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crèche

  • Tant qu’il y aura des personnes pour s’agenouiller dans la crèche, la chrétienté et la France n’auront pas dit leur dernier mot

    Publié par Guy Jovelin le 25 décembre 2021

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    De l’abbé Danziec dans Valeurs Actuelles :

    Jésus, Marie, Joseph. L’image, par excellence, du foyer ardent et uni. Cette sainte famille – rejetée de tous, méprisée par la bien-pensance, pointée du doigt par les conformistes et réduite à l’isolement à l’extérieur de Bethléem – se trouve en mesure, une fois encore en ce Noël 2021, de réchauffer les cœurs abattus et de réconforter les âmes qui désespèrent. Telle a toujours été l’inattendue pédagogie de Dieu : laisser la liberté aux hommes de tomber bas, très bas même, jusqu’à ce qu’ils s’avilissent et fassent le mal, pour finalement confondre les superbes et les puissants par la médiation des petits et des sans grades. Goliath vaincu par David. Le roi Hérode déconfit par le Divin Messie. Les hordes anglaises stoppées par une jeune fille en armure. Les lubies soixante-huitardes pleines de condescendance rattrapées par la patrouille de la réalité au point de ne plus faire florès.

    Tant qu’il y aura des personnes pour s’agenouiller dans la crèche, prier le petit Jésus et puiser dans la mangeoire des forces pour mener un combat à la fois spirituel et culturel, la chrétienté et la France n’auront pas dit leur dernier mot.

    A l’heure où notre socle civilisationnel craque de toute part, la célébration de la naissance du Christ fourbit des armes de lumière. La crèche représente une citadelle d’espérance pour notre civilisation en danger. En son sein réside une chaleur communicative propre à allumer les contre-feux nécessaires face à la décadence. Du coup d’état démographique aux réductions dramatiques de nos libertés, de la destruction de la famille à l’effondrement de l’école, de la remise en cause de nos traditions au wokisme qui cherche à revisiter nos coutumes, oui nos permanences ont fait leur lit dans la paille de Bethléem. Revenir à la source n’est pas seulement une œuvre de piété, elle est une condition de notre continuité.

    Qui pourtant, il y a plus de 2000 ans, aurait parié sur cette pauvre étable misérable, ouverte aux quatre vents ? Dans cette crèche, c’est la fidélité qui domine et la confiance qui maintient. La transcendance, les miracles, les vertus. L’union de tous, des CSP+ et des classes populaires, la farandole des mages et des bergers, qui savent que quelque chose de plus grand qu’eux domine leur existence : Jésus-Christ, le Sauveur tant attendu. Celui qui nous sauve de nos ennemis et nous préserve des faux-frères. Celui qui nous garde des dangers ou nous donne l’énergie pour les surmonter. Celui qui a vaincu la mort et qui nous rejoint dans nos pauvretés. Jésus, celui qui n’usait pas de cette maudite langue de buis qui étouffe l’authenticité de la Foi et aseptise le message de l’évangile.

    Les progressistes de tout poil, aux périphéries du monde comme dans l’intérieur même de l’Eglise, voudraient nous voler notre joie. Noël ne serait pas assez inclusif. Le sapin avec ses guirlandes ? Un terrible danger pour l’avenir de la planète. Le foie gras ? Un crime contre la bienveillance animale. La crèche dans nos mairies ou nos magasins ? Une insulte à l’endroit de ceux qui ne croient pas. Les liturgies latines et grégoriennes, la messe traditionnelle de Saint Pie V ? Un affreux retour en arrière. Pourtant Noël, c’est tout cela et bien plus encore. L’allégresse du 25 décembre se décline aussi dans le chant de l’Adeste Fideles ou celui des Anges dans nos campagnes. La messe de minuit à minuit pile et la procession à la crèche. Le bonheur qui contamine la nef lorsque le prêtre dépose l’enfant Jésus dans la mangeoire. La compassion pour les jeunes enfants de chœur qui s’endorment sur leurs bancs. L’éclairage du sanctuaire à la bougie. Le chocolat chaud partagé sur le parvis. Les “ Joyeux Noël ! ” distribués comme autant de tendresses dont tout le monde est assoiffé.

    Noël nous invite, tous et chacun, à revisiter nos racines et chanter la gloire de ce Jésus qui a mis le feu aux poudres de notre Rédemption. L’étoile des bergers a véritablement inauguré un monde nouveau. Un écosystème qui nous rappelle qu’il y a plus de joie à donner qu’à recevoir, que la noblesse vaut mieux que la jouissance et que seul le pardon est capable de transfigurer nos désirs de vengeance. Un cadre évangélique enseignant que les choses ne valent que ce qu’elles coûtent, affirmant que si rien n’est sacrifié, rien n’est obtenu et soulignant que Jésus, dès sa naissance, a mis sa peau au bout de son exemple.

