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état - Page 2

  • Avec la montée de la violence, l’État a souhaité organiser une opération nationale d’abandon d’armes. Michel, retraité : «j’ai pas envie de laisser ça à mes enfants, ça sert à rien »

    Publié par Guy de Laferrière le 30 novembre 2022

     
    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1597862244708220930
  • Cabinets de conseil: même médiocres, les missions des consultants pour l’État ne sont pas remises en question

    Publié par Guy Jovelin le 27 septembre 2022

    Alors que le travail des consultants du privé embauchés par l’Etat n’est pas toujours au niveau, l’administration le valide presque automatiquement, selon des fiches d’évaluation auxquelles « Le Monde » a eu accès.

    Un « manque d’expertise », de « culture juridique » ou encore de « connaissance du secteur public ». Rémunérés par le gouvernement pour contribuer à des chantiers stratégiques comme la politique de distribution de masques pendant la pandémie ou encore la stratégie de rénovation énergétique, les consultants du secteur privé rendent parfois une copie indigente aux yeux de l’administration, selon des documents obtenus par Le Monde dans le cadre de la procédure d’accès aux documents administratifs.

    Ces dizaines de fiches d’évaluation ont été établies à la suite de missions réalisées par de prestigieux cabinets de conseil (Capgemini, Eurogroup, Boston Consulting Group, McKinsey, etc.) pour le compte du gouvernement. Toutes ces prestations ont été facturées par le biais de l’accord-cadre de la direction interministérielle de la transformation publique (DITP), un grand contrat fourre-tout dans le cadre duquel plus de 208 millions d’euros ont été dépensés de 2018 à 2021. A rebours du discours gouvernemental selon lequel chaque mission serait suivie de près, ces documents révèlent d’importantes lacunes dans leur contrôle et leur encadrement.

    […]

    Le Monde via fdesouche

  • Comment l’État camoufle une partie de sa dette et paye bien plus d’intérêts pour pouvoir le faire

    Publié par Guy Jovelin le 03 décembre 2021

  • La Seine-Saint-Denis ayant trop d’allocataires du RSA, l’État mettra la main à la poche dès 2022

    Publié par Guy Jovelin le 21 septembre 2021

    fdesouche

    Le département de Seine-Saint-Denis, en proie à des difficultés financières en raison du nombre d’allocataires du revenu de solidarité active (RSA), s’apprête à bénéficier dès 2022 de la “renationalisation” du RSA […]

    Capital

    […] Avec près de 90.000 foyers bénéficiaires du RSA, la Seine-Saint-Denis, le département le plus pauvre de France métropolitaine, fait face à une dépense de plus en plus difficilement supportable pour ses finances. En 2020, il a versé 551 millions d’euros au titre de cette allocation – soit plus d’un quart de ses dépenses de fonctionnement -, dont 220 millions restant à sa charge après la compensation de l’Etat. Depuis 2012, ce reste à charge a augmenté de 120 %, soit davantage que le RSA (+54 %), indique-t-on au conseil départemental.

     

    […] En contrepartie, le département s’est engagé à doubler les crédits consacrés à l’insertion des allocataires – une compétence qu’il conservera. Aujourd’hui, ceux-ci représentent seulement 5 % de ses dépenses liées au RSA, contre 10 % en moyenne dans les autres départements.

    « C’est un accord gagnant-gagnant puisque le département retrouve des marges de manœuvre financière et qu’il réinvestit sur une politique prioritaire pour lui et pour l’Etat », explique-t-on à Matignon.

    Le RSA a déjà été recentralisé à Mayotte et en Guyane en 2019, ainsi qu’à La Réunion en 2022. […]

    Les Echos

  • Rendre hommage aux victimes du terrorisme, comme le fait l'Etat ce 11 mars, n'a aucun sens.

    Publié par Guy Jovelin le 11 mars 2021

    Rendre hommage aux victimes du terrorisme, comme le fait l'Etat ce 11 mars, n'a aucun sens.
    Elles ont été les proies malheureuses mais de hasard de la rage islamiste, comme le furent tous les Français morts injustement comme, par exemple, ceux qui, bloqués dans les villes du nord ou de l'est, disparurent sous les obus allemands entre 1914 et 1918 ou ceux qui périrent en Normandie, en Bretagne ou ailleurs sous les bombes alliées en 1944.
    C'est, bien sûr, une horreur pour les familles auxquelles il appartient de les pleurer. La Nation, elle, loin des pleurnicheries, des cérémonies factices et des lamentations qui relèvent de l'affaiblissement général du corps français et de l'âme européenne en détruisant nos instincts guerriers, doit se battre avec force pour éradiquer la menace, néantiser l'idéologie qui la porte et détruire ceux qui la servent.
    JFT
    Peut être une image de une personne ou plus et rose