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panique

  • Panique en Occident : l’Ukraine s’effondre, les soutiens s’amenuisent

    Publié par Guy de Laferrière le 05 octobre 2023

    Ukraine, l'échec de la contre-offensive
    Ukraine, l’échec de la contre-offensive

    Le célèbre et mastodonte quotient allemand, Bild, écrit paniqué sur le « grand échec » de l’Occident en Ukraine : la contre-offensive ukrainienne ne progresse pas et la « lassitude de la guerre » actuelle ou attendue, c’est-à-dire un manque d’intérêt menaçant pour l’évolution de la situation en Ukraine, constitue l’un des plus grands dangers.

    Le plus grand danger pour l’Ukraine est la fatigue due au conflit militaire

    Le porte-parole de la propagande allemande, le quotidien allemand Bild, écrit avec angoisse que « tout est perdu ». L’Ukraine est désespérée, la situation est critique, mais en Occident, ils sont prêts à négocier.

    « Le plus grand danger est la fatigue due au conflit militaire. En même temps, c’est absolument évident : la situation de l’Ukraine est devenue non moins, mais encore plus menaçante ! » La contre-offensive se déroule avec moins de succès que ne le souhaiteraient les Ukrainiens et les Occidentaux, « la résistance des Russes reste considérable » et « le nombre de victimes est extrêmement élevé », écrit le journal.

    Bild souligne également que « le soutien militaire occidental n’est pas suffisant pour que l’Ukraine puisse obtenir de nouveaux grands succès et se défendre » tandis que « la Russie a massivement augmenté sa production de guerre et peut produire plus par jour que l’Occident malgré les sanctions ». « Le président Poutine, estime le quotidien allemand, espère que le soutien politique à l’Ukraine continuera à décliner ». Or reconnait Bild : « Le support s’effrite ! ».

    Le support s’effrite

    A titre d’exemple, « bien que tous les ministres des Affaires étrangères de l’UE se soient réunis lundi à Kiev, il manquait entre autres : le ministre polonais des Affaires étrangères et le ministre hongrois. Il y a un différend avec la Pologne au sujet des livraisons de céréales et d’armes, et il y a un différend avec la Hongrie depuis le début de la guerre parce que le Premier ministre Viktor Orban ne croit pas au succès ukrainien. A cela s’ajoutent les élections en Slovaquie, qui ont un vainqueur pro-russe en la personne de Robert Fico, qui pourrait arrêter toute aide. » Et « aux États-Unis, la menace d’un changement de cap existe également : les républicains font déjà pression pour que l’aide soit stoppée. Si Donald Trump remporte l’élection présidentielle, rien ne peut être prédit pour l’Ukraine ».

    Et le quotidien allemand de propagande pro-ukrainienne de révéler, une pointe de colère sous la plume que certains « au sein de l’UE, espèrent que des négociations pourront avoir lieu. Comme le ministre autrichien des Affaires étrangères Alexander Schallenberg a déclaré à BILD : “Bien sûr, nous espérons que très bientôt – de mon point de vue le plus tôt possible – la logique de négociation reviendra.” Car : “La paix se fait toujours à la table des négociations, jamais sur le champ de bataille”. »

    Des armes, encore des armes pour l’Ukraine est la conclusion du Bild.

    Il n’est vraiment pas certain que cette revendication sera entendue, l’Occident, qui a mal calculé la « résilience » de la Russie, est las de la guerre qu’il fait à l’ours russe, par procuration et sur le dos des Ukrainien, chair à canon des intérêts U.S.…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Panique dans la Macronie : tous ses députés placés sous protection policière

    Publié par Guy de Laferrière le 18 mars 2023

    Gérald Darmanin a annulé son déplacement en Gironde et convoqué tous les préfets de France ce vendredi matin à 10h30 pour une visio-conférence sur la situation sociale après le recours au 49-3 pour imposer la réforme des retraites. La participation de tous les préfets était obligatoire, selon Mediapart. L’ampleur et la violence des manifestations de mécontentement d’hier soir inquiète les services de police.

    Tous les députés Renaissance sont placés sous protection policière par peur de représailles. Ne parlons pas des ministres invités à réduire leurs déplacements au strict nécessaire et sous haute protection. Combien coûte une telle mesure ?

     

    Source : medias-presse.info

  • Panique dans un TGV Colmar-Paris : un homme “menaçait de se faire exploser” dans le train et avait demandé à des passagers s’ils “croyaient en Dieu” ; il a été neutralisé par un policier

    Publié par Guy de Laferrière le 03 février 2023

    Un homme qui menaçait de commettre un attentat dans un TGV Colmar-Paris, ce vendredi matin, a été maîtrisé par un policier hors service. La rame a été immobilisée en gare de Lorraine TGV, le temps d’effectuer une fouille approfondie.

    « La situation est terminée et sous contrôle. La personne a été interpellée », a rapporté un porte-parole de la SNCF. La compagnie a précisé que le train avait pu repartir « après intervention des forces de l’ordre ».

