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angleterre

  • Prêtre catholique arrêté en Angleterre : prier pour la vie devient un crime

    Publié par Guy de Laferrière le 15 février 2023

    La persécution contre les partisans de la vie s’intensifie en Angleterre : les prières devant des avortoirs pourraient être objet d’inculpation. La loi qui interdira tout type de prière à proximité des hôpitaux est désormais en route.

    Le père Sean Gough a été arrêté devant une clinique d’avortement de Birmingham

     

     

    Un prêtre catholique, le père Sean Gough, a été arrêté devant une clinique d’avortement de Birmingham, après l’arrestation d’Isabel Vaughan-Spruce, pour le même ‘délit’. L’Anglaise avait été arrêtée à Birmingham le 6 décembre pour avoir prié en silence près de la Robert Clinic de Birmingham alors qu’elle était fermée. Dans son cas, les charges ont été suspendues de manière inattendue la veille de l’audience du 1er février. Le Crown Prosecution Service (CPS) a conclu « qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves pour fournir une image réaliste de l’acte d’accusation ». Cependant, elle a été avertie que les accusations pourraient être renouvelées à l’avenir si de nouvelles découvertes émergeaient. Les deux cas restent ouverts et non résolus.

    Le 7 février, c’est au tour du père Sean, un prêtre catholique, à être arrêté et inculpé de « manifestations et intimidation d’usagers des services » en vertu d’une ordonnance de protection de l’espace public (PSPO). En pratique, la police locale l’a reconnu coupable d’avoir prié en silence devant un centre d’avortement à Kings Norton pendant les heures de fermeture. Dans ce cas aussi, le CPS a abandonné les charges retenues contre le père Gough (pour l’instant ), mais a clairement indiqué qu’elles pourraient être réintroduites.

    La police locale l’a reconnu coupable d’avoir prié en silence devant le centre d’avortement

    Isabel Vaughan-Spruce a fait savoir qu’elle n’avait pas l’intention de laisser la question en suspens indéfiniment. Elle a déclaré qu’elle avait l’intention d’obtenir un verdict clair du tribunal concernant les accusations portées contre elle. Isabel vise à protéger son nom et à protéger d’autres militants pro-vie qui seront confrontés à des problèmes similaires à l’avenir. « Beaucoup d’entre nous ont besoin d’une réponse pour savoir s’il est toujours légal de prier en silence. Pour cela, je poursuivrai un verdict concernant mes allégations devant le tribunal », a-t-elle déclaré. « Il est essentiel que je reçoive des éclaircissements sur mon statut juridique », a-t-il précisé dans un communiqué publié par ses avocats de l’Alliance Defending Freedom (ADF) britannique.

    L’Angleterre envisage une loi sur l’ordre public (POB) qui permettrait l’introduction de zones tampons autour de toutes les cliniques d’avortement

    Pour pallier la résistance des défenseurs de la vie, l’Angleterre n’envisage rien de moins qu’une loi sur l’ordre public (POB) qui permettrait l’introduction de zones tampons autour de toutes les cliniques d’avortement en Angleterre et au Pays de Galles. Il est sur le point d’être approuvé à la Chambre des communes. La première partie, l’article 10 du projet de loi se concentre spécifiquement sur les cliniques d’avortement pour éviter que les femmes ne se voient proposer des alternatives, une aide concrète ou même simplement un soutien moral et des prières de la part des militants pro-vie.

    Les lois visant à marginaliser et réduire au silence les pro-vie s multiplient en Grande-Bretagne rappelle La Nuova Bussola Quotidiana :

    « Un certain nombre de lois existent déjà pour protéger les gens contre les comportements intimidants. En plus de la protection offerte par la loi de 1997 sur le harcèlement, les conseils locaux peuvent décider de boucler un lieu spécifique sur 150 mètres pour lui accorder le statut de PSPO si les résidents se plaignent de « comportements antisociaux » dans leur quartier. C’est ce qui s’est passé à Kings Norton à Birmingham, même si les plaintes des habitants contre les militants devant la clinique d’avortement n’ont jamais été étayées. En revanche, l’organisation 40 Days for Life Birmingham montre que ce sont les bénévoles pro-vie qui sont frappés physiquement, qui reçoivent des crachats, des menaces et des insultes … à tel point que même la police a dû intervenir. »

