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polémique

  • « Il n’y avait peut-être pas d’électricité mais… » : Rama Yade soutient Gims après la polémique sur les pyramides d’Égypte

    Publié par Guy de Laferrière le 04 mai 2023

    On l’avait presque oublié. L’ancienne membre du gouvernement de Nicolas Sarkozy, Rama Yade, qui vit désormais à Washington, où elle a été nommée directrice Afrique du think thank Atlantic Council, est de retour. Pour le meilleur, comme pour le pire ! Dans une vidéo publiée sur son compte Twitter mardi 2 mai, l’ex-ambassadrice de l’Unesco a pris la défense du chanteur maître Gims.

    Ce dernier, lors d’un long entretien à la chaîne Youtube « Oui Hustle » publiée le 22 mars expliquait notamment : « À l’époque de l’empire de Koush [royaume situé dans l’actuel Soudan (XVIIIe au XVIe siècle av. J.-C.)] il y avait de l’électricité. […] Les pyramides qu’on voit là, au sommet il y a de l’or. L’or, c’est le meilleur conducteur pour l’électricité. C’était des foutues antennes, les gens avaient l’électricité […]. Les Égyptiens, la science, qu’ils avaient, dépasse l’entendement et les historiens le savent. ».

    Des énormités qui ont fait bondir bon nombre d’internautes et probablement ses anciens professeurs d’histoire mais pas Rama Yade ! La « connexion du Congo créant un lien », elle tutoie le rappeur et prend sa défense : « pour nos enfants pour qu’ils n’aient pas à raser les murs et qu’ils marchent la tête haute », développe-t-elle.

    « Il n’y avait peut-être pas d’électricité sur les pyramides mais il y avait beaucoup mieux que cela », ajoute la principale intéressée, estimant que « ce n’est peut-être pas la lettre de ce que tu as dit qui est important mais l’esprit ». Elle développe ainsi tout un argumentaire allant du néolithique à l’antiquité pour prouver que l’Afrique a détenu au début de l’humanité « le leadership » sur le reste des continents et en particulier l’Europe.

    Dans un grand entretien accordé en novembre 2021 à l’Express, Rama Yade avait également dénoncé un « racisme structurel » de la France, qui a « réécrit son passé » pour « nier ce qu’elle a été ». « En niant le problème, on s’interdit d’agir et la situation empire », dénonçait-elle. Pour l’ancienne secrétaire d’État, les déboulonneurs de statues ne font pas de cancel culture, « au contraire » : « ils ont réhabilité l’histoire, la totalité de l’histoire qu’ils connaissent bien, eux, au moins, celle que la mémoire sélective de certains de nos dirigeants a voulu dissimuler ».

    Marianne / Le Parisien

  • Polémique à l'encontre des manifs pour Lola

    Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2022

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    Un communiqué de Thomas Joly, président du Parti de la France
     
    Les vociférations des kapos de la bien-pensance sont insupportables. Alors que ces immigrationnistes fous sont les premiers responsables du calvaire de la petite Lola, ils n'ont que les mots « récupération », « indécence », « indignité » à la bouche parce que des Français veulent exprimer leur colère légitime dans la rue.
     
    En pareille circonstance, ces ordures cosmopolites ne devraient faire qu'une seule chose : fermer leurs sales gueules.
     
    Ce cinéma politico-médiatique, destiné à masquer leur culpabilité, est une insulte à la mémoire de cette jeune fille massacrée par un monstre importé d'Algérie.
     
    Il faudra un jour que toute cette engeance rende des comptes, et notre bras ne tremblera pas.
  • Polémique au carnaval de Guémené (56) autour d’une tête grimée de noir : Elle a été repeinte en blanc suite à des menaces 

    Publié par Guy Jovelin le 05 juin 2022

    Polémique au carnaval de Guémené autour d’une tête grimée de noir Réservé aux abonnés

    La fête promet d’être folle, comme toujours depuis 1926. À Guémené, le traditionnel carnaval attire, tous les deux ans, près de 10 000 visiteurs qui viennent admirer la vingtaine de chars fleuris et artistiques. Mais cette année, il y a eu comme un hic lors de la préparation de l’évènement : plusieurs personnes, qui ont peu goûté à une tête grimée de noir posée en périphérie de la ville, ont menacé de perturber le carnaval si elle n’était pas enlevée.