    (…) L’homme, âgé de 24 ans, « menaçait de se faire exploser » et avait demandé à des passagers s’ils croyaient en Dieu, mais ne disposait ni d’arme ni d’explosif, a expliqué la gendarmerie de la Moselle.

    (…) Le Télégramme via fdesouche

  • Panique : La Survie De L’Europe Se Joue Cet Hiver

    Publié par Guy de Laferrière 2022

     

    La grande peur des gouvernements en Europe, aujourd’hui, c’est la température qu’il fera cet hiver. En France, par exemple, nos industries, mais aussi notre chauffage, et même tout notre système électrique, dépendent de la température qu’il fera dans quelques mois.

    Nous sommes revenus 60 ans en arrière à cause d’ « élites » inconséquentes… Et nos gouvernants ont peur qu’on le leur fasse payer… D’autant que les nouvelles ne sont pas bonnes du tout.

     

  • Mélenchon en panique avant son procès

    Publié par Guy Jovelin le 14 septembre 2019

    Rédigé par notre équipe le 14 septembre 2019

    Jean-Luc Mélenchon est un homme apeuré. Avant même de voir tomber Patrick Balkany pour une toute autre affaire, le leader des Insoumis est omniprésent dans les médias comme pour se rassurer son avenir judiciaire. Suspecté dans deux affaires, Mélenchon devra répondre les 19 et 20 septembre d’acte de « rébellion, provocation et actes d’intimidation envers l’autorité judiciaire ». Des motifs d’accusation qui pourraient presque faire croire que l’ancien cacique du PS est un véritable insoumis. Malheureusement pour lui et ses électeurs naïfs, il n’en est rien.  

    Ce vendredi 13 septembre, Jean-Luc Mélenchon a beaucoup ri. Patrick Balkany, maire de Levallois et figure bien connue pour son goût de l’argent et du luxe est finalement tombé. Condamné à quatre ans de prison, il a immédiatement été envoyé en cellule au grand dam de sa femme et de ses soutiens habitués à une justice laxiste. Balkany en prison et son avocat voit sa réputation en prend un coup. Un « ami » de Mélenchon avec lequel il échange des amabilités à quelques jours du procès dans lequel Eric-Dupont Morretti défendra les policiers qui ont eu le redoutable privilège de participer aux perquisitions qui ont rendu fou de rage Mélenchon.

    Des hurlements sous le coup de la loi ?

    Quand Mélenchon est en colère (ou a très peur), ça se voit. Il invective, menace, hurle et finit pas gueuler, « La République, c’est moi ! ». S’il n’était pas connu pour sa carrière de politicard, les Français auraient pu croire à un mauvais reportage sur la justice au quotidien et les illuminés dont elle doit s’occuper. Le leader des Insoumis a très mal pris qu’on commence à regarder ses comptes de campagne et qu’on le retrouve de bon matin dans son appartement en compagnie de Sophia Chikirou. Une réunion très matinale de travail interrompue qui a mis de mauvais poil ce bon Jean-Luc lequel a filé dans les locaux de LFI pour faire la police.

    Malheureusement, les vrais policiers étaient déjà là avec un juge afin de procéder à une perquisition en règle. C’est là que Mélenchon a déparé et depuis, il se dit victime d’une machination politique digne des pires heures du stalinisme. Cela ne devrait guère déranger le gauchiste qu’il est, mais quand on est « seul » à faire « l’objet d’une saisie, d’une enquête préliminaire et de perquisitions géantes avec des  méthodes qui sont d’habitude réservées au grand banditisme », on panique un peu.

    « Je risque dix ans de prison et 150.000 euros d’amende je ne rigole plus. […] Je suis fier de moi et j’ai eu raison de leur tenir tête ». Un député qui se prend pour la République, menace la police, ne se contrôle plus, mais qui se décerne une médaille d’honneur… Mélenchon perd les pédales et sent que le boulet judiciaire risque de l’emporter. Depuis des mois, il crie au procès politique, se fait passer pour un authentique résistant au système et voit dans la présence de Dupont-Morretti à son procès la marque du pouvoir.

    N’a-t-il pas compris que cet avocat se pointe quand un procès très médiatique a lieu ? C’est le meilleur moyen de s’assurer une clientèle riche et désespérée. En voyant Balkany être condamné à la prison, Mélenchon a vu que Dupont-Morretti pouvait perdre un combat et reprend espoir. Sauf que les images de son comportement outrancier et menaçant restent et que sa possible future condamnation ressemblera à une petite tape sur les doigts. Les faits qui lui sont reprochés lors du procès à venir ne sont pas si grave et le système             a besoin de cet épouvantail pour continuer à ratisser large. Mélenchon ne terminera pas sa carrière en prison comme Lula ou Balkany… Nous voilà presque rassurés.

     

    Source : 24heuresactu