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école - Page 6

  • L’arabe à l’Ecole pour nos enfants ? Mais tout est prévu !

     

    A la rentrée scolaire 2018, Monsieur BLANQUER s’est produit au micro de Jean-Jacques BOURDIN sur BFM-TV, où il a parlé de « relancer » (sic) l’apprentissage de la langue arabe, se faisant le fervent défenseur de cette langue :

    « L’arabe est une langue très importante comme d’autres grandes langues de civilisation : chinois, russe… il faut développer ces langues, donner du prestige à ces langues, c’est particulièrement vrai pour l’arabe qui est une très grande langue littéraire qui doit être apprise pas seulement par les personnes qui sont d’origine maghrébine ou de pays d’origine arabe.
    « Donc, c’est toute une stratégie qualitative vis-à-vis de la langue arabe que nous allons mener. A la place de l’apprentissage de l’anglais, cela peut être l’apprentissage de l’arabe en CP… »

    Dans son discours, il est remarquable de noter que JM Blanquer ne désigne absolument pas le français comme « grande langue de civilisation » et ce n’est pas anodin : il fait tout pour éradiquer la culture française, notamment par le fait de l’absence de littérature française dans les programmes pour nos enfants et ce, dans la continuité du discours délirant de Macron qui nous assène sans vergogne que « la culture française n’existe pas » !

    Par ailleurs, il est à noter qu’il ne s’agit pas de « relancer » (sic) l’apprentissage de la langue arabe mais plutôt de la généraliser.
    En effet, les E.L.C.O – Enseignement de Langue et de Culture d’Origine – 65% en arabe, 18% en turc – ont été créés dès les années 70 pour s’adresser aux élèves issus de l’immigration, dispensés hors du temps scolaire à raison de 1H30 à 3H par semaine à partir du CE1.
    A la rentrée 2016, cet enseignement concernait 80.000 élèves en école primaire, 5.000 en collège et mobilisait 850 professeurs en exercice.

    Les ELCO sont devenus des E.I.L.E

    Il ont été transformés en E.I.L.E. – Enseignement International en Langues Etrangères – par NV. Belkacem, ouverts à tous, avec des exigences renforcées dans le contenu de l’enseignement et dans le recrutement des enseignants, lesquels sont originaires des pays concernés et désormais intégrés à l’équipe pédagogique.
    Les cours de langue et culture d’origine ont donc été remplacés par des cours d’arabe, langue toujours appréhendée à travers la lecture du coran : il s’agit donc en même temps d’un enseignement religieux… dans une école dite laïque… cherchons l’erreur !
    Le journal « le Monde » du 3 février 2016 révélait dès cette époque, l’existence d’environ 100 E.I.L.E. sur le territoire national pour des élèves regroupés en dehors de la classe, E.I.L.E appelés dès lors, à être intégrés aux activités périscolaires sans l’avis des parents, avec une généralisation du dispositif à la rentrée 2018.
    Par ailleurs, selon le site « Eduscol » du 6 avril 2016, un programme commun de langue arabe a été élaboré par les trois pays du Maghreb : Algérie, Maroc, Tunisie, et une évolution a été engagée pour permettre que cet enseignement devienne un cours de L.V.E. (Langues Vivantes Etrangères) au même titre que les autres langues et dispensés aux élèves sur le temps scolaire.
    La circulaire de rentrée du 13 avril 2016, indiquait d’ailleurs expressément que l’enseignement en langues et cultures d’origine (ELCO) évoluait vers le dispositif E.I.L.E – enseignement international de langues étrangères – dans le premier degré, dispensé en plus des 24 heures de cours, ouvert à tous les élèves volontaires de CE1, quels que soient l’origine, la nationalité et le niveau linguistique de départ, la continuité étant assurée dans le cadre des dispositifs bi-langues au niveau du collège.

    Mise en garde de parlementaires

    L’expérimentation du dispositif eut lieu à la rentrée 2016 dans des académies pilotes, avec un ajustement à la rentrée 2017 et une généralisation à la rentrée 2018 et ce, malgré les sonnettes d’alarme, comme celles du député Damien Meslot qui, en 2013, avait déposé une proposition de loi (rejetée) pour interdire le financement des cours d’arabe par des pays étrangers, écrivant : « …des Etats étrangers financent les cours de langues étrangères pour transmettre des messages contraires aux lois de la république, des appels au trouble à l’ordre public sur le territoire national ».
    Par ailleurs, le 28 avril 2016, à la question au gouvernement du sénateur du Vaucluse Alain DUFAUT, le ministre de l’Education a répondu : « …il s’agit que… désormais, l’apprentissage de langues telles que l’arabe, le turc… se fasse dans un cadre plus banal, comme on apprend l’anglais, l’allemand ou l’espagnol… ».
    C’est clair et net.

