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algérie

  • Accords de 1968 entre la France et l’Algérie

    Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2025

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    Certains s’enflamment pour une résolution adoptée à une voix près, comme si le Rassemblement National venait de remporter une bataille décisive contre l’invasion migratoire algérienne. Soyons réaliste : oui, dénoncer ces accords de 1968 entre la France et l’Algérie, c’est un geste qui va dans le bon sens, un rappel que ces reliquats coloniaux et gaullistes ont ouvert les vannes d’une immigration qui nous noie depuis des décennies. Mais une résolution ? C’est du vent symbolique, du théâtre parlementaire sans aucune force contraignante. Les accords restent bel et bien en vigueur, gravés dans le marbre administratif, et le flux insoutenable d’Algériens vers la France ne va pas s’arrêter net pour autant.
    On nous vend ça comme une victoire du RN mais c’est une illusion d’optique. Car qu’est-ce qui change concrètement ? Rien. Les Algériens vont continuer d’arriver par milliers, protégés par ces privilèges bilatéraux qui font de la France une terre d’asile pour tous ceux qui fuient leur pays sinistré sans jamais l’assumer. À part l’extrême-gauche, qui voit en eux des martyrs éternels, plus personne en France ne peut sentir les Algériens. Même des Algériens installés ici de longue date, souvent les premiers à râler contre leurs congénères fraîchement débarqués, ne supportent plus cette importation massive de tensions, de clientélisme et de repli communautaire.
    Les Algériens sont parmi les immigrés les plus hostiles au pays d’accueil, ils ont été élevés dans la haine rabique de la France. Ils ne viennent pas pour s’intégrer mais pour coloniser à leur tour, avec des exigences qui épuisent nos ressources et nos nerfs. Il faut renvoyer un maximum d’entre eux en Algérie, stopper net ces flux privilégiés et restaurer une souveraineté migratoire impitoyable. Une résolution ? C’est un pansement sur une hémorragie. Pour agir vraiment, il faudrait une loi, une volonté politique ferme de l'exécutif et non des incantations parlementaires qui nous bercent d’illusions. Tant qu’on s’arrête au symbole, l’invasion continue et la France s’affaiblit un peu plus chaque jour. Le vrai combat est dans les actes, pas dans l'autosatisfaction et les applaudissements éphémères.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
     
     
     
     
  • Paris déroule le tapis rouge à Alger malgré la crise diplomatique : 8.400 visas étudiants accordés, soit près de 1.000 de plus qu’en 2024.

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2025

     

    L’ambassade de France à Alger annonce avoir délivré 8.351 visas étudiants pour la rentrée 2025, soit près de 1.000 de plus qu’en 2024. Une décision qui surprend, alors que les relations diplomatiques entre Paris et Alger sont glaciales. « On est chez les fous », souffle une source du ministère de l’Intérieur, prise de court par ce geste d’ouverture du Quai d’Orsay, qui n’a pas consulté Beauvau avant d’accorder un taux d’acceptation record de 87%.

    Pour la diplomatie française, cette hausse serait « insignifiante » et « dans la norme des quatre dernières années ». Mais sur le terrain politique, elle est perçue comme une concession de taille : l’Algérie refuse toujours de reprendre ses ressortissants sous OQTF, et deux Français — l’écrivain Boualem Sansal et le journaliste Christophe Glaze — restent détenus à Alger.

    Ce contraste alimente l’incompréhension : pourquoi « dérouler le tapis rouge » à des milliers d’étudiants, quand le régime algérien défie Paris sur le plan migratoire et diplomatique ? Beaucoup y voient une faiblesse stratégique, un signal paradoxal envoyé à un pays qui ne cesse de tester les limites de la France.

    Europe 1 via fdesouche

  • Luca Zidane, fils de Zinédine, change de nationalité sportive et opte pour l’Algérie

    Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2025

    Luca Zidane, gardien formé au Real Madrid et fils de Zinédine Zidane, a officiellement changé de nationalité sportive. International français jusqu’aux moins de 20 ans, il avait notamment remporté l’Euro U17 en 2015 avec les Bleuets.

    Le joueur de 27 ans portera désormais les couleurs de l’Algérie. Cette décision marque un tournant dans sa carrière internationale, alors qu’il n’avait jamais été convoqué en équipe A par la France. Le choix de Luca Zidane s’inscrit dans la lignée de plusieurs binationaux ayant opté pour les Fennecs ces dernières années.

