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état

  • FAIRE DES ÉCONOMIES ! ET RÉDUIRE LE TRAIN DE VIE DE L'ÉTAT !

    Publié par Guy de Laferrière le 21 septembre 2023

    lafautearousseau

    Nouveau fiasco pour le semble-gouvernement et pour Macron : les grands distributeurs de carburant refusent de vendre à perte !

    La vraie solution est de baisser la démentielle TIPP (52 centimes de taxes pour un euro à la pompe !), ce qui ne peut se faire - puisque la perte de recette fiscale pour le gouvernement sera colossale - qu'en commençant par le commencement :

    FAIRE DES ÉCONOMIES !

    ET RÉDUIRE LE TRAIN DE VIE DE L'ÉTAT !

    EN RÉDUISANT LA DÉMENTIELLE SUR-ADMINISTRATION,

    EN ARRÊTANT L'IMMIGRATION,

    EN REFONDANT L'ÉCOLE ET EN CESSANT D'Y METTRE TANT DE JEUNES QUI NE SOUHAITENT PAS Y ÊTRE...

    (début de liste évidemment non limitative...)

    https://www.lefigaro.fr/societes/carburant-les-enseignes-refusent-de-vendre-a-perte-20230919

     

  • Une nouvelle Loi de programmation militaire permettant à l’Etat de réquisitionner tout ce qu’il veut

    Publié par Guy de Laferrière le 03 juillet 2023

    medias-presse.info

    Projet de loi de programmation militaire
    Projet de loi de programmation militaire

    Le texte de l’article 23 du projet de Loi de Programmation Militaire qui doit bientôt être votée permettra au gouvernement, dans des conditions extensibles à la demande dont la rédaction est particulièrement floue, de réquisitionner tout ce qu’il veut tant en ce qui concerne les personnes que les biens.

    Article 23 PLPM 2023 :

    En cas de menace pesant sur les activités essentielles à la vie de la Nation, la protection de la population, l’intégrité du territoire, la permanence des institutions de la République ou (cas nouveau) de nature à justifier la mise en œuvre des engagements internationaux de l’Etat en matière de défense, qu’elle soit actuelle ou si elle n’est pas immédiate, seulement prévisible, l’article L. 2212-1 nouveau du code de la défense permettra (s’il est définitivement adopté) au Président de la République, via un décret en conseil des ministres, d’ordonner la réquisition de toute personne, physique ou morale, et de tous les biens et les services nécessaires pour parer à cette menace ou d’habiliter l’autorité administrative ou militaire à procéder à ces mesures.

    Le fait de refuser de déférer à la demande de recensement des personnes, biens et services ou à la convocation à des essais ou à des exercices ou encore de refuser le blocage des biens sera pénalement sanctionné par un an d’emprisonnement et 15 000 euros d’amende, suite à l’adoption de l’amendement du Gouvernement par le Sénat. Le projet de loi est toujours en cours de discussion.

    Députés et sénateurs se réuniront le 6 juillet 2023 en commission mixte paritaire, pour tenter de s’accorder sur une version finale du projet de loi. Le gouvernement espère promulguer le texte autour du 14 juillet.

    Source : Projet de loi relatif à la programmation militaire pour les années 2024 à 2030 et portant diverses dispositions intéressant la défense

  • Comment l’Etat organise le grand remplacement en province

    Publié par Guy de Laferrière le 25 mai 2023

    PAR  LE  

    reinformation.tv

    2 min

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    2000. C’est le nombre d’immigrés clandestins demandeurs d’asile (« migrants ») que l’Etat transfère chaque mois d’Île-de-France vers les régions moins touchées, et singulièrement la Bretagne, car le Grand Est, les Hauts de France, la PACA et même la Nouvelle Aquitaine commencent à saturer. On sait les difficultés que cela engendre dans la province ainsi envahie, à Callac, à Saint-Brévin par exemple, mais il y a urgence en Île-de-France, car elle « reçoit » la moitié des « primo-arrivants » et ne supporte plus ce grand remplacement.

    Répartition administrative du grand remplacement en province

    Il pose un problème notamment en vue des Jeux Olympiques de 2024 : malgré les opérations de police et le démantèlement des campements dans les rues, ces derniers se reforment presque instantanément. C’est pourquoi le ministre du logement, Olivier Klein, et celui de l’intérieur, Gérald Darmanin, ont adressé aux préfets une circulaire commune le 13 mars pour leur demander d’aménager de nouveaux « sas d’accueil temporaire régionaux ». Toutes les régions, à l’exception de l’Île-de-France, des Hauts-de-France et de la Corse (tiens ?) devront construire un camp de cinq cents places pour y « orienter des personnes prises en charge lors des opérations de mise à l’abri conduites en Île-de-France ». C’est-à-dire pour y caser les clandestins raflés autour de la capitale.