    « Raciste et très choquant »

    « J’ai reçu un coup de fil d’une personne qui m’a demandé de retirer cette tête que nous avions posée sur le rond-point, près de la caserne des pompiers, pour annoncer l’évènement, explique Monique Le Tennier, présidente du comité d’organisation. Elle m’a dit que c’était raciste, très choquant et que ça faisait « zoo ». Elle voulait à tout prix qu’on l’enlève ». Une requête qui a rapidement viré à la menace. « Elle m’a dit que si on ne l’enlevait pas, plusieurs personnes viendraient empêcher la tenue du défilé ». Un courrier électronique, écrit par une autre personne, a également été envoyé à l’office de tourisme du Faouët, hier. À l’intérieur, on peut lire ceci : « Pourquoi le carnaval utilise-t-il une grosse tête de femme noire pour faire sa publicité ? Cette tête semble être une caricature avec ses lèvres et ses cils exagérés. Dans une région majoritairement blanche, ne pensez-vous pas que ce stéréotype pourrait être perçu comme raciste ? Je suis personnellement offensé », est-il écrit dans le courrier.

    www.letelegramme.fr via fdesouche

  • Paris : Une publicité Nike couvrant la façade de l’Opéra Garnier suscite la polémique

    Publié par Guy Jovelin le 20 décembre 2021

    Trina Nicole est la nouvelle ambassadrice de Nike.

    Trina Nicole est surtout connue pour avoir fondé le premier cours de danse réservée aux personnes fortes au Royaume-Uni “La passerelle de la courbe”. Elle a été présélectionnée comme « Jeune entrepreneur de l’année 2021 » par les Great British Entrepreneur Awards et sélectionnée comme « One to Watch » par Forbes.

    Trina utilise sa plate-forme pour amplifier les voix isolées, et défend la représentation positive des personnes issues de la diversité. C’est cette mission que Nike a reconnue et défendue en l’annonçant comme leur dernière ambassadrice.

    Trina a déjà eu l’opportunité de se produire avec Nao, Lizzo et Beyonce.

    De plus, elle a dirigé les campagnes de communication et de publicité de grandes marques telles que Gap, Clarks et British Vogue.

    Son site officiel

  • Portes fermées aux chrétiens mais pas aux juifs américains : polémique à Jérusalem

    Publié par Guy Jovelin le 17 décembre 2021

    La décision du gouvernement de la ville a déclenché des protestations de la communauté chrétienne.

    Portes ouvertes pour les pèlerins juifs nord-américains mais pas pour ceux de religion chrétienne : le choix du gouvernement à Jérusalem suscite les protestations de l’Église catholique.

    Tout serait attribuable à l’apparition de la variante Omicron, qui a entraîné une nouvelle fermeture des frontières. Le gouvernement de Jérusalem suit une ligne rigide. Depuis le début de la pandémie la ville est restée ouverte aux non-résidents sans restrictions pendant quelques jours seulement, c’est-à-dire à partir du 1er novembre (date à laquelle les portes ont été ouvertes exclusivement aux touristes vaccinés) au 28, qui est le moment où les premiers cas d’omicron ont été enregistrés. Les Etats inscrits sur la liste rouge, c’est-à-dire celle comprenant les destinations interdites même aux citoyens de tout Israël, continuent de s’allonger de jour en jour : la France, l’Espagne et les Emirats Arabes Unis (Uea) ont récemment été ajouté à la Grande-Bretagne.

    Inutile d’essayer d’obtenir des autorisations spéciales en vue des fêtes de Noël : toutes les demandes des communautés chrétiennes ont été renvoyées à l’expéditeur. Par conséquent, il n’y a aucune possibilité pour les pèlerins d’atteindre la destination tant désirée à cette période spécifique de l’année.

    Une ligne rigide qui ne prévoit pas d’exceptions, même si en pratique ce n’est pas le cas. Les portes de la ville, en effet, seront ouvertes à quelques groupes de jeunes juifs nord-américains, qui visitent habituellement Israël pendant les fêtes de fin d’année en participant à de véritables tournées organisées par l’association Birthright. C’est la décision prise par la ministre Ayelet Shaked, qui a décidé de créer ad hoc et de diriger un comité pour gérer l’afflux de ces petits groupes.

    Le choix n’a pas manqué de susciter la polémique au sein de la communauté chrétienne. « Ces discriminations racistes ne doivent pas se produire. Nous appelons les autorités israéliennes à garantir l’entrée à tous ceux qui veulent visiter le pays quelle que soit leur religion », a déclaré le porte-parole pour les différentes confessions chrétiennes Wadi Abunassar., tel que rapporté par Il Corriere. L’Église catholique, en particulier, est particulièrement irritée par la fermeture totale du gouvernorat de Jérusalem et a décidé de faire appel au ministère du Tourisme. Cependant, la décision en la matière reste entre les mains du ministère de l’Intérieur de Shaked. Pour l’instant, le dicastère catholique s’est borné à confirmer la réalité de l’existence de certaines exceptions accordées aux pèlerins, et il n’est pas exclu que d’autres puissent arriver, même si tout apparaît plutôt enfumé et sans date prévue. Pour l’instant, l’interdiction pour les étrangers a été prolongée jusqu’au 29 décembre, c’est-à-dire à Noël désormais passé.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info