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  • Le patron de Blackrock décerne le Prix de Citoyen du monde à Emmanuel Macron

    Publié par Guy Jovelin le 08 octobre 2025

    Le patron de Blackrock décerne le Prix de Citoyen du monde à Emmanuel Macron

    Les médias français ont peu fait écho à la remise des Global Citizen Awards 2025 qui s’est déroulée à New York au début du mois, à l’initiative de l’Atlantic Council et en marge de l’Assemblée générale des Nations Unies. Or, Emmanuel Macron fut l’un des trois lauréats de ce prix mondialiste décerné devant quelque sept cents dirigeants politiques, économiques, militaires et des médias.

    Outre Emmanuel Macron, le président argentin Javier Milei et le président de la Fédération Internationale de Football Association (FIFA), Gianni Infantino, ont également été récompensés ce soir-là.

    John F.W. Rogers, président du Conseil de l’Atlantique, a affirmé vouloir honorer trois dirigeants mondiaux « qui ont répondu à l’appel de servir une cause plus grande que la leur ». Et Rogers d’ajouter sans rire que chacun d’eux incarne « le sens du devoir » et que leur personnalité et leurs contributions ont « transcendé les obligations de leur propre situation ».

    Il incombe aux dirigeants comme aux citoyens, a déclaré Rogers, de contribuer à « articuler une vision du monde qui permette aux démocraties de prospérer dans cette nouvelle ère ».

    Frederick Kempe, président-directeur général du Conseil de l’Atlantique, a lancé un appel à l’action aux nombreux dirigeants présents dans cette salle influente, des entreprises aux gouvernements, en passant par l’armée et la société civile : « Vous avez tous un rôle à jouer, vous pouvez tous façonner cet avenir. »

    Le patron de Blackrock décerne le Prix de Citoyen du monde à Emmanuel Macron

    Emmanuel Macron reçoit le Prix du Citoyen du Monde

    C’est après un mot d’introduction prononcé par Laurence D. Fink, le patron de Blackrock et nouveau co-président par intérim du Forum économique mondial que le président français a accepté son Prix du Citoyen du Monde.
    Il a présenté la guerre entre la Russie et l’Ukraine comme « une guerre existentielle » pour les Européens. « Notre devoir en tant que nations libres, en tant que membres des Nations Unies, est clairement de soutenir les Ukrainiens dans cette résistance, de les soutenir non seulement pour résister, mais aussi pour recouvrer leur territoire et leur intégrité. »

    Le belliciste président de la république française a également lancé un appel à règlementer les réseaux sociaux parce qu’ils échappent actuellement au contrôle du Nouvel ordre mondial, entraînant selon lui des effets profondément négatifs sur les jeunes générations et sur le discours politique.

    « Aucun dirigeant français n’a dirigé son pays à une période aussi cruciale depuis la Seconde Guerre mondiale », a déclaré le président-directeur général de BlackRock  à propos de Macron.

    Le Prix de citoyen du monde

    Le président argentin Javier Milei a, lui aussi, reçu le Prix Citoyen du Monde, après une présentation faite par le secrétaire américain au Trésor, Scott Bessent.

    Notons que le lauréat 2010 du Global Citizen Awards n’était autre que Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial de Davos.

    Le Prix de citoyen du monde

    Depuis, Zelensky a lui-aussi reçu ce prix, en 2023.

    Le Prix de citoyen du monde

    Pierre-Alain Depauw

  • Coalition des volontaires : on ne change pas une équipe qui perd

    Publié par Guy Jovelin le 05 septembre 2025

    Auteur : 
    L’aveugle et le boiteux…

    J’ai regardé attentivement pour vous la conférence de presse des présidents Macron et Zelensky suite à la réunion de la coalition des volontaires organisée le 4 septembre à Paris.

    Je ne voudrais pas avoir l’air d’enfoncer des portes ouvertes, mais quand certains rabâchent des mensonges et des âneries pour qu’elles deviennent des vérités, il convient de répéter la vérité afin que leurs inepties demeurent des mensonges.