    Noël, dans ses scintillements et ses recueillements, fait prendre conscience, à ceux qui savent encore s’émerveiller, que le divin Enfant a marqué le début d’une civilisation formidable et indépassable. Faite de héros et de saints. De courage et d’abnégation. De sacrifices et de prières. Une civilisation menacée qui reste à défendre, envers et contre tout. Pour nous-même et notre avenir. Et, surtout, celui de nos enfants.

     

    Source : lesalonbeige

  • La crèche installée au Vatican est, comment dire…

    Publié par Guy Jovelin le 13 décembre 2020

    Oui oui, ce bazar moche installé sur la place Saint Pierre n’est pas une représentation de la Guerre des Etoiles, c’est censé être une crèche !

    François 0 salit décidément tout et sa conception de la religion catholique ne cesse d’étonner.

    Regardons de plus près le personnage en arrière plan. Nous ne savons pas qu’il est censé représenté, mais il a une allure démoniaque, non ?

     

    Source : contre-info

  • Noël. Québec : la crèche est-elle en voie de disparition ?

    Publié par Guy Jovelin le 27 novembre 2020

    L’achat d’une crèche de Noël se complique alors que de moins en moins de marchands tiennent la «Nativité» en inventaire. Avec le déclin continu de la pratique religieuse au Québec, il s’agit là de la suite logique d’une tendance bien ancrée, estiment des experts.

    Un rapide coup d’œil sur les sites web des grands détaillants de la province permet de voir que les scènes de nativité qui habillaient autrefois les dessous d’arbre de Noël sont de plus en plus rares. Seule une poignée de marchands vendent des crèches et bien souvent, un ou deux modèles seulement sont disponibles et les quantités, limitées.

    Questionnée à cet effet, la chaîne Canac admet ne plus tenir de crèches en inventaire depuis plus de 10 ans. Positionnement laïque dans une société où l’accommodement a fait couler beaucoup d’encre? «Pas du tout. Nous, on est en affaires, si ça se vend, on va en avoir», lance avec franchise le directeur marketing de la chaîne, Patrick Delisle. «C’est vraiment une question de demande. Notre modèle d’affaires est basé sur les items à volume et ces produits étaient de moins en moins en demande avec les années.» […]

    «Quand on regarde les années 90, les gens étaient à distance des institutions religieuses, parfois même critiques, mais il y avait une culture commune qui demeurait, un liant social. On allait à la messe à Noël et à Pâques, puis les funérailles étaient catholiques parce qu’on ne savait pas faire autrement. […] Mais de génération en génération, l’effritement continue et ces dernières années, on a vu un emballement de ce phénomène», analyse M. Perreault qui étudie l’évolution de la religion sous un angle sociologique.

    Journal de Montréal via fdesouche

  • Insolite : avec le santon Didier Raoult, le coronavirus s’invite dans la crèche de Noël

    Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2020

    Insolite : avec le santon Didier Raoult, le coronavirus s’invite dans la crèche de Noël

    Le santon de Didier Raoult, conçu par Fabienne Pardi, santonnière dans le Var, connaît un fulgurant succès :

  • Pologne : des « cours de patriotisme » dès la crèche

    Publié par Guy Jovelin le 12 janvier 2020

    Par  le 11/01/2020

    Tout en reconnaissant que l’enseignement du patriotisme à l’école est utile pour “renforcer l’identification avec l’État”, un magazine polonais se demande si son contenu doit nécessairement porter sur la chose militaire.

    (…) Le magazine s’est également entretenu avec le fondateur d’un “groupe artistique qui organise ‘des cours d’histoire vivants et joyeux pour les enfants’”. Il déclare que son “entreprise est active dans toute la Pologne depuis douze ans et qu’il n’a toujours reçu que des éloges pour permettre aux enfants d’examiner de près, de toucher et d’essayer sa grande collection d’armes et d’accessoires.

    Depuis l’arrivée au pouvoir d’un gouvernement “davantage pro-histoire”, ajoute-t-il, “le nombre de demandes de devis a encore augmenté.”

    Interrogée par Polityka, la sociologue Weronika Grzebalska, auteure d’une thèse sur le militarisme en Pologne, relie ces “cours de patriotisme” à d’autres phénomènes populaires dans le pays comme la participation d’adultes à des groupes paramilitaires ou à des reconstitutions historiques. Ou encore l’inscription d’enfants à des “colonies militaires intitulées ‘Forces spéciales’ ou ‘Jeune commando’”.

    (…) Courrier International via fdesouche