BCE, la seconde vague de Covid-19 pourrait faire tripler les créances douteuses, qui atteindraient les 1.400 milliards d’euros, en 2021, dans la zone euro. Et en Allemagne, pays le plus résilient de la zone euro, selon Creditreform, il y aurait 550.000 entreprises zombies, soit environ 16 % des sociétés allemandes. Le pire des scénarios pourrait même mener en 2021, selon S&P, 11 % des entreprises européennes à la faillite.

    La fuite en avant de création monétaire par la BCE continue, puisque Christine Lagarde veut augmenter le programme d’urgence face à la pandémie, fixé à l’origine à 1.350 milliards d’euros. Il se trouve que créer de la monnaie sans créer de la richesse n’a jamais réglé les problèmes économiques, mais tant que la BCE continue d’acheter des obligations, la confiance perdure. La Fed et la BCE sont prises au piège des taux bas et ne peuvent plus les monter, d’où le maintien des bulles boursières. Les obligations à taux de rendement négatif viennent d’atteindre, aux États-Unis, le chiffre record de 17.000 milliards de dollars. Mais à moyen terme, en cas d’inflation élevée, les banques centrales seront cependant amenées à relever les taux d’intérêt avec des risques de krachs.

    Aux États-Unis, la proportion des entreprises zombies est passée de 1 %, en 2000, à 19 %, en 2020, avec une nette accélération depuis 2008. Un programme de relance des dépenses publiques s’impose, tandis que les ventes d’armes explosent, malgré la pénurie de munitions, en attendant les élections…

    Les « sécurités » techniques mises en place à Wall Street peuvent éviter un krach violent sur une journée, mais le système ne pourra pas empêcher les Bourses de dégringoler en plusieurs jours. Tesla, c’est aujourd’hui, avec 400.000 voitures électriques, 400 milliards de capitalisation boursière, soit Ford + General Motors multiplié par cinq, et deux fois plus que Toyota avec 11 millions de voitures !

     

    Source : synthesenationale

  • La dette du RN proche des 25 millions d’euros

    Publié par Guy Jovelin le 21 février 2020

    Par Eric Martin  Il y a 9 heures

    La dette du RN proche des 25 millions d’euros

    Selon les chiffres de la Commission nationale des comptes de campagne rendus publics mardi, la dette du parti s’établissait fin 2018 à plus de 24,4 millions d’euros.

    Le Parisien cite quelques permanents et élus :

    « Il n’y a pas de quoi payer les créanciers. Nous sommes dans un état virtuel de cessation de paiements. Je ne vois pas comment on peut ne pas déposer le bilan d’ici à avril… », s’inquiète un cadre sous couvert d’anonymat. Une analyse que corrobore une note confidentielle réalisée en novembre par un ancien dirigeant à la demande de Jean-Marie Le Pen et que nous nous sommes procurée. « Faute de […] plan de redressement financier effectif et en temps utiles (dès 2018), le RN est devenu un parti zombie. […] Nous estimons que le premier semestre 2020, au plus tard, sera critique pour la trésorerie du parti », y est-il écrit.

    La situation semble alarmante mais, en interne, le sujet est tabou. « Quand je pose la question, on me dit on gère », confie un parlementaire, pas vraiment rassuré. « Les gens n’osent pas demander les livres de comptes, je me tiens éloigné de tout ça », abonde un autre qui poursuit, ironique : « La situation est compliquée parce que les banques et les Russes sont des méchants ! »

    Et ça prétend gouverner / réformer / sauver la France !

     

    Source : ndf

  • Dette de la France: la dérive mortelle.

    Publié par Guy Jovelin le 21 décembre 2019

    Aucune description de photo disponible.

    Malgré des taux d'emprunts en baisse constante, voire négatifs, et alors même qu'elle détient le triste record européen du niveau des prélèvements obligatoires (48,4 % contre 40,4 % en moyenne pour l'ensemble de l'Europe), la France vient de franchir le seuil des 100 % d'endettement (100,4 % du PIB) pour atteindre 2 415 milliards au troisième trimestre 2019 (+200 milliards sur l'année).

    À l'origine de cette dérive mortelle pour l'économie réelle du Pays et pour son indépendance, on trouve les dépenses vertigineuses de fonctionnement de l'Etat, la fraude fiscale et sociale, les gaspillages, les mille feuilles administratifs et territoriaux, les sinécures diverses pour amis, les subventions indues à des associations et organisations à entretenir, et, bien sûr, le poids de l'immigration. Tout cela a un coût que les déficits publics aussi abyssaux soient ils ne suffisent pas à couvrir. Il faut donc emprunter.

    Les conséquences en sont connues: mesure de rigueur anti sociales, réduction des effectifs et des budgets dans les services régaliens de l'Etat, épée de Damoclès sur les générations futures, et dépendance de la France au bon vouloir des marchés. Qui paye commande. Qui commande enchaîne.

    Pas plus que ses predécesseurs, Macron n'est en mesure de faire face. Ni n'en a la volonté.

    Un vaste chantier de plus pour la droite nationale lorsque viendra le temps de son arrivée aux responsabilités.

     

    Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France