    « Le projet de loi sur l’ordre public, actuellement en cours d’adoption à la Chambre des communes, ajoute le quotidien italien, porte atteinte aux libertés et droits fondamentaux d’une manière particulièrement inquiétante. Le projet, récemment renforcé par un amendement à la Chambre des Lords, vise à prévenir les protestations et les « comportements antisociaux » mais s’attaque aussi clairement à la possibilité de proposer des alternatives à l’avortement aux femmes vulnérables. Si le projet de loi est adopté tel quel, toutes les cliniques d’avortement deviendront des « zones tampons », excluant aveuglément les bénévoles pro-vie dans un rayon de 150 mètres. Plus précisément, l’amendement 45 du projet de loi contient une clause qui criminalisera quiconque agit « avec l’intention de ou de manière déconsidérée afin d’influencer la décision d’une personne d’accéder à des services d’avortement ou de faciliter leur prestation. »

    Ce serait l’introduction d’un « délit d’opinion » dans le droit pénal britannique

    L’introduction d’un « délit d’opinion » dans le droit pénal britannique donne à la police et aux agents autorisés des pouvoirs étendus supplémentaires pour réprimer les comportements qui causeraient « de la nuisance, de la gêne, de l’alarme ou du danger ». Mais il reste loin d’être clair quels comportements spécifiques violeraient la loi, offrant ainsi une marge d’interprétation importante.
    Le projet liste la prière sous la rubrique « manifestations » comme une activité criminelle si elle est menée dans une zone tampon. L’amende pourrait être « illimitée » et les contrevenants risquent la mention du délit sur leur un casier judiciaire.

    A la Chambre des Lords, une voix s’est faite entendre contre ce projet de loi, celle de Lord Jackson. Se référant au cas de Vaughan-Spruce et d’Adam Smith Connor, arrêtés en novembre dernier à Bournemouth et condamnés à une amende de 100 £ pour avoir prié en souvenir de son enfant avorté, il a déclaré que leur arrestation « avait surpris les gens, car ils ne pensaient pas que la prière silencieuse pouvait devenir un crime dans ce pays ». Il a également ajouté que « ces cas mettent davantage en évidence les dangers pour la liberté d’expression et de croyance dans les zones tampons. Ils montrent à quelle vitesse une personne peut être considérée comme un criminel simplement parce qu’elle a eu certaines pensées alors qu’elle se trouvait à l’intérieur d’une zone tampon. »

    On peut envisager sans exagération que de cette criminalisation de la pense pro-vie dans une « zone tampon », les pouvoirs publics passent aisément à la criminalisation de toute opinion contraire à la pensée unique sans limite de lieu. Le monde orwellien est en marche…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Angleterre : face au terrorisme, le vice-président du parti conservateur demande le retour de la peine de mort

    Publié par Guy de Laferrière le 09 février 2023

    Angleterre : face au terrorisme, le vice-président du parti conservateur demande le retour de la peine de mort

    En Grande-Bretagne, Lee Anderson, nouveau vice-président du Parti conservateur, a demandé le retour de la peine de mort. Il a affirmé que la peine capitale a un “taux de réussite de 100 %” et a déclaré que les tueurs de Lee Rigby, fusilier du Royal Regiment of Fusiliers tué en 2013 par deux terroristes islamistes à Londres, auraient dû être “éliminés la même semaine”.

    “Personne n’a jamais commis de crime après avoir été exécuté.”

    Et à ceux qui avertissent que cela peut conduire à des exécutions injustifiées, il a répondu :

    “Et bien, vous pouvez le prouver s’ils l’ont filmé et sont filmés – comme les tueurs de Lee Rigby. Je veux dire : ils auraient dû être exécutés, la même semaine.”

    La dernière exécution au Royaume-Uni a eu lieu en 1964.

     

    Source : lesalonbeige

  • La dégringolade civilisationnelle et irréversible de l’Angleterre.

