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berlin

  • Le président Macron se ridiculise en passant en revue les troupes à Berlin, Donald Tusk à la rescousse

    Publié par Guy de Laferrière le 18 mars 2024

    Vendredi 15 mars, au lendemain d’une interview donnée sur la guerre en Ukraine, notre cher président Emmanuel Macron, toujours prêt à enfiler son costume de chef de guerre, s’est rendu à Berlin pour une réunion avec le chancelier allemand Olaf Scholz et le Premier ministre polonais Donald Tusk. L’objectif ? Afficher leur « unité » sur l’aide à l’Ukraine !

    Mais que serait une rencontre internationale sans une petite touche d’humour involontaire de la part de notre président ? Alors qu’il passait en revue les troupes, le menton levé, le torse bombé et bras tendus le long du corps, Macron a une fois de plus laissé son ego prendre le dessus.

    Marchant d’un pas décidé, notre vaillant chef d’État a continué sa route, visiblement plus intéressé par son propre reflet dans les vitrines que par ses homologues. Le Premier ministre polonais Donald Tusk, toujours prêt à rendre service, a gentiment tapoté le dos de l’homme d’État français distrait pour le ramener sur Terre. Les maladresses de Macron se succèdent : De Catherine Ringer à la revue des troupes à Berlin, nous avons un président en fin de course qui s’emmêle les pinceaux.

    Cette scène, bien que cocasse, illustre une fois de plus la tendance de Macron à vouloir en faire trop, allant jusqu’à se ridiculiser. En attendant, nous ne pouvons que savourer ces moments de légèreté qui viennent égayer le paysage politique international.

     

  • Les choses ne fonctionnent pas entre Berlin et Paris

    Publié par Guy de Laferrière le 05 octobre 2023

    lafautearousseau

    Les choses ne fonctionnent pas entre Berlin et Paris, déplore David Mac Allister, un influent eurodéputé allemand.

    C'est bien pire que cela : nos ennemis allemands mènent une guerre énergétique à la France. Et une "guerre tous azimuts", tout court : l'Allemagne - qui s'est transformée en 51ème État des États désunis d'Amérique - veut couler EDF, commande des F35 plutôt que des Rafale, lance un projet concurrent du MGCS, choisit SpaceX au détriment d'Ariane et via l'Inde achète du pétrole russe !

    Et Macron fait semblant de ne rien voir, parcequ'il  rêve de devenir "Président de l'Europe", le pauvre !

    https://www.lefigaro.fr/international/les-choses-ne-fonctionnent-pas-un-influent-eurodepute-allemand-inquiet-des-relations-entre-paris-et-berlin-20231003

  • Depuis 2011, la police de Berlin devait indiquer dans leur système informatique l’origine ethnique des suspects de nationalité allemande de moins de 21 ans. Mais c’est fini ! Cette pratique étant jugée illégale

    Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2022

    Meurtre, homicide, viol, agression sexuelle ou délit de brutalité – depuis le printemps 2011, les policiers devaient indiquer dans le système informatique POLIKS si les suspects de nationalité allemande de moins de 21 ans étaient issus de l’immigration. Mais c’est fini !

    Auparavant, le système “Poliks” comportait une case à cocher qui permettait aux policiers d’indiquer si les suspects étaient issus de l’immigration.

    Dès la fin du mois de juillet, l’administration intérieure du Sénat a décrété que “la saisie de l’origine migratoire du suspect devait être arrêtée à la date la plus proche possible“. La fonction a été désactivée dès le 3 août.

    Mais pourquoi ces données étaient-elles été collectées ?

    L’idée de la direction de la police était de savoir si l’origine pouvait être l’un des nombreux aspects expliquant pourquoi les jeunes deviennent criminels. Il s’agissait “d’identifier les dysfonctionnements sociaux tels que la pauvreté, l’inégalité des chances en matière d’éducation ou la discrimination et de les contrecarrer par des mesures préventives”, comme l’indique la lettre de la direction de la police.

    La protection des données est claire à ce sujet : quiconque collecte et stocke des données personnelles doit prouver qu’il remplit une mission légale. Dans le cas contraire, c’est illégal !

    Le syndicat de la police (GdP) ne comprend néanmoins pas cette décision. Le porte-parole Benjamin Jendro : “Une tolérance aussi mal comprise est du vent au moulin de l’extrême droite et des théoriciens du complot”.

    Bz-berlin.de

    Le pourcentage de personnes issues de l’immigration étant globalement élevé à Berlin, la saisie de ce critère apparaissait comme obsolète.