    Dispositif entériné par Blanquer
    Ce dispositif a été entériné par JM Blanquer qui n’a nullement remis en cause cette politique. C’est assez dire qu’en tous points, il poursuit la politique de ses prédécesseurs, agissant en connaissance de cause, poursuivant la politique éducative qui assassine l’identité française, sans état d’âme : foulant aux pieds la langue française, laissant perdurer les méthodes ineptes d’apprentissage de la lecture qui grippent le cerveau des enfants durablement, les empêchant d’appréhender la très riche culture française, ne prévoyant de littérature française à aucun niveau de la scolarité, il valorise au plus haut point la culture arabe qui est le prélude à l’islamisation de la France.
    Alors, lorsque Monsieur Blanquer prétend combattre le fondamentalisme islamiste… on peut le croire !

     

    Source : medias-presse.info

  • Selon un site communautaire serbe, un enfant aurait été battu brutalement dans son école à cause d’une croix portée autour du cou

    Publié par Guy Jovelin le 18 janvier 2020

    Par  le 18/01/2020

    Un acte horrible s’est déroulé à Paris, ville d’un pays reconnu pour sa démocratie, sa mixité et qui condamne sévèrement le racisme. Au sein du collège Marx Dormoy, dans le 18ème arrondissement de Paris, un jeune garçon d’origine serbe, âgé de 12 ans, s’est fait agressé de manière brutale pour n’avoir pas voulu ôter une chaîne à laquelle était suspendue une croix, qu’il portait autour du coup. Les agresseurs présumés sont 5 jeunes âgés de 11 ans et ils ont insisté pour que celle-ci enlève sa chaîne et son pendatif. Cette scène d’horreur s’est déroulée ce Mardi matin dans la cours du collège.

    Malgré que la croix que le jeune garçon portait se trouvait sous ses vêtements, 5 jeunes l’ont abordé en lui demandant de l’enlever. Celui-ci ne voulant pas obtempérer, les agresseurs présumés l’ont encerclé en faisant pression sur lui pour le faire. N’ayant pas réussi à le forcer, l’un des jeunes qui se trouvait derrière son dos l’a poussé au sol, et tous se sont mis à lui asséner des coups de pied là où ils le pouvaient. Le jeune garçon a été rué de coups sur tout le corps. Des blessures graves au niveau du visage lui ont été assénés ainsi qu’au niveau de ses partis génitales. Les 5 agresseurs ont été d’une violence sans égal à son égard et ce devant d’autres élèves. Cette scène, ayant durée un certain temps, n’a été stoppée qu’au moment où certains élèves ont commencé à hurler en appelant au secours.

    Selon le témoignage des parents du jeune garçon, les agresseurs n’ont pas réussi à lui enlever son médaillon car celui-ci faisait tout pour le protéger, malgré les risques qu’il encourait. Les parents en ont donc informé la direction de l’établissement et ont été déposés une plainte auprès du commissariat du 18ème arrondissement. Ce jeune garçon est aujourd’hui traumatisé, et porte de lourdes séquelles, tant psychologique que physique. C’est un traumatisme qui lui restera gravé à vie.

    Par le biais de cet article nous appelons chacun d’entre vous à ce que ce fait soit relaté auprès des médias français, de façon à protéger nos enfants dans l’avenir. Si parmi vous certains détiennent des contacts de personnes travaillant au sein des médias, télévisés ou autres, nous vous serions reconnaissant de nous en faire part. Imaginez si la situation avait été inversée, nous chrétiens orthodoxe d’origine serbe aurions été accablés de part et d’autre et accusé de barbarie. C’est la raison pour laquelle nous vous demandons de nous aider à faire entendre ce fait horrible qui vient de se déroulé.

    Ssup.fr via fdesouche

    Andréa Kotarac@AndreaKotarac

    Un enfant d’origine serbe battu par 5 camarades pour avoir refusé d’enlever sa petite croix. Récit de guerre au Kosovo? Non, c’était mardi dans un collège du 18e à . Nouvelle image d’une République faible et d’une  divisée dès le plus jeune âge. https://www.google.fr/amp/s/ssup.fr/un-enfant-dorigine-serbe-battu-brutalement-dans-son-ecole-a-cause-dune-croix-portee-autour-du-coup/amp/ 

    Un enfant d'origine SERBE battu brutalement dans son école à cause d'une croix portée autour du cou

    Un acte horrible s'est déroulé à Paris, ville d'un pays reconnu pour sa démocratie, sa mixité et qui condamne sévèrement le racisme.

     
     
     
     
     
     

     

     
  • Sorti de prison pour avoir recruté des djihadistes, le leader de sharia4belgium étudie dans une école fréquentée par des enfants de victimes d’attentats

    Publié par Guy Jovelin le 18 janvier 2020

    Par  le 18/01/2020

    Après avoir purgé 5 ans de prison pour avoir recruté des djihadistes, Jean-Louis Denis a suivi des cours de néerlandais en banlieue bruxelloise, à Strombeek-Bever. Selon des informations communiquées par Life4Brussels, l’association qui accompagnement les victimes d’attentats, des élèves de primaire se trouvent dans l’établissement fréquenté par Jean-Louis Denis.

