Publié par Guy de Laferrière le 12 mars 2024

Source : synthesenationale
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Publié par Guy de Laferrière le 12 mars 2024

Source : synthesenationale
Publié par Guy de Laferrière le 18 mars 2023

Gérald Darmanin a annulé son déplacement en Gironde et convoqué tous les préfets de France ce vendredi matin à 10h30 pour une visio-conférence sur la situation sociale après le recours au 49-3 pour imposer la réforme des retraites. La participation de tous les préfets était obligatoire, selon Mediapart. L’ampleur et la violence des manifestations de mécontentement d’hier soir inquiète les services de police.
Tous les députés Renaissance sont placés sous protection policière par peur de représailles. Ne parlons pas des ministres invités à réduire leurs déplacements au strict nécessaire et sous haute protection. Combien coûte une telle mesure ?
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2022

D’un côté, il y a la vitrine. Diane Binder se targue d’avoir fondé, avec Action emploi réfugiés (Aeré), l’association « leader en matière d’intégration professionnelle des réfugiés en France ». En quelques années, cette ancienne directrice adjointe du développement international du groupe Suez a décroché de grosses subventions publiques, plusieurs soutiens dont celui de la fondation Total. Mais il y a l’envers du décor : une mauvaise gestion financière et des résultats discutables, d’après notre enquête et des documents confidentiels.
(…) .
Une telle transition vers le secteur marchand ne serait pas un cas isolé chez les associations nées à Paris dans la foulée de la médiatisation de ladite «crise migratoire» de 2015. Aeré, Singa, eachOne, Kodiko: toutes «sont liées au monde marchand de plusieurs manières, et portent le nom, revendiqué par la plupart de leurs dirigeant·es, de “start-up de l’asile”,décrypte Fred Salin, doctorant en sociologie à l’Iris et l’EHESS Elles ont ainsi pour la plupart été fondées ou dirigées par des personnes qui ont travaillé dans le secteur marchand».Toutes sont spécialisées dans l’insertion par le travail, prisme privilégié par La République en marche. Toutes, enfin, ont été financées par le PIC. Certaines d’entre elles, comme eachOne, ont basculé vers un modèle lucratif. D’autres, comme Aeré, n’ont pas encore franchi le pas
Médiapart via fdesouche
Publié par guy Jovelin le 20 octobre 2021
Emmanuelle Wargon, ministre du Logement, a dénoncé, lors d’un discours prononcé le 14 octobre, le pavillon individuel – qu’habitent tout de même 55 % des propriétaires français ! – comme un « non-sens écologique, économique et social ».
Pour bien enfoncer le clou, elle a précisé : « Le modèle du pavillon avec jardin n’est pas soutenable et nous mène à une impasse. »
Devant la polémique soulevée par ses propos, la ministre a tenu à rassurer le bon peuple : non, jamais au grand jamais, il n’avait été « question d’en finir avec la maison individuelle » – la reconnaissant même comme « une promesse de confort, d’espace et de tranquillité. »
Cela ressemble en tout cas étrangement à un énième coup de sonde anti-propriétaires.
Voici quelques années, de très officiels services publics avaient « proposé » de réfléchir à taxer les loyers que ne payaient pas les propriétaires (!).
Aujourd’hui, il est question de « repenser nos modèles d’urbanisme ».
Les motivations ne sont pas les mêmes, mais c’est toujours la même folie collectiviste.
La première réponse qui vient à l’esprit devant de telles inepties est évidemment de hausser les épaules.
Mais nous avons payé assez cher, ces derniers siècles, pour savoir qu’une ineptie pouvait facilement s’imposer par la propagande et la coercition.
Alors répondons à la ministre.
Ce qu’il faut d’abord défendre dans la propriété, c’est la liberté.
Si tout est collectif, la personne ne peut plus s’affranchir de la contrainte sociale.
Plus j’avance et plus je suis effaré de découvrir qu’au contraire, le modèle de la Macronie est la Chine de Xi Jinping, où le contrôle social est partout.
En défendant la propriété immobilière, on défend aussi la cellule familiale.
Il est d’ailleurs très significatif que Mme Wargon parle spontanément de « maison individuelle », alors que, le plus souvent, il s’agit d’une maison familiale.
Ne parlons pas de la tranquillité : la plupart des gens qui achètent un pavillon fuient les logements collectifs (comme ils fuient les quartiers passés sous d’autres lois que la française) précisément pour cela.
Mais le plus extravagant, c’est d’accuser le « pavillon avec jardin » d’être anti-écologique.
Mme Wargon croit-elle vraiment que les HLM consomment moins d’énergie ?
Il est pourtant assez évident qu’un ménage est d’autant plus économe de l’énergie qu’il consomme qu’il voit immédiatement ce que lui coûte sa prodigalité.
Quant aux jardins, ne sont-ils pas précisément l’endroit où chacun peut « produire bio », tout en absorbant le CO2 devenu ennemi mondial n° 1 ?
Une nouvelle fois, nous constatons que l’écologie, comme naguère l’égalité ou la justice sociale, n’est qu’un prétexte pour la gauche collectiviste.
De belles intuitions se trouvent ainsi dénaturées et exploitées par des politicards sans scrupule pour faire avancer leur agenda liberticide.
Et nul n’est dupe des démentis ministériels.
La déclaration de Mme Wargon est par trop compatible avec les actes de ses prédécesseurs, de ses amis et de ses mentors.
On sait que M. Macron n’est pas précisément un grand défenseur de la propriété immobilière et que les rêves de « Great Reset » évoquent ouvertement un monde où plus personne ne possédera quoi que ce soit.
Pour ma part, je continue à penser que la France irait mieux si nous diffusions davantage la propriété, pour reprendre l’expression du grand économiste de droite Louis Salleron – lequel ne faisait d’ailleurs que développer le bon sens, la doctrine sociale catholique (dont il était un spécialiste), en offrant en exemple à nos dirigeants des régimes qui ont réellement fait progresser l’humanité !
Source : les4verites
Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2020

