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polémique - Page 2

  • Portes fermées aux chrétiens mais pas aux juifs américains : polémique à Jérusalem

    Publié par Guy Jovelin le 17 décembre 2021

    La décision du gouvernement de la ville a déclenché des protestations de la communauté chrétienne.

    Portes ouvertes pour les pèlerins juifs nord-américains mais pas pour ceux de religion chrétienne : le choix du gouvernement à Jérusalem suscite les protestations de l’Église catholique.

    Tout serait attribuable à l’apparition de la variante Omicron, qui a entraîné une nouvelle fermeture des frontières. Le gouvernement de Jérusalem suit une ligne rigide. Depuis le début de la pandémie la ville est restée ouverte aux non-résidents sans restrictions pendant quelques jours seulement, c’est-à-dire à partir du 1er novembre (date à laquelle les portes ont été ouvertes exclusivement aux touristes vaccinés) au 28, qui est le moment où les premiers cas d’omicron ont été enregistrés. Les Etats inscrits sur la liste rouge, c’est-à-dire celle comprenant les destinations interdites même aux citoyens de tout Israël, continuent de s’allonger de jour en jour : la France, l’Espagne et les Emirats Arabes Unis (Uea) ont récemment été ajouté à la Grande-Bretagne.

    Inutile d’essayer d’obtenir des autorisations spéciales en vue des fêtes de Noël : toutes les demandes des communautés chrétiennes ont été renvoyées à l’expéditeur. Par conséquent, il n’y a aucune possibilité pour les pèlerins d’atteindre la destination tant désirée à cette période spécifique de l’année.

    Une ligne rigide qui ne prévoit pas d’exceptions, même si en pratique ce n’est pas le cas. Les portes de la ville, en effet, seront ouvertes à quelques groupes de jeunes juifs nord-américains, qui visitent habituellement Israël pendant les fêtes de fin d’année en participant à de véritables tournées organisées par l’association Birthright. C’est la décision prise par la ministre Ayelet Shaked, qui a décidé de créer ad hoc et de diriger un comité pour gérer l’afflux de ces petits groupes.

    Le choix n’a pas manqué de susciter la polémique au sein de la communauté chrétienne. « Ces discriminations racistes ne doivent pas se produire. Nous appelons les autorités israéliennes à garantir l’entrée à tous ceux qui veulent visiter le pays quelle que soit leur religion », a déclaré le porte-parole pour les différentes confessions chrétiennes Wadi Abunassar., tel que rapporté par Il Corriere. L’Église catholique, en particulier, est particulièrement irritée par la fermeture totale du gouvernorat de Jérusalem et a décidé de faire appel au ministère du Tourisme. Cependant, la décision en la matière reste entre les mains du ministère de l’Intérieur de Shaked. Pour l’instant, le dicastère catholique s’est borné à confirmer la réalité de l’existence de certaines exceptions accordées aux pèlerins, et il n’est pas exclu que d’autres puissent arriver, même si tout apparaît plutôt enfumé et sans date prévue. Pour l’instant, l’interdiction pour les étrangers a été prolongée jusqu’au 29 décembre, c’est-à-dire à Noël désormais passé.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Royaume-Uni : polémique après qu’une école demanda aux garçons de 3 à 11 ans de venir en jupe pour “promouvoir l’égalité”

    Publié par Guy Jovelin le 05 novembre 2021

    Une école primaire a demandé aux garçons et aux filles, dès l’âge de trois ans, de se présenter à l’école en jupe, afin de “promouvoir l’égalité”.

    Mais la demande de l’école primaire Castleview d’Édimbourg a été critiquée par certains parents.

    Elle fait suite à un mouvement similaire en Espagne, où les enseignants et les enfants avaient porté des jupes en signe de solidarité avec un garçon qui a été expulsé pour en avoir porté une l’an dernier.

    Le 4 novembre est désormais la journée “Portez une jupe à l’école” en Espagne.

    Dans un courriel adressé aux parents, Castleview a indiqué qu’elle souhaitait que les enfants soient “à l’aise” pour participer et que des pantalons et des leggings pouvaient être portés sous les jupes si nécessaire.

    L’école a même proposé de fournir des jupes à certains jeunes s’ils n’en avaient pas à la maison. Les enseignants peuvent également porter des jupes.

    Une mère appelée Megan, dont le fils fréquente l’école, a tweeté : “Mon fils a cinq ans et vient de recevoir ceci de l’école ! Laissez les enfants être des enfants”.

    Une autre utilisatrice de Twitter, Nicola, a répondu : “Si un garçon veut porter une jupe à l’école, il devrait en avoir le droit, mais pourquoi mettre la pression sur les gens pour qu’ils demandent à leur fils de porter une jupe sans quoi ils seraient perçus comme sectaires ?

