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école - Page 4

  • 75 % des Français inquiets face à l’augmentation des tenues religieuses ou «traditionnelles» à l’école, les jeunes majoritairement «pas inquiets»

    Publié par Guy Jovelin le 15 juin 2022

    Le phénomène alarme les Français. Trois quarts d’entre eux (75 %) se disent inquiets face à la hausse du nombre de tenues religieuses (comme le voile islamique) ou dites «traditionnelles», à l’école, selon un sondage CSA pour CNEWS, rendu public ce mercredi 15 juin.

    Dans le détail, 43 % des personnes interrogées se disent «tout à fait inquiètes» et 32 % «plutôt inquiètes». A l’inverse, 13 % ne le sont «plutôt pas» et 12% «pas du tout».

    Il est à noter qu’un énorme écart de jugement existe en fonction de l’âge des sondés. En effet, les plus jeunes se disent beaucoup moins préoccupés par la question que les plus âgés. Ainsi, les 18-24 ans sont les seuls à être en majorité «pas inquiets» (à 58 %). A contrario, la proportion de personnes inquiètes ne cesse d’augmenter au fil des classes d’âge, pour atteindre 87 % chez les 65 ans et plus.

    Concernant les résultats du sondage par rapport à la proximité politique des personnes questionnées, chaque «famille» politique se dit majoritairement inquiète du phénomène. Avec, toutefois, de grands écarts entre les sympathisants de gauche et de droite.

    Les Insoumis sont ainsi 53 % à se déclarer inquiets, contre 70 % pour les socialistes, 84 % pour les macronistes, 95 % pour Les Républicains et même 100 % pour les sympathisants de Reconquête. Il est à remarquer que les personnes se sentant proche du Rassemblement national sont moins inquiètes que le reste de la droite, avec tout de même 90 % des personnes à l’être.

    Pour rappel, ce sondage intervient alors qu’une note confidentielle du Service central du renseignement territorial (SCRT), dévoilée cette semaine, indique que 144 entorses à la loi sur la laïcité, concernant l’interdiction de port de signes ou tenues religieuses dans les écoles, collèges et lycées, ont été enregistrées au deuxième trimestre 2022, contre 97 lors du premier. Une augmentation de 48 % en à peine quelques mois, alors que ces chiffres sont déjà en hausse depuis plusieurs années (150 incidents repérés sur l’ensemble de l’année 2018).

    Le phénomène se heurte ainsi de plein fouet à la loi, et plus particulièrement à la loi de 2004 sur les signes religieux dans les écoles publiques. Cette loi précise ainsi que «dans les écoles, les collèges et les lycées publics, le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse est interdit». Elle ajoute que «le règlement intérieur rappelle que la mise en œuvre d’une procédure disciplinaire est précédée d’un dialogue avec l’élève». […]

    cnews via fdesouche

  • Montpellier : 4 hommes armés de barres de fer pénètrent dans une école et tabassent un animateur puis le père d’un élève, venu s’interposer. Une centaine de parents en colère manifestent

    Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2021

    Ces quatre hommes ont frappé un animateur avant de s’en prendre à un père de famille.

    Les parents de cette petite école maternelle de Montpellier ne décolèrent pas, après cette scène de violence inouïe dans l’établissement Jeanne-Deroin. Comme le rapporte France Bleu Hérault, lundi vers 17h30 quatre hommes sont entrés dans cette école alors que la classe était terminée, munis d’une barre de fer. Leur cible, un animateur de 35 ans, a reçu des coups de poing, puis a été entraîné par ces individus hors de l’école pour être de nouveau violenté, tout comme le père d’un élève, qui a essayé de lui porter assistance. Tous deux ne souffrent que de légères blessures, assure la radio, mais des enfants ont assisté à cette pluie de coups.

    (…) En réaction, une centaine de parents se sont rassemblés mardi, tandis que des animateurs ont décidé de ne pas travailler. La présidente de l’association des parents d’élèves a indiqué vouloir marquer « le coup parce qu’il est complètement intolérable de laisser entrer la violence au sein de l’école ».

    De son côté Fanny Dombre-Coste, la première adjointe au maire chargée des Affaires scolaires à Montpellier, a évoqué le déploiement de plusieurs psychologues, ainsi qu’un renfort de policiers municipaux aux heures d’entrée et de sortie des enfants devant l’école.

    (…) Le Parisien via fdesouche

  • Royaume-Uni : polémique après qu’une école demanda aux garçons de 3 à 11 ans de venir en jupe pour “promouvoir l’égalité”

    Publié par Guy Jovelin le 05 novembre 2021

    Une école primaire a demandé aux garçons et aux filles, dès l’âge de trois ans, de se présenter à l’école en jupe, afin de “promouvoir l’égalité”.

    Mais la demande de l’école primaire Castleview d’Édimbourg a été critiquée par certains parents.

    Elle fait suite à un mouvement similaire en Espagne, où les enseignants et les enfants avaient porté des jupes en signe de solidarité avec un garçon qui a été expulsé pour en avoir porté une l’an dernier.

    Le 4 novembre est désormais la journée “Portez une jupe à l’école” en Espagne.

    Dans un courriel adressé aux parents, Castleview a indiqué qu’elle souhaitait que les enfants soient “à l’aise” pour participer et que des pantalons et des leggings pouvaient être portés sous les jupes si nécessaire.

    L’école a même proposé de fournir des jupes à certains jeunes s’ils n’en avaient pas à la maison. Les enseignants peuvent également porter des jupes.