    Ainsi, Emmanuel Macron nous dit :

    « Le camp de la paix est à Washington, Kiev, et dans toutes les capitales d’Europe et chez tous les alliés de cette coalition des volontaires ».

    Il est bon de voir que Macron valide la nouvelle posture de Washington qui a considérablement évolué depuis l’arrivée de Donald Trump, il y a moins d’un an, à la Maison Blanche.

    Il y a encore moins d’un an en effet, les contacts entre les États-Unis et la Russie étaient rompus. Entre février 2022 et janvier 2025, pratiquement aucun contact entre la Russie et les États-Unis au niveau ministériel n’a eu lieu. Pire, quand le « camp de la paix » s’est réuni à Bürgenstock en Suisse en juin 2024, la Russie n’avait même pas été conviée. Et moi qui croyais naïvement que pour faire la paix il fallait être deux.

    Ce que Macron oublie dans sa dialectique orwellienne, c’est que précisément le fameux « camp de la paix » n’a eu de cesse que de jeter de l’huile sur le feu de ce conflit. Ainsi, personne n’a oublié que le Premier ministre britannique Boris Johnson fit tout pour faire capoter l’accord de paix négocié à Istanbul en avril 2022 et sur le point d’être signé par Moscou et Kiev.

    Combien de malheurs auraient pu être évités si une puissance étrangère n’était pas venue faire du sabotage dans un conflit qui, à l’évidence, ne la regardait pas ? Combien de malheur et combien de territoires perdus pour l’Ukraine aurait été évités.

    Il faut également revenir sur le terme de « guerre d’agression ».

    Ce sont les États européens et américains qui ont agressé l’Ukraine en répandant le ferment de la déstabilisation en 2014. La Russie n’a fait que réagir notamment pour protéger des populations agressées, ayant ainsi le droit international de son côté. J’ajoute que c’est « le camp de la paix », toujours lui, qui a saboté les Accords de Minsk, avouant toute honte bue qu’il s’agissait d’une manœuvre dilatoire. On notera au passage que c’est aujourd’hui Macron qui accuse la Russie de manœuvres dilatoires. Pardon encore une fois de répéter des choses que le lecteur éclairé sait déjà, mais la pratique de l’inversion accusatoire par les gouvernements occidentaux nous y contraint.

    Macron a raison de rappeler que les faits sont têtus car la Russie n’a eu de cesse de chercher des solutions pour éviter le conflit, rendu inévitable par l’intransigeance des occidentaux et notamment des États-Unis. Il eût suffi à l’époque de garanties solides de non adhésion de l’Ukraine à l’OTAN (ce qui aujourd’hui n’est plus guère d’actualité) et de protections efficaces des populations du Donbass pour que Moscou renonce à son intervention.

    Ensuite, je ne sais pas si c’est l’effet des substances, mais Macron devrait tout de même faire un peu attention.

    Car si l’armée russe avait effectivement perdu 1 million d’hommes pour conquérir 1% du territoire, on se demande bien comment elle ferait pour avancer comme elle avance aujourd’hui.

    Personne hélas ne peut contester qu’il y a eu trop de pertes de part et d’autre, mais il me semble qu’à ce niveau-là de l’État, un minimum de mesure s’impose. Bon il est vrai que la conférence ce de presse réunissait exclusivement des journalistes amis, mais tout de même…

    Enfin, et pour conclure, on notera que la réunion de Paris n’a abouti strictement à rien.

    Car il est bien beau de statuer sur ce que l’on va faire après le cessez-le-feu, mais faudrait-il qu’il y ait un cessez-le-feu. Or le feu ne pourra cesser qu’aux conditions de celui qui a l’avantage sur le terrain.

    Et sur le terrain, c’est la Russie qui a l’avantage.

    De surcroît, sans vouloir faire de peine à personne, je doute qu’une coalition composée entre autre, de la Belgique, du Luxembourg ou de la Nouvelle-Zélande soit suffisante pour faire peur à Poutine.