Et si l’on donnait la parole aux Français ? (XXXVII)
– La popularité du président Emmanuel Macron s’établit en août à 36 % d’opinions favorables, un chiffre en légère érosion (- 1 %) par rapport à l’enquête comparable réalisée en juillet. Le pourcentage de mécontents de l’action du chef de l’État demeure stable à 63 %, selon la même enquête d’opinion.
La popularité du Premier ministre Jean Castex subit au même moment une forte baisse, passant de 55 % à 48 % d’opinions favorables, le taux de mécontents passant dans le même temps de 40 % à 46 % (sondage IFOP pour le JDD réalisé les 18 et 19 août 2020).
– Après deux mois d’exercice, le Premier ministre ne rassemble que 28 % d’opinions favorables, soit trois points de moins qu’en août. Le constat est à peine meilleur pour le chef de l’État, dont la cote de popularité grimpe d’un point par rapport à août dernier, pour atteindre 31 % d’opinions favorables.
Les Français ne sont pas convaincus par l’action du gouvernement, qu’ils sont 62 % à juger défavorablement, selon l’étude. Un constat particulièrement vrai sur les questions économiques, puisque 60 % des sondés estiment que le gouvernement a une mauvaise gestion de l’économie.
Les personnes interrogées ne sont en outre pas convaincues par les aptitudes de leurs décideurs, puisque près de deux sondés sur trois pensent que le gouvernement n’est pas composé de personnes compétentes.
Enfin, 58 % des personnes interrogées se montrent sceptiques sur la capacité du gouvernement à fixer un cap clair et à s’y tenir. (sondage YouGov pour Le HuffPost. Réalisé entre le 31 août et le 1er septembre 2020).
– 47 % des Français estiment que le racisme « anti-Blanc » est une réalité (sondage IFOP – Fiducial pour CNews réalisé les 17 et 18 juin 2020).
– 58 % des personnes interrogées estiment que la situation actuelle en matière de sécurité des biens et des personnes est « mauvaise » et se dégrade dans l’Hexagone.
16 % des personnes interrogées la jugent « très mauvaise » et seuls quatre Français sur dix estiment que la situation est « bonne ». Concernant les mesures attendues de la part des autorités, 49 % des personnes interrogées veulent s’assurer de la réelle application des peines et 44 % prônent un durcissement du Code pénal.
Un quart seulement des Français font confiance à Gérald Darmanin pour répondre efficacement aux problèmes de sécurité. (sondage Elabe – BFM TV réalisé du 28 au 30 août 2020).
– 70 % des personnes interrogées estiment que le terme « ensauvagement » est justifié pour décrire l’évolution de la violence en France (sondage Ifop – Avostart réalisé les 3 et 4 septembre 2020).
– Si 61 % des musulmans français partagent l’affirmation : « l’islam est la seule vraie religion » (un résultat en hausse de 6 % par rapport à un sondage de 2016), ils sont 65 % des musulmans de moins de 25 ans à soutenir cette vision ; 73 % des 25-34 ans et 53 % des plus de 35 ans.
À la question : « Faites-vous passer vos convictions religieuses avant les valeurs de la République ? », 74 % des Français musulmans de moins de 25 ans affirment mettre l’islam avant la République, alors qu’ils sont 25 % pour les 35 ans et plus.
Par ailleurs, 45 % des Français musulmans de moins de 25 ans pensent que « l’islam est incompatible avec les valeurs de la société française », alors que 24 % des plus de 35 ans partagent cette opinion (sondage IFOP – Charlie Hebdo – Fondation Jean Jaurès, réalisé du 6 au 17 août 2020).
– La fréquentation de la mosquée le vendredi pour les 18-24 ans a quasi doublé en dix ans : de 23 % en 2011 à 40 % en 2019 (sondage IFOP – Le Point – Fondation Jean Jaurès, réalisé du 26 août au 9 septembre 2019).
Michel Geoffroy
16/09/2020
Source : Correspondance Polémia