    L’Etat contraint de venir au secours de Paris

    L’image de Paris s’est en effet fortement dégradée aux yeux des touristes et des supporters du monde entier sous les mandats d’Anne Hidalgo à cause d’une immigration excessive, et cela menace le bon déroulement des Jeux Olympiques. Selon Didier Leschi, directeur général de l’OFII, l’office français de l’immigration, « l’Etat ouvre 700 à 800 places tous les mois depuis 2015. Il y a eu 20.000 places créées pour la seule année 2022 ». Le gouvernement a publié en 2021 un SNADAR (schéma national d’accueil des demandeurs d’asile) qui vise à « desserrer la pression » sur Paris et amorcer un « rééquilibrage territorial ». En français courant : étendre le grand remplacement à tout le territoire.

     

    Source : http://view.robothumb.com/leblogalupus.com/

  • La ville de Strasbourg prise en étau entre l’État et les Frères Musulmans turcs

    Publié par Guy de Laferrière le 20 mars 2023

    Dans une région où l’absence de séparation entre les Églises et l’État permet aux collectivités locales de financer la construction de lieux de cultes, la ville de Strasbourg a été obligée de renoncer à une subvention de 2,5 millions d’euros pour la construction d’une mosquée. Ce 20 mars, le conseil municipal doit se pencher sur l’encadrement du soutien aux associations cultuelles.

    Tout cela ressemble à une mauvaise pièce de théâtre mais qui fait beaucoup de bruits.

    Acte I, en 2014 : la municipalité socialiste de Strasbourg accorde à l’association musulmane turque le Milli Görus un permis de construire pour un projet pharaonique de 35 millions d’euros incluant, à la mode turque, une mosquée, des commerces, une école. Lors de la pose de la première pierre, le 15 octobre 2017, le gotha strasbourgeois se presse autour du préfet, du vice-premier ministre turc Bekir Bozdag, du maire socialiste Alain Ries. Les Turcs étant très présents au sein de l’agglomération, il s’agit alors de faire plaisir à une puissante association de cette immigration dont le siège est à Cologne. Une association politiquement proche du parti de Recep Tayyip Erdogan, l’AKP, et inspirée des frères musulmans.

    […]

     

    Acte III, la demande subvention est examinée au conseil municipal au moment même où le ministre de l’Intérieur fait de la lutte contre l’islam radical sa priorité, mais surtout, au moment où les relations entre la France et la Turquie deviennent particulièrement exécrables. C’est l’époque où la France envoie des navires de guerre et des avions de combats pour soutenir la Grèce contre la Turquie, l’époque où le président Turc, qui a fait ses premières armes en politique auprès du fondateur du Milli Görüs, lance à Emmanuel Macron en 2020 : « ne cherchez pas querelle au peuple Turc, ne cherchez pas querelle à la Turquie. »

    Turquie aditionnée à Milli Görüs, tout est en place pour que la situation se tende. La préfète de la région Alsace reçoit instruction de son Ministre de déférer devant le tribunal administratif la décision de subvention votée en mars 2021 par le conseil municipal. Les élus écologistes mis en faute politiquement dans une affaire au retentissement national reprochent alors au ministre de l’Intérieur et à la préfète de ne pas avoir signalé que le Milli Görüs poserait des problèmes particuliers sur le plan de l’ordre public. Et pour cause, le très conservateur Milli Görüs est une des composantes fondatrices du conseil français du culte musulman (CFCM) mis sur pied par Nicolas Sarkozy. Mais de ce CFCM, le ministre de l’Intérieur n’en veut plus. Devant la polémique, le Milli Görüs retire alors sa demande de subvention.

    Acte IV, en novembre 2022 : la préfète et les élus d’opposition obtiennent de la part du tribunal administratif l’annulation de la délibération allouant la subvention. La juridiction administrative leur a donné raison en s’appuyant sur des irrégularités de forme, tout en indiquant que la municipalité n’a pas bien justifié du caractère conforme à « l’intérêt général » de cette subvention. Cette dernière remarque dénote une évolution de la jurisprudence administrative qui accompagne une accentuation des contrôles sur le financement des cultes même en régime de droit local (lire l’entretien ci-dessous avec Francis Messner.)

