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angleterre - Page 3

  • Angleterre – Appel à dénoncer les réunions familiales de plus de six personnes

    Publié par Guy Jovelin le 17 septembre 2020

    Royaume-Uni – Au milieu des restrictions imposées par le gouvernement britannique au nom de la lutte contre le coronavirus qui permettent uniquement à des groupes de six personnes ou moins de se rencontrer, le ministre britannique chargé de la criminalité, de la police et du service d’incendie Malthouse encourage les citoyens à dénoncer leurs voisins aux autorités publiques si sept personnes ou plus sont rassemblées.

    “Il est loisible aux voisins de faire cela via le numéro non urgent”, a déclaré Malthouse à la BBC lorsqu’on lui a demandé si une personne devrait signaler un rassemblement dans la cour d’un voisin. «Et s’ils sont inquiets et qu’ils voient ce genre de chose, alors ils devraient absolument y penser.»

    La BBC a rapporté qu’à Bristol, une mère a été approchée par la police parce que le pique-nique avec son enfant en bas âge et des amis de son enfant constituait un groupe de sept personnes et était désormais illégal. «C’est très difficile à comprendre : je suis autorisée à être dans un pub avec un groupe de personnes distantes d’un mètre, mais je ne peux pas être avec les amis de mes enfants», a-t-elle répondu à l’officier.

    Des règles différentes dans diverses régions du Royaume-Uni sont également source de confusion. Une femme «a dit qu’elle pensait que son rassemblement de plus de six personnes était autorisé parce que les enfants allaient tous à l’école ensemble. Des groupes comme celui-ci seraient autorisés dans le pays de Galles voisin et en Écosse, où les enfants ne comptent pas dans le total.

    Si un groupe doit être séparé par la police, chaque membre du groupe pourrait être condamné à une amende de 100 £ si l’incident est la première infraction. Après cela, l’amende devrait doubler à chaque fois, jusqu’à 3 200 £ pour la sixième infraction.

    Afin de garantir “une application plus stricte des règles déjà en place”, le Premier ministre britannique Boris Johnson a annoncé la semaine dernière que son gouvernement utiliserait le plan “COVID Secure Marshalls”.

    Johnson n’a pas expliqué à l’époque quels seraient les pouvoirs des «COVID Secure Marshalls», ni comment ils seraient recrutés.

    Le Daily Mail a rapporté un jour plus tard que les marshalls “n’auront aucun pouvoir formel pour procéder à une arrestation et doivent être payés par les autorités locales.” Bien qu’ils puissent interrompre les rassemblements de sept personnes ou plus et alerter la police, ils ne sont pas autorisés à imposer des amendes.

    Le journal a cité Ken Marsh, président de la Metropolitan Police Federation, qui a souligné que les policiers réguliers étaient «absolument déconcertés» par cette annonce.

    «Toute aide est une bonne aide, mais ce que j’aimerais comprendre, c’est quel est réellement leur rôle, que leur demandons-nous de faire?», demande un policier. 

    «Des marshalls ont déjà été déployés par le conseil municipal de Leeds et le conseil de Cornwall», selon le Daily Mail. D’autres endroits devraient recruter de tels agents dans un proche avenir, en utilisant les fonds du gouvernement local pour la formation et la rémunération.

     

    Source : medias-presse.info

  • Attaque anti-blanche en Angleterre : 3 morts. La famille du « réfugié » meurtrier le défend et dénonce le racisme des Blancs

    Publié par Guy Jovelin le 24 juin 2020

    L’individu arrêté sur les lieux après avoir tué 3 personnes et en avoir gravement blessé trois autres samedi à Reading (Angleterre) s’appelle Khairi Saadallah, un « réfugié » libyen de 25 ans.
    Pour résumer son parcours :
    – Arrivé clandestinement de Libye en 2012

    – Régularisé en tant que réfugié en 2018
    – Connu des services de renseignement
    – Condamné à 2 ans de prison en octobre pour une longue série d’agressions, y compris une « agression raciste sur un policier »
    – A craché au visage de la juge qui l’a condamné
    – Sorti de prison il y a 2 semaines, après seulement 8 mois