    Membre de l’association Life4Brussels, Sylvie Ingels est une victime des attentats de Bruxelles. Elle est mère de deux enfants qui sont scolarisés sur le site où Jean-Louis Denis pratique ses cours de néerlandais. Elle ne comprend pas que sa présence soit acceptée au sein d’un établissement qui accueille des enfants.

    « J’étais terrifiée. Je suis rentrée immédiatement dans l’école quand je l’ai vu rentrer. J’ai été voir la direction qui savait très bien pourquoi je venais. L’école m’a simplement dit qu’ils ne savaient rien faire. Les locaux dans lesquels ils faisaient les cours étaient dans l’école mais appartenaient au CVO, où il suivait des cours de néerlandais. Pour moi, c’est comme si tous les jours, j’emmenais mes enfants à la mort. Pour moi ça a été un choc, je revivais les attentats à nouveau. Comment peut-on le faire suivre des cours dans une école où se situent des enfants », nous confie-t-elle. Actuellement, Jean-Louis Denis n’est plus scolarisé dans les murs de l’école.

    RTL.be via fdesouche

  • Berlin : les parents allemands évitent les écoles à forte immigration

    Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2020

    Les parents berlinois évitent les écoles primaires de leur propre quartier. Pratiquement une famille sur deux veut envoyer son enfant dans une école en dehors de sa zone locale.

    A peine la place de la garderie a-t-elle été trouvée que ces parents sont pris dans le tumulte suivant : La recherche de la bonne école primaire les rend fous.

    En 2019, environ 45 % de tous les élèves de première année ont demandé à fréquenter une autre école que celle désignée par l'autorité de district respective. Pas moins de 60 % des demandes ont été acceptées. Ainsi près de 30 % des enfants ne se sont pas rendus dans leur école locale. [...]

    Les écoles européennes publiques sont considérées comme des alternatives attrayantes à l'école de quartier en raison de leur éducation bilingue. Les raisons de ce changement varient selon les districts.

    La plus grande proportion de demandes de changement a été enregistrée à Charlottenburg-Wilmersdorf avec 66 %. Le pourcentage le plus faible de demandes de changement a été enregistré à Marzahn-Hellersdorf (23 %) et à Spandau (25 %).

    Les parents redoutent les inconvénients liés aux écoles en milieux difficiles

    Il y a quelques années, le Conseil d’experts des fondations allemandes pour l’intégration et la migration avait commandé une étude visant à déterminer les raisons et les effets qui poussent à éviter l’école de Kiez.

    Cette étude a confirmé l'hypothèse selon laquelle le choix des parents dépend de la proportion de migrants, car ils craignent que leurs enfants apprennent moins dans des écoles où se trouvent de nombreux migrants socialement défavorisés.

    Dans ce contexte, les résultats scolaires plus faibles de certains groupes de migrants sont cités comme argument.

    D’autres parents affirment qu’ils veulent épargner à leur enfant un rôle de marginal du moment que l’école de Kiez compte 60 %, voire 90 %, de migrants.

    La ségrégation sociale s'accroît

    Cependant, le comportement des parents exacerbe encore la ségrégation sociale. L'étude susmentionnée a montré que le quota de migrants d'une école de Kreuzberg différait de 500 % du quota de la zone de desserte.

    [...]

    (Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

    Tagesspiegel.de via lesobservateurs


    Rappel :

    France : "Pourtant je suis de gauche, je suis vraiment de gauche. Mais j'aurais du mal à scolariser mon enfant dans une classe peuplée à 80 % d'enfants dont la langue maternelle n'est pas le français, ça me pose vraiment un problème."

     

  • Pour le ministère, il est interdit de parler de la Bible à l’école

    Publié par Guy Jovelin le 28 octobre 2019

    Auteur : Michel Janva

    Pour le ministère, il est interdit de parler de la Bible à l’école

    Nous avions évoqué cette affaire en 2017 :

    Un instituteur de Malicornay, dans l’Indre, a été suspendu par l’inspection académique pour avoir abordé avec ses élèves des passages de la Bible.

    Cet enseignant, agnostique, avait décidé d’enseigner le « fait religieux » en s’appuyant sur des textes de l’Exode et quelques autres.

    En août 2019, le tribunal administratif a estimé que cette sanction était « disproportionnée » et a exigé sa réintégration.

    Cela aurait pu se terminer là. Mais les laïcistes du ministère de l’Education ne lâche pas l’affaire. L’Éducation nationale demande un nouveau jugement. Le dossier va donc passer devant la Cour administrative d’appel de Bordeaux. Sa décision devrait être connue d’ici une dizaine de mois. En attendant, Matthieu Fauchet n’est toujours pas réintégré à l’école de Malicornay, et fait des remplacements depuis la rentrée de septembre. L’enseignant promet de mener le combat jusqu’au bout : “Je ne lâcherai rien, ce combat je le mène aussi pour tous ceux qui me soutiennent, les parents d’élèves comme les élus“.

    Mais pendant ce temps, les bonnes consciences s’indignent sur une affaire de voile provocateur.

     

    Source : lesalonbeige