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subventions

  • Une « start-up de l’asile » proche de la Macronie accumule les subventions malgré ses défaillances

    Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2022

    L’association Aeré pour les réfugiés, dirigée par une responsable du Conseil pour l’Afrique d’Emmanuel Macron, se vante de « résultats extraordinaires » en termes d’intégration. Mais les alertes sur sa gestion se multiplient, alors qu’elle a déjà encaissé 1,7 million d’euros de fonds publics

    D’un côté, il y a la vitrine. Diane Binder se targue d’avoir fondé, avec Action emploi réfugiés (Aeré), l’association « leader en matière d’intégration professionnelle des réfugiés en France ». En quelques années, cette ancienne directrice adjointe du développement international du groupe Suez a décroché de grosses subventions publiques, plusieurs soutiens dont celui de la fondation Total. Mais il y a l’envers du décor : une mauvaise gestion financière et des résultats discutables, d’après notre enquête et des documents confidentiels.

    (…) .

    Une telle transition vers le secteur marchand ne serait pas un cas isolé chez les associations nées à Paris dans la foulée de la médiatisation de ladite «crise migratoire» de 2015. Aeré, Singa, eachOne, Kodiko: toutes «sont liées au monde marchand de plusieurs manières, et portent le nom, revendiqué par la plupart de leurs dirigeant·es, de “start-up de l’asile”,décrypte Fred Salin, doctorant en sociologie à l’Iris et l’EHESS Elles ont ainsi pour la plupart été fondées ou dirigées par des personnes qui ont travaillé dans le secteur marchand».Toutes sont spécialisées dans l’insertion par le travail, prisme privilégié par La République en marche. Toutes, enfin, ont été financées par le PIC. Certaines d’entre elles, comme eachOne, ont basculé vers un modèle lucratif. D’autres, comme Aeré, n’ont pas encore franchi le pas

    Médiapart via fdesouche

  • L’élue EELV Alice Coffin veut compter officiellement le nombre de femmes et de Noirs dans les pièces de théâtre à Paris, afin de décider des subventions aux théâtres par la Ville de Paris

    Publié par Guy Jovelin le 14 juin 2021

     
  • L’UNEF, ce syndicat islamo-gauchiste qui pèse moins de 2% mais qui touche 600 000 € de subventions

    Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2021

    L’UNEF, ce syndicat islamo-gauchiste qui pèse moins de 2% mais qui touche 600 000 € de subventions

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    Marianne a mené l’enquête :

    Beaucoup de bruit… Pour peu de voixMarianne a compilé leurs performances aux élections aux conseils d’administration (CA) des 20 plus grosses universités françaises. Résultat : des taux de participation très faibles, atteignant rarement les 10 %, qui réduisent en miettes leur représentativité réelle. Ainsi, en moyenne, une liste élue dans un CA a obtenu seulement 2,5 % des voix de l’ensemble du corps électoral (…)

    Au centre de ces questions, notamment : l’Unef. Conséquence des faibles taux de participation, des modestes résultats dans certaines universités où le syndicat ne parvient même plus à la deuxième place et de celles où il a tout simplement renoncé à présenter une liste, la structure ne représente réellement plus que 1,4 % du corps électoral des 20 premières facs de France et leurs élus recueillent en moyenne 1,8 % des étudiants inscrits.

    Mais cela n’empêche pas ce syndicat islamo-gauchiste de toucher 600 000€ de subventions de la part de l’Etat :

    « Dévoilée ce mercredi par Europe 1, une note confidentielle demandée par l’Elysée décrit l’Unef comme une institution en perte de vitesse « qui ne correspond pas toujours aux valeurs républicaines qu’elle dit défendre ». Le syndicat serait par ailleurs « coupé de sa base ». Selon Europe 1, l’exécutif n’envisage pas de dissoudre l’organisation mais pourrait couper ses subventions, de l’ordre de 600 000 euros chaque année. »

     

    Source : lesalonbeige

  • L’association participant à la rave party en Bretagne perçoit d’importantes subventions de la Ville de Paris

    Publié par Guy Jovelin le 03 janvier 2021

    L’association participant à la rave party en Bretagne perçoit d’importantes subventions de la Ville de Paris

    En 2019, l’association Techno Plus a reçu, sur proposition de Mme Anne Souyris, adjointe au maire de Paris, chargée de la santé publique, des relations avec l’AP-HP, de la santé environnementale et de la réduction des risques, 80 000 euros pour financer un « drug truck » :

    Chaque année cette association touche des milliers d’euros de subventions de Paris, soit près de 200 000 € en 6 ans :

    Dans un communiqué du 1er janvier, l’association Techno Plus s’honore d’accompagner la Rave party à Lieuron en Bretagne, où elle mène des actions de santé pour réduire les risques liés au Covid-19.  Mais Techno Plus n’est pas seulement une association d’aide et de prévention. C’est aussi un organisme militant, soutenant des actions illégalesElle avait ainsi ouvert un espace de consommation de drogues, héroïne comprise, au Teknival de 2013. En 2017, Techno Plus a ouvert à Paris, avec Aides et Asud, un éphémère magasin de vente de drogues.

    Tout ceci explique-t-il l’inertie du régime à clore cette rave party ?

     

    Source : lesalonbeige

  • Polémique autour des subventions de la Ville de Grenoble aux islamistes du CCIF (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2020

    fdesouche

    31/10/20

    Cette dernière a peu apprécié cette affirmation. Elle a réagi dans un communiqué : “En premier lieu, les services de la préfecture n’ont jamais accordé de subvention au Collectif contre l’islamophobie, ni à son association satellite, l’Association de défense des droits de l’homme. Les subventions délibérées par la Ville de Grenoble l’ont été de sa seule initiative et n’ont nullement fait l’objet d’une validation préfectorale. Si la préfecture effectue un contrôle de légalité, a posteriori, sur les délibérations des collectivités, ces dernières demeurent seules comptables de l’opportunité de ces subventions, au regard du principe de libre administration que leur garantit la Constitution. En d’autres termes, il n’appartient juridiquement pas au préfet de se prononcer sur l’opportunité pour une commune d’accorder ou non une subvention. Il ne peut que saisir le tribunal administratif pour faire annuler la délibération du conseil municipal s’il considère qu’elle est illégale. Il est en revanche de la responsabilité de chaque acteur public de s’assurer de la pertinence de financer telle ou telle association et, par là même, d’en contrôler l’objet et les actions menées.”

    Le Dauphiné


    28/10/20

    Le chercheur grenoblois Naëm Bestandji, spécialiste de l’islam radical, révèle que, pendant trois ans, la Ville de Grenoble a versé une subvention au CCIF. Une association décrite la semaine dernière comme « un ennemi de la République » par le ministre de l’Intérieur.

    www.ledauphine.com