    Une mère appelée Megan, dont le fils fréquente l’école, a tweeté : “Mon fils a cinq ans et vient de recevoir ceci de l’école ! Laissez les enfants être des enfants”.

    Une autre utilisatrice de Twitter, Nicola, a répondu : “Si un garçon veut porter une jupe à l’école, il devrait en avoir le droit, mais pourquoi mettre la pression sur les gens pour qu’ils demandent à leur fils de porter une jupe sans quoi ils seraient perçus comme sectaires ?

    L’école a déclaré que les élèves de P6 – l’équivalent de l’année 6 en Angleterre – ont eu l’idée après avoir pris connaissance de la campagne espagnole.

    Elle ajoute : “Nous voulons que notre école soit inclusive et qu’elle promeuve l’égalité”.

    Les enseignants ont écrit aux parents : Nous tenons à faire passer le message que les vêtements n’ont pas de genre et que nous devrions tous être libres de nous exprimer comme nous l’entendons”.

    Chris McGovern, de la Campagne pour une véritable éducation, a déclaré que les adultes “imposaient leurs propres angoisses aux enfants”, qui devraient simplement apprendre à traiter les autres comme ils voudraient être traités eux-mêmes.

    Le conseil municipal a déclaré que les élèves n’étaient pas obligés de participer s’ils ne le souhaitaient pas.

    Daily Mail via fdesouche

  • Traumatisée à 7 ans… Voilà pourquoi il n’y a plus de Pierre dans ces écoles

    Publié par Guy Jovelin le 04 mai 2021

    Traumatisée à 7 ans… Voilà pourquoi il n’y a plus de Pierre dans ces écoles

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    Une histoire comme il en existe bien d’autres similaires dans la France d’aujourd’hui. Encore une chronique du délitement :

    En novembre, Noémie, 7 ans, a été agressée par un enfant de sa classe. Traumatisée depuis, elle ne suit plus une scolarité normale. Ses parents se battent pour qu’elle puisse retourner sereinement en classe.

    Ce mardi 27 avril, Noémie n’a pas fait sa rentrée à la même heure que ses camarades de CE2 à l’école Jean Jaurès de Pantin (Seine-Saint-Denis). Le matin, son père, Nicolas Calzas, lui a fait la classe. L’après-midi, il l’a déposée au portail de l’établissement, au 4 rue Barbara. La fillette s’y rend seulement trois après-midi par semaine, et ça depuis février. Avant et depuis le 6 novembre 2020, elle n’y allait plus.

    Le 5 novembre 2020, Moussa, un élève de 9 ans dans sa classe, l’a poursuivie, une paire de grands ciseaux pointus à la main. Pour le maîtriser, les enseignantes s’y sont mises à trois. L’une d’elles s’est même assise sur lui, en vain : il s’est extirpé. Noémie se cachait sous des bureaux, passant d’une classe à une autre avec la complicité des élèves et d’une enseignante.

    Un pédopsychiatre et un psychiatre diagnostiquent tous deux un traumatisme durable.

    L’Education nationale n’aidera pas les parents. L’inspectrice de la circonscription de Pantin refuse d’aider Noémie au détriment de Moussa, qui mérite lui aussi de suivre une scolarité normale. Elle propose de demander à une équipe éducative « d’accompagner Noémie sur sa phobie d’aller à l’école ». Un conseiller d’aide à la scolarisation des élèves en situation de handicap demande qu’on cesse d’appeler Moussa « l’agresseur » car « désigner un enfant de 10 ans comme un agresseur, ce n’est pas dans les textes de l’Éducation nationale. » Lesparents repartent avec 2 propositions : soit ils aident leur fille à dépasser sa peur, soit ils la changent d’école.

     

    Source : lesalonbeige

  • Nanterre (92) : la mairie vend une ancienne école pour agrandir une mosquée, polémique sur le prix de vente

    Publié par Guy Jovelin le 25 mars 2021

    […] Pour acquérir ce bien de 2180m2 répartis sur un rez-de-chaussée et un étage, l’association devra débourser 2 705 000€. Si le bâtiment en vaut le double (5,4M€ selon les estimations), d’importants travaux de rénovation évalués à près de 2,4M€ seront nécessaires pour mettre en conformité l’ancienne école, dont l’état est « fortement dégradé » et alors que des affaissements ont été constatés. Un montant qui a donc été déduit de sa valeur, la rénovation étant à la charge de l’Institut Ibn Badis.

    […] le groupe Nanterre Ensemble de Camille Bedin n’a pas pris part au vote pour des raisons pécuniaires, malgré un soutien affirmé au projet. Il estime que la mairie a accordé une ristourne supplémentaire de 1M€ en grossissant la facture des travaux au nom du désamiantage, le service des Domaines ayant initialement estimé les travaux à 1 355 000€.

    « Quand on sait ce qu’on pourrait faire avec ce million, quand on pense aux subventions de nos associations nanterriennes tellement en difficulté, quand on pense à la redevance des artisans et commerçants que l’on pourrait suspendre, quand on pense à l’état de certaines de nos écoles (La Fontaine pour ne citer qu’elle)… avec ce million, on pourrait en faire des choses ! et nos concitoyens musulmans le concevront aisément… » s’est insurgée Camille Bedin sur les réseaux sociaux.

    Mais pour la Ville, il n’en est rien : « Le montant (évalué par les Domaines) n’est pas établi sur la base d’une estimation réelle des travaux à effectuer à partir de l’état actuel du bâtiment, il résulte d’un abattement forfaitaire de 25% sur la valeur vénale, soit un ratio très éloigné des standards pour les rénovations lourdes. » […]

    Actu.fr via fdesouche