Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2025

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Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2025

Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2025
L’ambassade de France à Alger annonce avoir délivré 8.351 visas étudiants pour la rentrée 2025, soit près de 1.000 de plus qu’en 2024. Une décision qui surprend, alors que les relations diplomatiques entre Paris et Alger sont glaciales. « On est chez les fous », souffle une source du ministère de l’Intérieur, prise de court par ce geste d’ouverture du Quai d’Orsay, qui n’a pas consulté Beauvau avant d’accorder un taux d’acceptation record de 87%.
Pour la diplomatie française, cette hausse serait « insignifiante » et « dans la norme des quatre dernières années ». Mais sur le terrain politique, elle est perçue comme une concession de taille : l’Algérie refuse toujours de reprendre ses ressortissants sous OQTF, et deux Français — l’écrivain Boualem Sansal et le journaliste Christophe Glaze — restent détenus à Alger.
Ce contraste alimente l’incompréhension : pourquoi « dérouler le tapis rouge » à des milliers d’étudiants, quand le régime algérien défie Paris sur le plan migratoire et diplomatique ? Beaucoup y voient une faiblesse stratégique, un signal paradoxal envoyé à un pays qui ne cesse de tester les limites de la France.
Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2025

Luca Zidane, gardien formé au Real Madrid et fils de Zinédine Zidane, a officiellement changé de nationalité sportive. International français jusqu’aux moins de 20 ans, il avait notamment remporté l’Euro U17 en 2015 avec les Bleuets.
Le joueur de 27 ans portera désormais les couleurs de l’Algérie. Cette décision marque un tournant dans sa carrière internationale, alors qu’il n’avait jamais été convoqué en équipe A par la France. Le choix de Luca Zidane s’inscrit dans la lignée de plusieurs binationaux ayant opté pour les Fennecs ces dernières années.
Publié par Guy Jovelin le 12 août 2025

Bernard Lugan - Article paru sur le site du Nouveau Présent, cliquez ici.
Le gouvernement algérien ose demander à la France une réévaluation de la valeur locative de ses emprises diplomatiques en Algérie et le remboursement de loyers prétendument « sous-payés », alors qu’il s’agit de bâtiments construits par la France avec l’argent des Français sur des terrains qui appartenaient à la France avant 1962…
Sans parler des centaines de milliers d’immeubles, d’appartements, de villas, de fermes, de commerces, d’entreprises, de véhicules et de machines volés aux Français lors de l’indépendance de 1962.
Sous la France, 1 lit d’hôpital pour 300 habitants !
Sans parler non plus de l’héritage exceptionnel que la France légua à l’Algérie en 1962, à savoir 54 000 kilomètres de routes et pistes (80 000 avec les pistes sahariennes), 31 routes nationales dont près de 9000 kilomètres étaient goudronnés, 4300 km de voies ferrées, 4 ports équipés aux normes internationales, 23 ports aménagés (dont 10 accessibles aux grands cargos et dont 5 qui pouvaient être desservis par des paquebots), 34 phares maritimes, une douzaine d’aérodromes principaux, des centaines d’ouvrages d’art (ponts, tunnels, viaducs, barrages etc.), des milliers de bâtiments administratifs, de casernes, de bâtiments officiels, 31 centrales hydroélectriques ou thermiques, une centaine d’industries importantes dans les secteurs de la construction, de la métallurgie, de la cimenterie etc., des milliers d’écoles, d’instituts de formations, de lycées, d’universités avec 800 000 enfants scolarisés dans 17 000 classes ( soit autant d’instituteurs, dont deux-tiers de Français), un hôpital universitaire de 2000 lits à Alger, trois grands hôpitaux de chefs-lieux à Alger, Oran et Constantine, 14 hôpitaux spécialisés et 112 hôpitaux polyvalents, soit le chiffre exceptionnel d’un lit pour 300 habitants. Sans parler d’une agriculture florissante laissée en jachère après l’indépendance, à telle enseigne qu’aujourd’hui l’Algérie doit importer du concentré de tomates, des pois chiches et de la semoule pour le couscous…
Tout ce que la France légua à l’Algérie avait été construit à partir du néant, dans un pays qui n’avait jamais existé et dont même son nom lui fut donné par la France. Tout avait été payé par les impôts des Français. En 1959, toutes dépenses confondues, l’Algérie engloutissait 20% du budget de l’Etat français, soit davantage que les budgets additionnés de l’Education nationale, des Travaux publics, des Transports, de la Reconstruction et du Logement, de l’Industrie et du Commerce !
La seule réponse à l’arrogance des dirigeants algériens serait donc de leur présenter la note…
Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2025
