Publié par Guy Jovelin le 04 mai 2025
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En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France
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La France ne tiendrait que «quelques semaines» en cas de guerre majeure, alerte un rapport parlementaire
Publié par Guy Jovelin le 04 mai 2025
La France ne tiendrait que « quelques semaines, au mieux » en cas de guerre de haute intensité. C’est le constat, qualifié d’« alarmant », dressé par un rapport de la commission de la Défense de l’Assemblée nationale, rendu public le 30 avril. Cité par la presse du pays, le document examine en détail les capacités de l’artillerie française dans le contexte stratégique actuel.
Le texte met particulièrement en avant l’exemple du canon Caesar, pièce maîtresse de l’artillerie française : la France n’en dispose que de 76, alors qu’il en faudrait au moins 215 pour affronter un conflit de grande ampleur, selon les estimations des rapporteurs.
Le rapport parlementaire déplore par ailleurs la lenteur de l’industrie de défense française à reconstituer les stocks. Les capacités de production d’obus, par exemple, sont jugées trop limitées pour répondre rapidement à une hausse des besoins.
Stocks critiques et production lente
Le Journal du Dimanche (JDD) rapporte que, selon le rapport, l’artillerie française ne pourrait soutenir qu’un mois et demi de combats en cas de guerre de haute intensité, en raison de stocks de munitions insuffisants. Un article du site Opex360 analyse les performances du canon Caesar et annonce le lancement d’une étude technico-opérationnelle sur son successeur en 2025.
Cette alerte – décortique le JDD – intervient dans un contexte où la France, comme plusieurs pays européens, a privilégié depuis la fin de la Guerre froide une armée légère conçue pour des interventions courtes à l’étranger aux dépens de la préparation à des guerres de haute intensité.
D’autres médias comme BFMTV expliquent que le conflit en Ukraine a profondément rebattu les cartes en matière de doctrine militaire, le conflit ayant mis en évidence l’importance d’une logistique robuste et de stocks massifs, nécessaires pour soutenir une guerre d’attrition.
L’« économie de guerre » de Macron à la traîne
Avant la publication du rapport, certains journaux comme Le Monde avaient abordé la question, soulignant que la France ne possède qu’un nombre limité de canons Caesar, dont certains ont été envoyés en Ukraine, ce qui suscite des inquiétudes quant à la capacité de l’armée française à faire face à un conflit de haute intensité.
Malgré les annonces répétées d’Emmanuel Macron sur le passage à une « économie de guerre », les effets concrets tardent à se matérialiser, pointent d’autres médias citant des députés. Une commande d’un million d’obus au niveau européen a bien été lancée en soutien à l’Ukraine, mais elle illustre surtout la dépendance accrue à une coordination européenne encore balbutiante.
Face à ces critiques, le ministère des Armées se veut rassurant. Cité par BFMTV, il assure que des efforts ont été engagés pour accélérer les cadences, diversifier les fournisseurs, et renforcer la résilience de la base industrielle de défense. Une loi de programmation militaire, votée en 2023, prévoit 413 milliards d’euros de budget sur sept ans.
Source : RT
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France/Algérie : Jean-Noël Barrot annonce «une nouvelle phase dans une relation d’égal à égal» et promet une coopération dans tous le secteurs
Publié par Guy Jovelin le 07 avril 2025
Après des mois de tensions diplomatiques, Paris et Alger annoncent un retour à la normale. À l’issue d’une journée de discussions, le ministre français des Affaires étrangères a affirmé que les deux pays s’étaient engagés à relancer leur coopération dans tous les secteurs.
«Nous revenons à la normale, et pour reprendre les mots du président (Abdelmadjid) Tebboune : le rideau est levé», a déclaré Jean-Noël Barrot dans un communiqué après deux heures et demie d’entretien.
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François Bayrou avoue qu’il y a au moins 9 millions de musulmans en France
Publié par Guy Jovelin le 06 avril 2025
Les médias (ici RMC) rapportent :
Après avoir soutenu la proposition de loi sur le port du voile dans les compétitions sportives, François Bayrou n’y serait désormais plus favorable. C’est en tout cas le sens des propos tenus ce mardi par le Premier ministre.
La ligne de François Bayrou a visiblement évolué. Le Premier ministre était interrogé ce mardi par la droite sur la proposition de loi déjà votée au sénat pour généraliser l’interdiction du port de signes religieux à toutes les compétitions sportives.
Ce pasasge nous intéresse particulièrement :
Patrick Mignola, le ministre en charge des relations avec le parlement, a indiqué ne pas voir comment cette proposition de loi pouvait rentrer dans l’agenda de l’Assemblée nationale. Ce à quoi Bayrou a répondu: « Il ne faut pas stigmatiser nos 9 millions de compatriotes musulmans. » […]
Alors qu’il est interdit en France d’obtenir des statistiques sur l’ampleur de la tentative de remplacement de la population autochtone, le Premier ministre vient de faire un bel aveu.
En bonne logique, quand il parle de « compatriotes » [sic], cela signifie qu’il ne compte pas ceux qui sont formellement étrangers et en règle, ni les clandestins.
On doit avoir entre 12 et 15 millions d’adeptes de l’islam en France, pour un total de 18 à 20 millions de non Européens…
Données auxquelles il faut ajouter le taux de métissage actuellement important (après des décennies d’intense promotion médiatique et publicitaire)…
Le peuple autochtone de la France est plus que jamais menacé de disparition.