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avortement

  • Le prince Albert refuse de légaliser l’avortement dans la principauté de Monaco

    Publié par Guy Jovelin le 27 novembre 2025

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    Tiens, une bonne nouvelle pour les bébés (et les mamans), et une bonne surprise, venant de Monaco.

    Une proposition de loi avait été déposée en mars dernier par les élus du Conseil national pour légaliser l’IVG sous certaines conditions.

    Le prince Albert, monarque de cette petite principauté, a refusé, justifiant sa décision en se référant au catholicisme, religion d’État à Monaco, comme l’article 9 de la Constitution de la principauté le stipule. (source)

    A côté de ça, en France, le FN transformé par Marine Le Pen s’accroche à l’idéologie abortive (qui recule aux Etats-Unis) et a voté, avec les rouges et les mondialistes de tout poil, pour faire inscrire un prétendu « droit à l’avortement » dans la Constitution française.

     

    Source : contre-info

  • Un fond européen pour financer l’avortement

    Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2025

    Un fond européen pour financer l’avortement

    La commission des Droits de la femme du Parlement européen a voté par 26 voix contre 12 en faveur de la création d’un mécanisme permettant « d’aider les femmes contraintes de se rendre à l’étranger pour interrompre leur grossesse ».

    Le Parlement européen votera en décembre une résolution sur le sujet. Laquelle sera transmise à la Commission.

  • 50e anniversaire de la loi Veil

    Publié par Guy Jovelin le 17 janvier 2025

    Thomas Joly

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    En ce 50e anniversaire de la loi Veil, il est impératif de dresser un bilan lucide et sans concession de ce que cette législation a engendré. Présentée à l'époque comme un « progrès », une « avancée pour les droits des femmes », cette loi a en réalité inauguré une ère marquée par un recul dramatique de notre civilisation. Loin d'être une mesure anodine, l'avortement légalisé a ouvert la voie à une banalisation d'un acte autrefois perçu comme grave et exceptionnel. Il est temps de dénoncer cette dérive et d'appeler à une politique plus respectueuse de la vie.
    Un véritable génocide silencieux
    Depuis l'adoption de la loi Veil en 1975, la France a enregistré près de 10 millions d'avortements. Chaque année, ce sont environ 220.000 vies qui s'éteignent avant même d'avoir vu le jour. Ces chiffres sont vertigineux : ils évoquent un véritable génocide silencieux, un massacre institutionnalisé que l'on tait par conformisme ou par peur de heurter les sensibilités modernes. Comment ne pas comparer ces pertes humaines à des cataclysmes historiques qui ont également décimé des populations entières ? Ici, l'État n'est plus garant de la vie, mais complice de sa destruction.
    La banalisation d'un acte grave
    Il y a cinquante ans, Simone Veil présentait sa loi comme une mesure d'exception, destinée à éviter les « drames » des avortements clandestins. Mais que constate-t-on aujourd'hui ? L'avortement est devenu une simple « option », un recours courant désormais banalisé, presque trivialisé. Les discours contemporains tendent à gommer toute réflexion morale ou éthique autour de cet acte. Ce qui était présenté comme une solution de dernier recours est devenu, en réalité, un moyen de contraception supplémentaire.
    La bien-pensance a progressivement éteint la voix des opposants à l'avortement, stigmatisés comme « réactionnaires » ou « hostiles aux droits des femmes ». En occultant toute considération sur la valeur intrinsèque de la vie humaine, on a engendré une société de l'immédiateté et de l'irresponsabilité.
    Un recul de civilisation
    L'avortement légalisé marque un profond recul de notre civilisation. Les grandes cultures de l'Histoire se sont toujours élevées sur la défense de la vie, le respect des plus vulnérables et la promotion de la natalité. En revanche, les sociétés en déclin se caractérisent par une dévalorisation de la vie humaine et une absence de regard porté sur l'avenir.
    Le droit à l'avortement est présenté comme un « progrès », mais il symbolise en réalité une défaite collective. En consacrant l'élimination de l'enfant à naître comme un choix acceptable, notre société a renoncé à l'idéal selon lequel chaque vie humaine est sacrée. Nous avons érigé une culture de mort qui mine les fondements mêmes de notre identité.
    Le devoir de l'État : défendre les tout-petits
    L’État a pour mission première de protéger les plus faibles, ceux qui ne peuvent pas se défendre eux-mêmes. Or, il a échoué lamentablement dans ce rôle en laissant les plus vulnérables — les enfants à naître — être sacrifiés sur l’autel de l’autonomie individuelle et de la modernité. Au lieu de promouvoir une vision noble de la maternité et de soutenir les femmes confrontées à des grossesses non prévues, l’État a préféré faciliter l’avortement, le rendant accessible, voire encouragé.
    Vers une grande politique nataliste
    Plutôt que de persévérer dans cette culture de mort, la France doit prendre un virage historique et s'engager dans une véritable politique nataliste. Il est urgent de revaloriser la famille, de soutenir les parents et de promouvoir la naissance comme un bien inestimable pour la Nation. La survie d’une civilisation repose sur sa capacité à se projeter dans l’avenir, à croire en ses enfants et à transmettre ses valeurs.
    Pour cela, des mesures concrètes doivent être prises : des allocations familiales substantielles, un système fiscal avantageux pour les familles nombreuses, un soutien psychologique et matériel renforcé pour les femmes enceintes en difficulté. C’est ainsi que nous pourrons sortir de cette impasse morale et sociétale, et redonner à la vie la place qu’elle mérite.
    L’avortement légalisé n’est pas un progrès mais un recul. Il est temps de tourner cette page sombre de notre Histoire et de réaffirmer la primauté de la vie humaine. L’avenir de notre civilisation en dépend.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • Vote sur l’inscription du droit à l’avortement dans la charte des droits fondamentaux de l’UE : absence des LR, abstention du RN

    Publié par Guy de Laferrière le 12 avril 2024

    Vote sur l’inscription du droit à l’avortement dans la charte des droits fondamentaux de l’UE : absence des LR, abstention du RN

    Le vote sur cette résolution avait lieu aujourd’hui au Parlement européen. Le résultat des votes est à la page 357 de ce pdf. Une résolution adoptée à 336 voix pour, 163 contre et 39 abstentions.

    • Reconquête (Nicolas Bay) : contre (comme la quasi totalité du groupe ECR)
    • RN : abstention (alors que presque tout le groupe ID a voté contre)
    • LR : absence volontaire des députés, dont FX Bellamy, qui étaient présents lors des autres votes mais ont quitté l’hémicycle juste avant ce vote. Seule Laurence Saillet est restée et… elle a voté pour !

    Voici le détail des élus qui ont voté contre et ceux qui se sont abstenus :

    La résolution portée par les groupes Socialistes et démocrates (S&D), Renew Europe (centristes et libéraux), les Verts et The Left (gauche radicale) souhaite que l’article 3 de la Charte soit modifié pour stipuler que

    “toute personne a le droit à l’autonomie physique, à un accès libre, informé, complet et universel aux droits sexuels et génésiques et à tous les services de santé connexes sans discrimination, y compris l’accès à un avortement sûr et légal”.

    Pourtant, cette modification n’a aucune chance d’aboutir puisqu’elle nécessiterait l’accord unanime des États membres.

     

    Source : lesalonbeige

  • Soyez rassurés, la macronie trouve des solutions...

    Publié par Guy de Laferrière le 12 mars 2024

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    Source : synthesenationale