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école

  • « L'école doit rester un sanctuaire »

    Publié par Guy de Laferrière le 06 avril 2024

    Thomas Joly

    Macron : « L'école doit rester un sanctuaire » ; mais bordel ton école publique est devenue un coupe-gorge et un point de deal où les islamo-racailles terrorisent tout le monde ! Et pendant que des gosses se font massacrer, l'État diligente des « enquêtes administratives »...
     
    Peut être une image de 2 personnes, le Bureau ovale et salle de presse
     
     
     
     
     
     
  • Viré de son école pour avoir demandé : « Est-ce que le massacre de Vendée constitue un génocide ? »

    Publié par Guy de Laferrière le 04 mars 2024

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    Tribune d’Alexandre Pesey, fondateur de l’Institut de formation politique, dans le JDD :

    L’Éducation nationale est décidément d’une remarquable inventivité. Toute autre institution finirait par lasser les colères. Pas elle. En janvier dernier, un lycéen se voit exclure de son établissement public (académie d’Aix-Marseille) pour avoir posé une question de nature historique à son professeur d’histoire. Il fait connaître l’affaire : trois millions de vues sur Twitter, un million sur TikTok, une considérable remontée de témoignages enseignants, et tout se passe comme s’il ne s’était rien passé. Ahurissant, mais emblématique.

    Que cette tribune emprunte donc à la fable.

    Jules est un bon gars. Application scolaire, courtoisie, belle expression. Sa mère, femme de ménage, l’élève seule. C’est aussi un adolescent attentif aux idées politiques, les siennes portant plutôt à droite, mais qui fait montre d’une certaine maturité militante. Sur les réseaux sociaux, il exprime ses positions, à bon droit, en citoyen lambda. À l’école, il s’en tient au rôle attendu, celui de l’élève.

    Alors que son cours d’histoire aborde la notion de génocide, une question lui vient. Une question légitime parce que sincère, une controverse historique et mémorielle qui trouve naturellement place dans le petit espace-temps lycéen du jour. Tout le monde s’entend pour dire que le massacre vendéen fut massif, mais s’agissait-il de réprimer la rébellion ou de procéder à l’élimination systématique de toute une population ? En un mot, était-ce un « génocide » ? À défaut d’apporter ici la réponse, on peut toutefois rappeler que Gracchus Babeuf, figure de la Révolution française, parle à cette occasion de « populicide », de « plébéicide ». On peut aussi observer que cette question éclaire la manière dont s’écrit l’Histoire, la manière dont elle se commémore et, surtout, celle dont on l’enseigne.

    En effet, à l’issue du cours, soucieux d’éviter tout scandale, Jules se rend auprès de son professeur : « Ne serait-il pas justifié de parler d’un “génocide vendéen” ? ». À qui d’autre s’adresser en confiance ? L’interlocutrice s’emporte. Elle le menace. Pas d’élèves « comme lui » dans ses cours, pas question. Jules s’est intéressé, véritablement, à son propos, mais Jules est un « négationniste ».

    Il est aujourd’hui deux sortes d’élèves. Ceux qui injurient et qui frappent. Et puis ceux, comme Jules, qui se retirent, déçus mais respectueux. En fin de journée, on lui fait savoir qu’il sera entendu par la direction. Rendez-vous auquel la plaignante ne participera d’ailleurs pas, et où le proviseur apposera le sempiternel tampon « fasciste » sur ce front juvénile. C’est presque une fable. Une fable cruelle qui dit, en peu de mots, la mécanique délétère de l’Éducation nationale. Et puis vient la morale…

    Jules, qui n’est pas invité à se défendre, écope d’un renvoi temporaire pour « atteinte aux valeurs de la République ». Le jeune homme décide de quitter l’établissement pour achever, solitairement, la préparation de son bac. Mais le mal est fait, car le rapport d’exclusion lui fermera bien des portes dans le supérieur. Jules peinera à se défaire de son crime imaginaire. Pas d’ascenseur social pour celui qui pense mal parce qu’il lit trop. Le « mammouth » s’y oppose de tout son poids.