    « Le parc était plein, beaucoup de gens étaient assis pour boire un verre avec des amis quand une personne est arrivée, a soudainement crié des mots inintelligibles et est allée vers un groupe, essayant de les attaquer au couteau », a raconté un des témoins.
    « Il a poignardé trois d’entre eux, gravement dans le cou et sous les bras, puis il s’est retourné et a commencé à courir vers moi, on s’est retournés et on a commencé à courir », a expliqué un coach sportif de 20 ans. « Quand il a réalisé qu’il ne pourrait pas nous rattraper, il a réussi à atteindre une personne à l’arrière du cou et quand il a vu que tout le monde commençait à courir, il est parti du parc », a-t-il raconté. (source RTS.ch)

    Signalons que dans une série de posts sur Facebook, son frère Mo Saadallah a écrit « Fuck England » et, en réponse à un article de Sky News indiquant que l’attaque au couteau de Reading était considérée comme un acte terroriste, il a écrit : « Ce n’est pas vrai. Khairi s’est défendu contre des pays racistes. Liberté pour mon frère ! » (source)
    Sa jeune sœur a également défendu avec passion Mo Saadallah après son arrestation.

    Pour imiter la pensée afro-gauchiste, disons que « c’est tout une admirable famille de réfugiés qui lutte courageusement contre le « racisme systémique » de ces sales Blancs ! »

    Quelques images de la scène de crime :

  • L’Angleterre impose de force l’avortement en Irlande du Nord

    Publié par Guy Jovelin le 17 juin 2020

    L’Angleterre impose de force l’avortement en Irlande du Nord

    La chambre des lords a très largement adopté, par 355 voix contre 77, les « règlements » par lesquels les députés britanniques ont imposé l’avortement en Irlande du Nord. Et cela malgré le vote de l’Assemblée d’Irlande du Nord, qui les a rejetées le 2 juin.

    La baronne Nuala O’Loan, qui mène le combat contre cette réglementation depuis le début, a présenté un amendement qui la rejette, au motif que

    • les élus d’Irlande du Nord l’ont rejeté,
    • un sondage a montré que 79% des habitants étaient contre,
    • plus de 18.000 Nord-Irlandais viennent de signer une lettre aux lords et aux députés pour leur demander de ne pas approuver ce règlement.

    Son amendement a été rejeté par 388 voix contre 112.

    Le baron Alton a souligné que le « débat » avant le vote avait été une parodie de démocratie : chaque intervenant avait droit à une minute : 18 contre, 20 pour. Et les dirigeants des partis avaient un temps additionnel pour se manifester en faveur de l’avortement, tandis que les trois pairs d’Irlande du Nord n’eurent pas la parole

    Lord Willie McCrea, faisant allusion aux discours du gouvernement pendant l’épidémie de covid-19, a remarqué :

    « Chaque jour nous avons entendu une homélie de ministres nous disant combien il est important de sauver des vies, pourtant rien que l’an dernier près de 210.000 enfants ont été perdus à cause de l’avortement » en Angleterre et au Pays de Galles.

    Le texte va être (re)voté demain par la chambre des Communes.

     

    Source : lesalonbeige

  • Angleterre : des antispécistes s’en prennent à des aveugles parce qu’ils ont un chien-guide

    Publié par Guy Jovelin le 12 janvier 2020

    lesobservateurs

    Jonathan Attenborough, 30 ans, complètement aveugle depuis cinq ans, compte sur son « compagnon de tous les instants », un labrador très bien entraîné appelé Sam.

    Le chien-guide lui a permis de mener une vie plus épanouie depuis qu’il lui a été attribué en avril 2018.

    Cependant, après avoir été pris à partie à deux reprises par des personnes se disant militantes contre la cruauté envers les animaux, il commencé à être inquiet. Et il n’est pas le seul.

     

    La première fois, dit Jonathan, c’était en avril 2019. « J’étais dans un café à Edimbourg avec Sam, quand un homme s’est approché et m’a dit que ce n’était pas bien d’avoir un chien d’aveugle. Il m’a dit que les chiens devraient pouvoir courir librement dans les champs au lieu de traîner dans les cafés. Au début, j’ai cru qu’il plaisantait. Il n’était pas spécialement hostile, il voulait juste parler. Après que je lui ai expliqué comment se passait la vie de Sam, il n’était pas convaincu à 100 %, mais il semblait beaucoup plus ouvert à l’idée. »