    Épilogue en janvier 2023. La ville de Strasbourg abroge la délibération adoptée quelques mois plus tôt et qui encadrait le financement des cultes. La préfecture du Bas-Rhin avait demandé au conseil municipal de rectifier son texte, en raison de plusieurs irrégularités et « pour en renforcer la sécurité juridique. » Mais refusant de s’avouer vaincu, la mère écologiste Jeanne Barseghian compte bien présenter en mars prochain une délibération dans le but de rendre plus clair les conditions de subventionnement des cultes dans ce régime si spécifique de droit local qui seul peut générer ce type de situation. La suite au prochain numéro, ce 20 mars.

    […]

     

    Marianne via fdesouche

  • L’Etat va ouvrir dix « sas » d’accueil de migrants dans dix régions pour désengorger l’Ile-de-France

    Publié par Guy de Laferrière le 03 mars 2023

    Selon le quotidien 20 minutes, l’Etat va ouvrir dix sas dans dix régions françaises, qui recevront des migrants et migrantes issues de campements parisiens essentiellement. L’idée est de désengorger la capitale, dans une logique d’égalité territoriale, mais les associations s’inquiètent des effets de ce système, qui pourrait permettre selon elles de renvoyer dans leurs pays plus discrètement des migrants qui n’ont pas le droit de séjourner en France.

    Enfin, les associations dénoncent les conditions des « mises à l’abri » ou démantèlements aujourd’hui effectués, les personnes concernées n’étant pas informées des conditions d’accueil qui les attendent, alors qu’elles perdent tout droit à l’hébergement si elles refusent ce qui leur est proposé.

    Principe de justice territoriale ou volonté de « nettoyer » la capitale avant les JO ? […]

    « Ils ouvrent dix sas qui recevront 50 migrants venant des camps toutes les trois semaines », nous indique aussi Philippe Crémer, conseiller municipal délégué à l’accueil des sans-abri et l’accompagnement des migrants de la ville de Besançon. La capitale bisontine est en effet l’une des premières à ouvrir le bal. La région est la seule pour laquelle un avis d’appel à projets a été publié, pour une structure « d’une capacité de 50 places ». On y apprend que le plan du gouvernement prévoit d’accueillir « jusqu’à 600 personnes par mois ».

    Sollicitée par 20 Minutes, la direction générale des étrangers nous explique : « Des opérations de mise à l’abri sont régulièrement mises en œuvre, à l’initiative de la préfecture de région Ile-de-France, au bénéfice des personnes se situant dans des campements ou des hébergements précaires à Paris et en Ile-de-France. La création de ”sas” d’accueil et orientation en région actuellement envisagée vise à consolider le cadre de ces opérations de mise à l’abri et à permettre l’examen de la situation administrative des personnes qui en bénéficient ». Il s’agit de toutes les préfectures de région de France métropolitaine, hormis l’île de France, les Hauts de France et la Corse, ajoute la direction générale des Etrangers.

    La nouveauté de ce dispositif réside, selon la Cimade, dans ce que seront pris en charge non seulement des demandeurs d’asile et réfugiés, comme dans les centres d’accueil et d’examen de la situation (CAES) classiques, mais aussi des sans papiers, des personnes déjà déboutées, bref, toute personne acceptant de monter dans les bus mis à disposition par la préfecture de région et faisant l’objet d’une opération de « mise à l’abri » ou d’un démantèlement de campement, comme ce qui s’est produit le 27 octobre dernier porte de la Chapelle. « D’habitude, les personnes ont déjà été enregistrées comme demandeuses d’asile et sont orientées par l’Office Français de l’Immigration et de l’Intégration (Ofii). Là, l’orientation précède l’examen de situation administrative », explique Gérard Sadik, responsable des questions asile à la Cimade.

    A l’approche des Jeux olympiques, les dispositifs d’hébergement sont saturés. De nombreux hôtels qui accueillent des migrants ont décidé de se refaire une beauté avant l’arrivée du flot de touristes, et la préfecture peine à trouver des places d’hébergement. Sans parler du fait que Paris et l’Ile-de-France reçoivent déjà bien plus de migrants que le reste de la France. La volonté de répartir dans d’autres régions cette charge apparaît donc comme justifiée aux associations que nous avons contactées, mais celles-ci s’inquiètent de la façon dont ce dispositif est mis en œuvre, notamment pour les personnes qui ont déjà été déboutées du droit d’asile: « Nous craignons que ces orientations en région soient aussi faites pour remplir les centres de rétention administrative (qui retiennent les étrangers qui n’ont pas le droit de séjourner en France). Si l’objectif c’est de renvoyer derrière, c’est dégueulasse », explique Yann Manzi, cofondateur d’Utopia 56. « Qu’est-ce qui va se passer pour ces gens ? » s’interroge aussi Gérard Sadik.

    20 minutes via fdesouche