    Aucune question, pourtant, ne porte atteinte à la République. Au contraire. C’est le silence inquiet des atmosphères dictatoriales, qu’il faut craindre. Le respect feint devant la conviction que l’on ne partage pas. Ou que l’on ne comprend pas. Si les enseignants redoutent le déploiement d’idées jugées mauvaises, à supposer que le désir d’instruire soit sincère, il paraît nécessaire de sacraliser l’enceinte du cours. Que les choses soient dites, que les avis soient exposés, discutés, les erreurs corrigées, les tensions levées.

    L’histoire de Jules est une fable parce qu’elle est symbolique : Jules dérange parce qu’il est trop tranquille. En France, les élèves contestant effectivement les valeurs de la République sont légion. Des dizaines de milliers. Dans certains quartiers, ils forment l’écrasante majorité de certaines classes. Ceux-là sont cajolés. On les sermonne dans un sourire, on se bouche les oreilles. La République essuie les crachats et pardonne bien volontiers ces bruyants enfantillages.

    En fait, l’Éducation nationale est emportée par la force d’inertie. C’est une masse qui dérive sans force contraire. Claude Allègre parlait de mammouth pour en qualifier l’administration, mais la métaphore englobe aussi bien les pesanteurs idéologiques. Il faudrait simplement éviter que le conformisme tourne à la méchanceté.

    Si les contours du harcèlement scolaires sont notoirement complexes à tracer, le cas de Jules ne souffre pas l’équivoque. Depuis quelques mois, déjà, Jules faisait les frais d’attitudes militantes moins subtiles que les siennes. Affrontements verbaux, provocations, menaces physiques : une bande d’antifas l’avait repéré, et la direction, par son silence, s’est faite complice des agresseurs… Une fois pris en grippe, de surcroît, par l’équipe pédagogique, c’en était fait du voyou imaginaire. Qu’il dégage. Bon débarras.

    Ne pouvant lever la main en classe, il a choisi de se dresser tout entier. Jules est courageux, il est digne, il a le verbe clair. Sa route sera plus belle loin de l’ignoble sectarisme.

    L’école publique a d’autres chats à ne pas fouetter.

     

    Source : lesalonbeige

  • L'interdiction du port de l'abaya à l'école

    Publié par Guy de Laferrière le 28 août 2023

    Les gesticulations gouvernementales sur l'interdiction du port de l'abaya à l'école n'ont pour objectif que de berner les Français qui s'inquiètent de l'islamisation de notre société.
    Qu'ils soient en tenue islamique ou en survêt Nike, les afro-musulmans constituent le même problème pour la population française.
    Ce ne sont pas quelques mesurettes laïcardes saupoudrées ici ou là qui stopperont la déferlante migratoire.
    L'unique réponse à cette invasion conquérante, c'est la remigration massive de ces populations extra-européennes inassimilables.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
     
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  • Macron et la propagande LGBT à l’école

    Publié par Guy de Laferrière le 27 avril 2023

    Emmanuel Macron fait la propagande LGBT devant des enfants
    Emmanuel Macron fait la propagande LGBT devant des enfants

    Cette séquence d’archive vient rappeler que les lectures de contes transgenres par des drag queens devant des enfants et les cours d’éducation sexuelle à l’école faisant la propagande LGBT et la promotion de la théorie du genre sont directement le reflet de la pensée du président de la république Emmanuel Macron lorsqu’il s’adresse à de jeunes enfants dégoûtés par ses propos.

     
     
  • Ecole : exigeons la fermeture de ce cloaque !