    BFM TV via fdesouche

  • C’est à l’Algérie de rembourser la France

    Publié par Guy Jovelin le 12 août 2025

    synthesenationale

    Centenaire de l'Algérie française (1830-1930) — Wikipédia

    Bernard Lugan - Article paru sur le site du Nouveau Présentcliquez ici.

    Le gouvernement algérien ose demander à la France une réévaluation de la valeur locative de ses emprises diplomatiques en Algérie et le remboursement de loyers prétendument « sous-payés », alors qu’il s’agit de bâtiments construits par la France avec l’argent des Français sur des terrains qui appartenaient à la France avant 1962…

    Sans parler des centaines de milliers d’immeubles, d’appartements, de villas, de fermes, de commerces, d’entreprises, de véhicules et de machines volés aux Français lors de l’indépendance de 1962.

    Sous la France, 1 lit d’hôpital pour 300 habitants !

    Sans parler non plus de l’héritage exceptionnel que la France légua à l’Algérie en 1962, à savoir 54 000 kilomètres de routes et pistes (80 000 avec les pistes sahariennes), 31 routes nationales dont près de 9000 kilomètres étaient goudronnés, 4300 km de voies ferrées, 4 ports équipés aux normes internationales, 23 ports aménagés (dont 10 accessibles aux grands cargos et dont 5 qui pouvaient être desservis par des paquebots), 34 phares maritimes, une douzaine d’aérodromes principaux, des centaines d’ouvrages d’art (ponts, tunnels, viaducs, barrages etc.), des milliers de bâtiments administratifs, de casernes, de bâtiments officiels, 31 centrales hydroélectriques ou thermiques, une centaine d’industries importantes dans les secteurs de la construction, de la métallurgie, de la cimenterie etc., des milliers d’écoles, d’instituts de formations, de lycées, d’universités avec 800 000 enfants scolarisés dans 17 000 classes ( soit autant d’instituteurs, dont deux-tiers de Français), un hôpital universitaire de 2000 lits à Alger, trois grands hôpitaux de chefs-lieux à Alger, Oran et Constantine, 14 hôpitaux spécialisés et 112 hôpitaux polyvalents, soit le chiffre exceptionnel d’un lit pour 300 habitants. Sans parler d’une agriculture florissante laissée en jachère après l’indépendance, à telle enseigne qu’aujourd’hui l’Algérie doit importer du concentré de tomates, des pois chiches et de la semoule pour le couscous…

    Tout ce que la France légua à l’Algérie avait été construit à partir du néant, dans un pays qui n’avait jamais existé et dont même son nom lui fut donné par la France. Tout avait été payé par les impôts des Français. En 1959, toutes dépenses confondues, l’Algérie engloutissait 20% du budget de l’Etat français, soit davantage que les budgets additionnés de l’Education nationale, des Travaux publics, des Transports, de la Reconstruction et du Logement, de l’Industrie et du Commerce !

    La seule réponse à l’arrogance des dirigeants algériens serait donc de leur présenter la note… 

  • Une liberté d’expression à géométrie variable, au service d’un régime qui déteste la France et d’élites qui la trahissent.

    Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2025

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    Ça s’émeut, ça s’indigne, ça geint. Boualem Sansal, écrivain courageux, serait persécuté par le régime algérien. Quelle découverte ! Voilà soixante ans que l’Algérie est une dictature militaire corrompue, un pays tenu d’une main de fer par une caste d’anciens fellaghas reconvertis en oligarques. Mais il a fallu qu’un intellectuel parle un peu trop fort pour que nos belles âmes s’éveillent enfin.
    Le plus grotesque dans cette affaire, c’est l’indignation sélective de nos gouvernants. Ces mêmes dirigeants français qui rampent devant Alger, qui mendient une entrevue ou un vague geste diplomatique, osent donner des leçons de liberté. Ils acceptent sans broncher que l’Algérie insulte la France, refuse de reprendre ses ressortissants sous OQTF, finance des mosquées radicales sur notre sol. La France officielle, celle des ministres sans colonne vertébrale, se couche, encore et toujours.
    Et pendant qu’on feint de défendre la liberté d’expression à Alger, on la piétine à Paris. On condamne des Français pour des tweets, des tribunes, des propos dissidents. Une batterie de lois liberticides verrouille le débat public : loi Pleven, loi Gayssot, loi Avia, etc. Le délit d’opinion est devenu un sport national.
    Cette affaire Sansal est l’illustration parfaite de l’hypocrisie occidentale : compassion pour les dissidents étrangers, mépris pour les résistants français. Une liberté d’expression à géométrie variable, au service d’un régime qui déteste la France et d’élites qui la trahissent.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France