    L’école a déclaré que les élèves de P6 – l’équivalent de l’année 6 en Angleterre – ont eu l’idée après avoir pris connaissance de la campagne espagnole.

    Elle ajoute : “Nous voulons que notre école soit inclusive et qu’elle promeuve l’égalité”.

    Les enseignants ont écrit aux parents : Nous tenons à faire passer le message que les vêtements n’ont pas de genre et que nous devrions tous être libres de nous exprimer comme nous l’entendons”.

    Chris McGovern, de la Campagne pour une véritable éducation, a déclaré que les adultes “imposaient leurs propres angoisses aux enfants”, qui devraient simplement apprendre à traiter les autres comme ils voudraient être traités eux-mêmes.

    Le conseil municipal a déclaré que les élèves n’étaient pas obligés de participer s’ils ne le souhaitaient pas.

    Daily Mail via fdesouche

  • Polémique autour des subventions de la Ville de Grenoble aux islamistes du CCIF (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2020

    fdesouche

    31/10/20

    Cette dernière a peu apprécié cette affirmation. Elle a réagi dans un communiqué : “En premier lieu, les services de la préfecture n’ont jamais accordé de subvention au Collectif contre l’islamophobie, ni à son association satellite, l’Association de défense des droits de l’homme. Les subventions délibérées par la Ville de Grenoble l’ont été de sa seule initiative et n’ont nullement fait l’objet d’une validation préfectorale. Si la préfecture effectue un contrôle de légalité, a posteriori, sur les délibérations des collectivités, ces dernières demeurent seules comptables de l’opportunité de ces subventions, au regard du principe de libre administration que leur garantit la Constitution. En d’autres termes, il n’appartient juridiquement pas au préfet de se prononcer sur l’opportunité pour une commune d’accorder ou non une subvention. Il ne peut que saisir le tribunal administratif pour faire annuler la délibération du conseil municipal s’il considère qu’elle est illégale. Il est en revanche de la responsabilité de chaque acteur public de s’assurer de la pertinence de financer telle ou telle association et, par là même, d’en contrôler l’objet et les actions menées.”

    Le Dauphiné


    28/10/20

    Le chercheur grenoblois Naëm Bestandji, spécialiste de l’islam radical, révèle que, pendant trois ans, la Ville de Grenoble a versé une subvention au CCIF. Une association décrite la semaine dernière comme « un ennemi de la République » par le ministre de l’Intérieur.

    www.ledauphine.com 

  • Pays-Bas : polémique autour d’un personnage grimé en noir du défilé de la Saint Nicolas

    Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2019

    Par  le 18/11/2019

    Le personnage de Black Pete [Zwarte Piet, en français le Père Fouettard], habituellement incarné par des Blancs au visage peint en noir, portant une perruque frisée et du rouge à lèvres rouge vif, provoque ces dernières années d’intenses discussions, voire parfois de violents heurts.

    Pour les militants antiracistes, ce spectacle est blessant pour les personnes noires et mauvais pour les enfants. Mais pour la majPays-Bas : polémique autour d’un personnage grimé en noir du défilé de la Saint Nicolasorité du peuple néerlandais, il n’y a pas de raison de changer une tradition festive considérée comme inoffensive.

    L’ONU ne cesse de demander au gouvernement néerlandais de débarrasser les festivités d’avant Noël de tout élément raciste, mais pour l’instant celui-ci refuse de prendre position […].

    Environ 15% des 17,3 millions de personnes que compte la population des pays-Bas, qui ont été pendant des siècles une puissance coloniale de premier plan, appartiennent à des minorités ethniques.

    The Guardian via fdesouche

  • « Marché aux esclaves » : une affiche de l’extrême droite allemande fait polémique

    Publié par Guy Jovelin le 27 avril 2019

    Par  le 26/04/2019

    L’extrême droite allemande a soulevé une polémique avec une affiche de campagne pour les élections européennes qui utilise un tableau du XIXe siècle intitulé « Le marché aux esclaves », au grand dam du musée américain qui en est propriétaire.

    L’AfD a choisi pour une affiche d’utiliser ce tableau de 1866 montrant des hommes barbus et coiffés de turbans examinant une femme nue, en y adjoignant les slogans: « Les Européens votent pour l’AfD » et « pour que l’Europe ne devienne pas +Eurabe+ »

    Mais le Clark Art Institute a protesté après avoir vu l’affiche de l’AfD sur Twitter. M. Meslay a cependant reconnu que le tableau étant dans le domaine public.

    L’obs via fdesouche