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macron

  • Emmanuel Macron, l’illusionniste pathétique d’une République à la dérive

    Publié par Guy Jovelin le 11 février 2025

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    Thomas Joly, Président du Parti de la France

    Il ne sait plus quoi faire. Emmanuel Macron, Président sans majorité, condamné à l’impuissance par sa propre inconséquence, erre comme une ombre au sommet de l’État. La dissolution de l’Assemblée nationale en juin 2024, qui se voulait un coup de maître, s’est transformée en débâcle. Dépossédé de son pouvoir, rejeté par les Français, il se débat dans un vide institutionnel qu’il a lui-même créé. L’homme qui prétendait incarner le « nouveau monde » est devenu un simple figurant dans l’agonie de la Ve République.

    Alors, pour exister, il joue la carte du spectacle. Son dernier tour de passe-passe ? Une communication grotesque, tournée vers une jeunesse qu’il méprise mais dont il espère le soutien. Tiktok, vidéos racoleuses, langage de cour d’école : le président de la République se travestit en influenceur de bas étage. En croyant séduire, il se ridiculise. Il ne comprend pas que l’autorité ne se mendie pas : elle s’impose. Il ne comprend pas que le respect ne se quémande pas sur les réseaux sociaux : il se mérite par la grandeur, la tenue, la vision. Mais de vision, il n’en a plus. Il n’est plus qu’une image, floue, tremblante, indigne de sa fonction.

    Et puis, il y a le rideau de fumée. Hier soir, sur France 2, il promettait 109 milliards d’euros pour l’intelligence artificielle. Un chiffre gigantesque, une ambition affichée. Mais à y regarder de plus près, que représente ces promesses ? Rien qu’un écran de fumée destiné à masquer l’effondrement français. Car qui peut croire que la France, bridée par sa fiscalité confiscatoire, écrasée par une bureaucratie socialo-communiste digne des grandes heures soviétiques, pourrait rattraper son retard technologique ? Pendant que la Chine et les États-Unis avancent à pas de géant, nous débattons de la taxation des entreprises et des interdits bureaucratiques. Nous faisons fuir les talents, nous laminons les entrepreneurs, nous broyons toute ambition industrielle au nom d’un égalitarisme dévoyé.

    Macron n’est plus qu’un illusionniste fatigué, multipliant les effets d’annonce pour masquer l’effondrement de son règne. Mais les Français ne sont pas dupes. Ils voient bien que derrière les vidéos Tiktok et les milliards virtuels, il n’y a qu’un pouvoir moribond, incapable de restaurer la grandeur de la France.

    Il est déjà trop tard pour lui. Mais il est encore temps pour la France. À condition d’ouvrir les yeux.

     

    Source : synthesenational

  • Les liaisons dangereuses d’Emmanuel Macron : il invite le djihadiste Ahmad al-Chareh dit Al-Joulani

    Publié par Guy Jovelin le 08 février 2025

    Auteur : 

    La Syrie tombe aux mains du djihadisme
    La Syrie tombe aux mains du djihadiste Al-Joulani dit aussi Al-Chareb

    A la recherche d’une reconnaissance internationale pour faire oublier sa détestation nationale, Emmanuel Macron gesticule sur la scène étrangère. Après les mamours avec le clown Zelenski, voici les embrassades avec le terroriste al-Chareh, qu’il invite en France.

    Emmanuel Macron a été le premier dirigeant à inviter le nouveau maitre de la Syrie, le terroriste Ahmad al-Chareh, dit Al-Joulani

    Emmanuel Macron, Président de la République française, gesticule sur la scène mondiale. Ce mercredi 5 février, à la recherche d’une reconnaissance internationale pour faire oublier sa détestation nationale, il a été le premier dirigeant à inviter le nouveau maitre de la Syrie, le terroriste Ahmad al-Chareh, auto-proclamé dirigeant syrien par intérim, depuis la chute de Bachar el Assad.

    Ahmad al-Chareh « a reçu un appel téléphonique de son homologue français, Emmanuel Macron », qui l’a félicité pour sa « prise de fonction » comme président, selon la présidence syrienne. Emmanuel Macron a exprimé « son plein soutien à la phase de transition en Syrie » et a souligné « les efforts de son pays pour lever les sanctions contre la Syrie et ouvrir la voie à la croissance et à la reprise », selon cette même source. Le chef de l’État aurait convié Ahmad al-Chareh en France, ce que n’a pas confirmé l’Élysée.

    Le parcours terroriste d’Al-Chareh

    Rappelons rapidement le parcours terroriste de celui que l’establishment occidental préfère appeler aujourd’hui Al-Chareh plutôt que de son nom d’Al-Joulani, nom trop connoté à son passé djihadiste : chef du groupe djihadiste Hayat Tahrir al-Sham, il a rejoint Al-Qaida en Irak (AQI). AQI était la branche locale d’Al-Qaida irakienne qui, selon les sources habituelles, était trop brutale même pour Al-Qaida. AQI était dirigé par un autre terroriste d’envergure Abu Musab al-Zarqawi dont on ne compte pas les attentats, exactions, tortures, actes barbares. Plus tard, Al-Joulani sera un des très proches collaborateurs du chef sanguinaire de l’État Islamique, Abu Bakr al-Baghdadi. En 2012, Al-Jouhani fonde « Jabhat al-Nusra », une organisation qui a été rapidement identifiée par le Département d’État américain comme un groupe terroriste, ce qui a fait que Joulani a été inscrit en 2013 sur la liste des terroristes mondiaux spécialement recherchés.