    Publié par Guy de Laferrière le 23 avril 2023

    Ces écoles de la république qui choisissent de choquer les enfants
    Ces écoles de la république qui choisissent de choquer les enfants

    Le 13 avril 1946, Marthe Richard, une ancienne prostituée devenue conseillère municipale de Paris – surnommée « la veuve qui clôt » – impose la fermeture des maisons closes dans tout le pays au motif que « c’est la société qui est responsable de la débauche organisée et patentée ».
    Si nous suivons l’esprit de cette loi, il apparait urgent d’envisager la fermeture définitive de l’Ecole publique, devenue un véritable cloaque organisé, prompt à déboussoler nos enfants de la maternelle à l’université et à susciter la débauche.

    Programme officiel : éducation sexuelle sans finalité normative

    L’éducation sexuelle sans finalité normative est devenue la pièce maîtresse du programme scolaire.
    C’est tout ce qu’il y a de plus officiel : sous le ministère de l’affreux Blanquer, a été produit, sous l’égide de Dominique Schnapper, sociologue, présidente du conseil des sages et de la laïcité (tout un programme!)… le « vademecum de la laïcité » applicable dès la maternelle, dans lequel est stipulé noir sur blanc que l’éducation sexuelle sans finalité normative fait partie du programme, pouvant par ailleurs, être dispensée aux enfants par des personnalités extérieures.
    Là où l’apprentissage de la langue française est totalement dévoyée par des méthodes destructrices qui perdurent et qu’en conséquence, sont passés à la trappe les œuvres littéraires, l’histoire, la géographique, les sciences,, l’institution dite encore et abusivement scolaire, est devenue l’école du sexe qui génère des situations ahurissantes.
    Ainsi, il est rapporté qu’une infirmière scolaire intervenant en classe de CM2 à l’école des Ovides à St Etienne, explique qu’une fille peut sucer le pénis du garçon et caresser les testicules… à l’inverse, le garçon peut sucer le vagin de la fille… également que l’on peut faire le sexe par les fesses.., abordant aussi la possibilité de changer de sexe ! Enfin bref, un véritable festival sexuel ! Il est relaté que les enfants en sont sortis profondément choqués.
    Pour autant, il faut bien réaliser que ce n’est pas un cas marginal mais un exemple parmi d’autres, puisque cela fait officiellement partie du programme.
    Où sont les syndicats ?
    Alors, où sont les syndicats ?
    Les « bons » syndicats ? Ceux si soucieux du bien-être de nos enfants ?
    Assurément au même endroit que pendant la période de la pseudo-pandémie du covid au cours de laquelle les enfants ont été outrageusement maltraités sans que les syndicats ne lèvent le petit doigt, autrement dit ils croupissent dans les allées du pouvoir qui leur verse des subventions suffisamment copieuses pour qu’ils en soient les obligés, ce qu’ils acceptent sans sourciller.
    Et nous, Français ?
    Et nous parents, grand-parents, tous les Français, comment ne pas opposer un refus farouche à cette politique qui nuit gravement à nos enfants et à l’avenir de notre société ?
    Pourquoi les associations ne se regroupent-elles pas pour organiser le refus massif de la pseudo-scolarisation de leurs enfants dans ces conditions ? Ce n’est pas un courrier au ministre de l’Education nationale ainsi que le prévoit l’une d’entre elles, qui risque de changer quoi que ce soit ! Ne nous laissons pas leurrer !
    Pourquoi n’exigent-elles pas, par des manifestations massives, la liberté scolaire, qui ne peut être acquise que par l’obtention d’un bon scolaire attribué à chaque famille ?
    Qu’attendent les associations ?

    Une décision salutaire : la fermeture de ce cloaque

    Ce n’est qu’une fois obtenu ce bon, que pourrait être envisagée la fermeture officielle et salutaire de ce cloaque qu’est devenue l’Ecole publique, institution de perversion par excellence, génératrice de débauche organisée, ruinant ainsi l’avenir de notre société quand par ailleurs, se développe depuis de nombreuses années, une école d’excellence en faveur d’un contingent massif de populations issues.de l’immigration organisée par ceux-là même qui organisent la débauche pour nos enfants.

     

    Source : medias-presse.info