    Le deuxième incident était plus « agressif ». Jonathan et un autre propriétaire de chien-guide se trouvaient dans un bar de Portsmouth et ont été abordés par une femme se disant « activiste des droits des animaux », qui les a qualifiés de « cruels ». « Elle se tenait très près de notre visage et nous a mis très mal à l’aise. Je n’en revenais pas. J’ai essayé de lui parler mais elle n’écoutait pas, tant elle était en colère. C’est arrivé à un tel point que son mari est venu la chercher pour l’éloigner. » Jonathan ajoute : « Maintenant, je pense beaucoup à ça, je me demande si cela va se reproduire et ce que les gens pensent. Mais depuis que le sujet est passé dans les médias, j’ai reçu beaucoup de soutien, ce qui fait plaisir. Les gens n’arrivent pas à croire que des choses pareilles puissent arriver aux propriétaires de chiens-guides. »

    Jonathan est convaincu que Sam est très heureux d’être son chien-guide : « Sam est toujours prêt à me suivre partout où je vais. Il est mon compagnon de tout les instants et peut courir par moments sans laisse comme n’importe quel autre chien. Il n’est jamais laissé seul à la maison comme le sont certains animaux de compagnie. Je sens qu’il remue la queue tout le temps. Le lien entre lui et moi est sans pareil. »

    Un autre aveugle a dit au Times qu’il avait aussi rencontré de l’hostilité. Il se trouvait avec son premier chien-guide, une labrador noire appelée Winnie, qui lui avait été attribuée en juillet 2018.

     

    « Quelqu’un s’est approché et m’a demandé pourquoi je trouvais moral d’avoir un chien-guide. Franchement, je trouve ce genre de remarque tout à fait déplacé. Il y a tellement de choses pour lesquelles je compte sur ma chienne-guide. Je suis beaucoup plus sûr de moi grâce à elle. Elle a grandement amélioré ma confiance en moi et je dois dire que sans chiens-guides je ne pense pas que je serais ici. »

    « Heureusement, ces incidents sont très rares », dit Tim Stafford, de l’organisation caritative Guide Dogs. « Le bien-être de nos chiens est une priorité absolue et ils sont élevés et entraînés avec beaucoup de soin. »

    Source en anglais : Daily Mail
    Résumé Cenator

  • Angleterre : agression sexuelle « horrifiante » d’un migrant gambien sur une fillette de 11 ans

    Publié par Guy Jovelin le 23 septembre 2019

     

    A Bradford, Haji Kaloga, un Gambien de 31 ans, s’est introduit de force dans la chambre d’une fillette de 11 ans et lui a serré le cou en disant : « C’est qui l’homme ? » Il l’a jetée à terre et s’est livré à ce que le juge Andrew Haslam a appelé une « agression sexuelle horrifiante ».

    Il lui a fait promettre de n’en parler à personne, sans quoi il la tuerait. Cependant, une fois l’agression terminée, elle a réussi à échapper en sautant par une fenêtre du premier étage et a appelé la police.

    Elle était d’abord trop terrifiée pour monter dans la voiture de patrouille venue la chercher, mais au poste de police elle a dit ce que Kaloga lui avait fait, et les preuves ADN relatives au crime ont été recueillies.

    Au tribunal, la fillette s’est adressée directement à son agresseur en lisant cette déclaration :

    « Je veux que vous sachiez que ce que vous m’avez fait et ce que vous m’avez dit, je ne l’oublierai jamais jusqu’à ma mort.

    Je veux que vous le sachiez car vous m’avez abusée sexuellement. Je n’oublierai jamais ce que vous m’avez fait, mais je ne laisserai pas cela changer mon avenir, ni changer qui je veux être ou ce que je veux être.

    Un jour, vous apprendrez que je suis devenue quelque chose que vous ne pourrez jamais imaginer. J’espère ne plus jamais rencontrer un homme comme vous. »

    Le juge s’est dit « frappé par la force de caractère » de la jeune fille et l’a félicitée.

    Kaloga n’a été condamné qu’à 13 ans de prison, et bien que son avocat ait estimé « probable » qu’il soit expulsé à la fin de sa peine – qui sera peut-être réduite – il faut savoir que le ministère de l’Intérieur a un mauvais bilan dans l’exécution des ordres d’expulsion. En effet, le Royaume-Uni a perdu la trace de 56’000 migrants qui devaient être expulsés, dont plus de 700 anciens détenus.

    Source : Breitbart via lesobservateurs