    Depuis l’arrivée au pouvoir d’Al-Joulani et de ses compères terroristes, la vie en Syrie ne s’est pas améliorée, au contraire. Et pour les chrétiens, protégés par Bachar al Assad elle est devenue plus dangereuse : violence, barbarie, persécutions et dangers sont leur lot.

    Voilà le personnage, à qui les chancelleries occidentales et les médias mainstream ont refait une « virginité » à bon compte, qu’Emmanuel Macron invite à l’Élysée.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Macron a utilisé TikTok pour répondre à un youtubeur douteux.

    Publié par Guy Jovelin le 24 janvier 2025

    Thomas Joly

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    Alors on en est là. Emmanuel Macron a utilisé TikTok pour répondre à un youtubeur douteux. Il se prend pour un gamin, un ado qui cherche des likes, des vues.
    Bientôt il va envoyer des "pokes" aux Français. On dirait un gosse qui a trouvé le micro de papa et qui s'amuse à faire le clown.
    Il y a des hommes qui portent le poids de la Nation sur leurs épaules, qui sentent le fardeau de chaque décision. Et puis il y a lui, Emmanuel, qui danse sur un écran, qui fait le pitre pour un peu de popularité, quitte à dévaluer sa fonction.
    La dignité du Président de la République, envolée. Réduite à un sketch sur un réseau social. C'est absolument pathétique. On regarde ce type et on se demande : est-ce là notre chef d'État ou juste un autre acteur de télé-réalité en quête de sa minute de gloire ?
  • « Petit p*dé », « grande t*rlouze », « cage aux folles »… Les propos présumés d’Emmanuel Macron suscitent la polémique

    Publié par Guy Jovelin le 20 décembre 2024

    Une enquête du « Monde » dévoile les propos présumés d’Emmanuel Macron président de la République et de ses proches conseillers.

    Au milieu de l’agitation politique, et alors que le chef de l’Etat est sur le front, à Mayotte, après le passage d’un cyclone d’une violence extrême, une enquête du Monde, qui révèle le langage peu reluisant d’Emmanuel Macron et de ses proches conseillers, aurait pu passer inaperçu.

    Boys club

    Derrière les grilles du palais, les « mormons », ces membres de la bande des débuts, ont tous décampé les uns après les autres. « Du Macron des origines, seul ou presque demeure Alexis Kohler », souligne le Monde. Seuls quelques fidèles de la première heure sont restés pour conseiller le président, parmi lesquels Jonathan Guémas, ex-plume désormais chargé de la « communication et de la stratégie » du chef de l’Etat, ou Clément Lénarduzzi, reparti depuis chez Publicis.

    « Avec [ce boys club], on est loin du sacré et de la transcendance… Le soir venu, le président les retrouve pour se distraire après des journées harassantes », révèlent nos confrères du Monde« Petit pédé », « grande tarlouze »… Voilà comment ils se parlent, par textos ou autour d’un verre de Whisky. « Du 15 000e degré », assure Jonathan Guémas, quelque peu gêné !

    Mais ce n’est pas tout, car, toujours selon le Monde, l’Elysée se serait amusé à surnommer Matignon « la cage aux folles » durant une période. Une référence à peine voilée à l’homosexualité du plus-jeune-Premier-ministre-de-la-Ve-République, Gabriel Attal.

    L’Elysée « dément fermement et absolument les propos » du journal Le Monde.

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Pour éviter d’être hors-jeu diplomatiquement sur le Liban, la France n’arrêtera finalement pas Benjamin Netanyahou

    Publié par Guy de Laferrière le 01 décembre 2024

    Petits arrangements de dernière minute entre Emmanuel et Benjamin

    En échange de la présence de la France dans les négociations sur l’accord de cessez-le-feu entre le Hezbollah et l’armée israélienne, Paris a fait savoir que Benjamin Netanyahou ne serait pas arrêté s’il venait sur le territoire français et ceci malgré le mandat d’arrêt  émis par la CPI contre le Premier ministre israélien.

    Alors que Benjamin Netanyahou voulait écarter la France des négociations sur une trêve au Liban, le volte-face de la diplomatie française l’a fait changer d’avis. 

    Michel Barnier avait pourtant déclaré le 26 novembre, soit quelques heures avant l’annonce du cessez-le-feu au Liban, que la France «appliquera rigoureusement […] les obligations qui lui incombent» en termes de droit international.

    Quelques heures plus tard, le Quai d’Orsay a apporté des clarifications sur l’éventuelle application par la France du mandat d’arrêt émis par la CPI à l’encontre de Benjamin Netanyahou et de son ancien ministre de la Défense Yoav Gallant.

    Ainsi, le jour même où le Premier ministre israélien accepte de mettre fin à la guerre conduite par Israël au Liban, Paris lui donne généreusement des gages en faisant savoir qu’il n’appliquera pas nécessairement le mandat d’arrêt de la CPI à son encontre.

    Complices un jour, complices toujours…

    Rastignac

     

    Source : medias-presse.info