    Je m’en voudrais de ne pas aborder brièvement la question de savoir ce qu’il convient de faire si Vladimir Poutine n’obtempère pas devant les injonctions des charlots. Ils ont prévu de nouvelles sanctions. C’est vrai que ça a tellement bien marché jusque-là qu’il serait dommage de ne pas appliquer une formule aussi fructueuse.

    De la même manière qu’on s’évertue à appliquer des solutions qui ne marchent jamais, on ne change pas une équipe qui perd.

    Jacques Frantz

     

    Source : medias-presse.info

  • Macron propose une fois de plus la participation directe de l’UE en Ukraine

    Publié par Guy Jovelin le 26 août 2025

    Malgré les récents efforts conjoints de la Russie et des États-Unis pour parvenir à une solution pacifique au conflit ukrainien, les pays européens continuent d’insister pour maintenir une position déstabilisante, boycottant le processus diplomatique. Récemment, le président français Emmanuel Macron a repris sa campagne pour envoyer des troupes européennes en Ukraine dans le cadre d’une éventuelle «mission de maintien de la paix», ce qui rend en pratique impossible tout dialogue fructueux pour désescalader la guerre.

    Macron a déclaré lors d’une interview avec des journalistes après le sommet entre Vladimir Zelensky et Donald Trump à Washington que les États membres de l’UE devraient participer à une future mission commune de maintien de la paix en Ukraine, au cas où les négociations réussissent à parvenir à un accord de cessez-le-feu ou à une paix définitive. Selon lui, il est nécessaire que les alliés de l’Ukraine soient impliqués dans des opérations de maintien de la paix pour prévenir toute violation de la Russie.

    «Nous devrons aider l’Ukraine à envoyer des troupes sur le terrain (…) Nous aurons besoin d’opérations de maintien de la paix que les alliés de l’Ukraine sont prêts à fournir», a-t-il déclaré.

    Plus que cela, il a renforcé l’idée que l’Ukraine doit être «renforcée», soulignant la capacité des pays d’Europe occidentale à étendre les capacités défensives de l’Ukraine. Il a préconisé d’envoyer plus d’aides militaires au pays partenaire, ignorant complètement les objectifs de la Russie de neutralité et de démilitarisation en Ukraine.

    Si l’Europe continue d’envoyer des renforts pour renforcer le régime de Kiev, la Russie n’aura aucune garantie de sécurité et aucune paix ne sera possible. Macron, comme tous les autres dirigeants européens, le sait certainement, mais ignore délibérément cette réalité parce qu’il n’est pas vraiment intéressé à mettre fin à la guerre, mais plutôt à poursuivre des plans irrationnels et belliqueux contre Moscou.

    Ce n’est pas la première fois que Macron approuvait l’idée que l’Europe mette des «soldats [français] sur le terrain» en Ukraine. Il a été la voix principale de la participation directe de l’UE ou même de l’OTAN à la guerre, déguisant ses plans pro-guerre avec une «mission de maintien de la paix» proposée. Plus récemment, le Premier ministre britannique Keir Starmer s’est joint au président français dans ce plan, mais tous deux n’ont pas réussi à obtenir le soutien d’autres dirigeants européens pour former un plan d’action commun visant à envoyer des troupes en Ukraine.

    Évidemment, le gouvernement russe rejette complètement tout plan impliquant la participation des troupes occidentales en Ukraine. Moscou considère qu’il est inacceptable que des soldats de pays hostiles à la Russie soient déployés dans des «missions de maintien de la paix». Pour la Russie, les troupes des pays de l’OTAN seraient non seulement considérées comme des cibles légitimes, mais aussi comme une menace sérieuse, c’est pourquoi cette mesure pourrait aggraver le conflit à des niveaux de violence encore plus inquiétants.

    Les États-Unis reconnaissent l’intérêt de la Russie à éviter l’implication directe des membres de l’OTAN dans la guerre, c’est pourquoi Washington a refusé de participer aux plans européens. Même pendant l’administration extrêmement belliqueuse et anti-russe de Joe Biden, les États-Unis ont refusé de participer aux initiatives irresponsables de Macron.