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2022

    Jean Pierre Aussant

    La dégringolade civilisationnelle et irréversible de l’Angleterre.
    Les Anglais n’ont manifestement pas retenu la leçon de l’Ukraine. Ils n’ont pas compris que quand une vieille nation européenne nomme à sa tête un dirigeant non chrétien, cela ne porte pas forcément bonheur.
    Ainsi, après le clown Johnson et l’étoile filante Liz Truss, Rishi Sunak, fils de milliardaire indien (cinquième fortune du pays), de confession hindou (qui pense donc que le Christ n‘est pas le Fils de Dieu mais un charlatan), pro avortement et pro mariage gay, en devenant le nouveau premier ministre britannique, signe irréversiblement la dégringolade éthique et civilisationnelle du Royaume-Uni et cristallise la sortie officielle (je dis "officielle," car dans les faits, c’était déjà fait) de la Grande Bretagne des nations chrétiennes.
    Cinq siècles après l’assassinat de la catholique Mary Stuart, les Anglais payent enfin le juste prix de leur trahison.
    Action, réaction. Au fond, tout rentre dans l’ordre.
    Jean-Pierre Aussant
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  • Bournemouth : il est désormais illégal de se signer

    Publié par Guy Jovelin le 21 octobre 2022

    Bournemouth : il est désormais illégal de se signer

    En Angleterre, un conseil municipal a interdit le signe de la croix et la prière dans les lieux publics entourant un centre d’avortement.

    Le conseil de Bournemouth, Christchurch et Poole, dans le sud de l’Angleterre, a tracé des lignes rouges autour d’un centre d’avortement et a désigné cette zone comme “zone de sécurité”. Toute personne surprise en train de se signer, de réciter les Écritures ou d’asperger de l’eau bénite derrière ces lignes rouges peut se voir infliger une amende de 100 livres ou risquer une condamnation en justice.

    Dans un communiqué de presse publié le 11 octobre, le conseil municipal a déclaré :

    “Bien que nous reconnaissions le droit de toute personne à mener une manifestation pacifique, nous avons dû trouver un équilibre entre la détresse causée ou susceptible d’être causée, et l’impact préjudiciable des comportements subis par ceux qui ont accès aux services médicaux ou qui font leur travail”.

    L’ordonnance est en vigueur depuis le 13 octobre et restera en place pendant trois ans.

    Parmi les autres comportements interdits figurent les protestations, qui peuvent inclure “la prière ou le conseil”, mais aussi l’intimidation et le harcèlement du personnel de la clinique, ainsi que l’affichage de “textes ou d’images se rapportant directement ou indirectement à l’interruption de grossesse et la diffusion ou l’utilisation de musique amplifiée, de voix ou d’enregistrements audio.”

     

    Source : lesalonbeige

  • En Angleterre, les joueuses de rugby transgenres interdites de compétitions féminines en raison des “différences physiques” entre joueurs nés de sexe masculin et féminin

    Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2022

    SPORT – Les fédérations anglaises de rugby à XIII et rugby à XV ont annoncé ce vendredi 29 juillet qu’elles interdiront dès la saison prochaine aux joueuses transgenres nées de sexe masculin de prendre part aux compétitions féminines. Les règlements ont été modifiés afin que seules les joueuses nées de sexe féminin puissent à participer à ces rencontres.

    Les deux fédérations britanniques ont avancé « des éléments scientifiques » pour justifier des mesures qui, selon elles, ont été prises pour des raisons de sécurité.

    La Fédération du jeu à XV (RFU) indique dans un communiqué que « la recherche a fourni des preuves que les différences physiques entre les joueurs nés de sexe masculin et féminin et que les avantages en termes de force, d’endurance et de physique apportés par la testostérone et la puberté masculine sont ’significatifs’ et conservés même après la suppression de la testostérone ». Le conseil de la RFU a cependant approuvé le nouveau règlement par une faible marge de 33 voix pour contre 26 contre, avec deux abstentions.

    Le président de la RFU, Jeff Blackett, tout en insistant sur le fait que l’inclusion était au « cœur des valeurs du rugby » et que son organisation continuerait à travailler pour démontrer « qu’il y a une place pour tout le monde dans notre jeu », a ajouté : « nous savons que beaucoup seront déçus par cette décision, cependant, elle a été basée sur toutes les preuves scientifiques disponibles ».

    (…) Huffington Post via fdesouche