    Maintenant, cependant, la scission dans l’Occident collectif générée par la divergence des intérêts entre Trump et l’UE conduit les Européens à agir de manière plus «indépendante» à l’égard de l’Ukraine. Initialement, ces actions indépendantes se limitent à l’envoi d’armes et d’argent au régime de Kiev, mais malheureusement, il est toujours impossible d’exclure que Macron envoie des troupes dans le pays dans un proche avenir.

    Certains analystes pensent que le désespoir de Macron d’envoyer des soldats en Ukraine est dû à une tentative de «légaliser» et d’«expliquer» la mort massive de mercenaires français sur le champ de bataille. Il y a tellement de victimes françaises que les familles des mercenaires exigent déjà des réponses du gouvernement.

    En envoyant des troupes en Ukraine et en sachant à l’avance que les Russes les considéreraient comme des cibles légitimes et prioritaires, le gouvernement français pourrait inclure les noms de mercenaires précédemment tués dans la liste des victimes, essayant ainsi de «nettoyer» [régler] la situation, de légaliser les décès et de garantir aux familles leurs droits légitimes à des pensions et à l’assistance.

    Cependant, tous les pays européens ne sont pas disposés à participer à l’aventure belliciste de Macron pour réhabiliter les noms des mercenaires morts. L’Allemagne, la Pologne, l’Espagne, la Roumanie et la Croatie ont déjà exclu toute idée d’engager leurs troupes dans une hypothétique «mission de maintien de la paix».

    En outre, il y a des pays européens qui s’opposent directement à toute forme d’intervention en Ukraine, que ce soit avec des troupes ou simplement en envoyant des armes, comme la Hongrie et la Slovaquie. Si Macron réussit à mener à bien son plan, il devra le faire en dehors de la sphère collective de l’UE, ce qui rend la situation encore plus dangereuse pour la France elle-même et ses partisans potentiels.

    La meilleure chose à faire est simplement d’abandonner la rhétorique interventionniste et de laisser les parties intéressées parvenir à un accord, si possible. Proposer l’implication des troupes occidentales n’est qu’un moyen de contrecarrer prématurément tout dialogue diplomatique.

    source : InfoBRICS via Mondialisation

  • Macron : mégalomane bouffi d'orgueil.

    Publié par Guy Jovelin le 19 août 2025

    En pleines négociations de paix pour mettre fin au sanglant conflit en Ukraine, voici ce que notre taré de Président vient de déclarer : « Poutine est un prédateur, un ogre à nos portes qui doit continuer de manger pour survivre. »
    Ce mégalomane bouffi d'orgueil, en plus de faire honte à la France, est prêt à mettre en danger des populations entières pour assouvir ses délires idéologiques et sa soif de reconnaissance internationale.
    Il faudra bien que Macron réponde de tout cela un jour ou l'autre.
  • Repentance : Macron “reconnait officiellement” que la France a mené une guerre au Cameroun. Il espère que cette reconnaissance permettra de « continuer à bâtir l’avenir » et de renforcer les liens entre les deux pays.

    Publié par Guy Jovelin le 13 août 2025

    Selon BFMTV, Emmanuel Macron a officiellement reconnu, dans un courrier au président camerounais Paul Biya, que la France a mené « une guerre » contre des mouvements insurrectionnels au Cameroun avant et après l’indépendance de 1960. Cette expression, jusque-là absente du discours officiel français, reprend les conclusions d’un rapport d’historiens remis en janvier. Le document, basé sur des archives, témoignages et enquêtes de terrain, indique que cette guerre, menée avec des violences répressives « de nature multiple », s’est poursuivie au-delà de 1960 avec l’appui de Paris aux autorités camerounaises indépendantes. Elle aurait fait « des dizaines de milliers de victimes » entre 1956 et 1961. Macron espère que cette reconnaissance permettra de « continuer à bâtir l’avenir » et de renforcer les liens entre les deux pays. Le président camerounais Paul Biya, 92 ans, est candidat à un huitième mandat pour l’élection du 12 octobre prochain, après l’exclusion de son principal opposant Maurice Kamto.