    Rbb24.de

  • Berlin : un Germano-arménien de 29 ans fonce en voiture sur un groupe de personnes, des blessés, dont des élèves, et une enseignante tuée (MàJ : Il est déjà connu de la police)

    Publié par Guy Jovelin le 08 juin 2022

    fdesouche

    Six personnes ont été grièvement blessées, dont trois grièvement. Selon les informations de BILD, parmi les victimes se trouve une femme enceinte avec une hanche cassée.


    Selon la police, il s’agit d’un Arménien allemand de 29 ans vivant à Berlin. On ne sait toujours pas si l’homme a agi intentionnellement – ou s’il s’agit d’un grave accident. Il est actuellement interrogé. Selon les informations de BILD, l’Arménien allemand est connu de la police.

    Le conducteur

    10h26, mercredi matin, près de la Breitscheidplatz à Berlin : une Renault Clio argentée braque à 150 km/h sur le trottoir, puis fonce sur un groupe de personnes – parmi lesquelles des élèvesUne enseignante meurt.

    Six personnes sont gravement blessées, trois grièvement. On ne sait pas encore combien de personnes sont légèrement blessées.

    Selon la police, l’homme est un Germano-arménien de 29 ans vivant à Berlin. On ne sait pas encore si l’homme a agi intentionnellement ou s’il s’agit d’un grave accident.

    Le conducteur s’est d’abord enfui, mais des passants l’ont retenu et l’ont remis à la police.

    Le conducteur

    BILD


    Le conducteur de la Renault Clio argentée a été arrêté. Il s’est d’abord enfui, des passants l’ont retenu et l’ont remis à la police.

    Lors de l’incident mortel à Berlin, le conducteur a roulé près de 200 mètres plus loin après la première collision avec des personnes. Cet itinéraire est situé entre les coins de Kurfürstendamm, Rankestraße et Tauentzienstraße, où la voiture a foncé sur un groupe de personnes et s’est ensuite arrêtée dans la vitrine d’une succursale de la chaîne de parfumerie Douglas.

    Les détails du conducteur présumé n’ont pas nommé le porte-parole de la police au départ. Il sera interrogé et il sera examiné s’il s’agit d’un acte délibéré ou d’un accident de la circulation, ou si une urgence médicale est également possible.

    BILD / Focus / FR


    Un homme au volant d’une Renault Clio a foncé sur des passants ce mercredi matin vers 10h15 à Berlin (Allemagne). Il y a de nombreuses victimes qui ont été prises en charge par les secours selon les médias allemands. Un premier bilan fait état d’au moins un mort et huit blessés.

    Le chauffeur a été interpellé et un périmètre de sécurité a été mis en place. Pour l’heure, on ne sait pas s’il s’agit d’un acte volontaire ou d’un accident. Les faits se sont déroulés à proximité de la Breitscheidplatz, une grande place publique, et de l’église du Souvenir.

    Actu17


    Une voiture a foncé dans la foule sur la Breitscheidplatz à Berlin-Charlottenburg. C’est ce qu’a confirmé la police à BILD.

    Une personne a perdu la vie, plusieurs autres ont été blessées. Selon les pompiers, il s’agit de huit blessés.

    Le conducteur de la petite voiture Renault a été arrêté. Plusieurs officiers de police lourdement armés se trouvent sur les lieux, les pompiers sont sur place avec 60 forces d’intervention.

    Selon les premières informations de la police, l’incident se serait produit mercredi matin près de l’église du Souvenir et du Ku’damm : sur la Breitscheidplatz – l’endroit où, en décembre 2016, l’auteur de l’attentat Anis Amri avait foncé sur le marché de Noël de Berlin avec un camion détourné.

    BILD

  • Berlin (All.) : dans le quartier multiculturel de Neukölln, les élèves musulmans, majoritaires dans les écoles, terrorisent leurs camarades et le personnel éducatif pour qu’ils respectent la loi islamique

    Publié par Guy Jovelin le 22 décembre 2021

    Allemagne – Le harcèlement pour des raisons religieuses fait partie du quotidien de nombreuses écoles de Berlin-Neukölln. Des élèves et des enseignants musulmans libéraux sont mis sous pression pour se conformer aux règles islamistes.

    Les conflits concernant les tenues religieuses, l’exclusion des activités scolaires et “l’humiliation systématique et prolongée fondée sur des questions religieuses” font partie du quotidien de nombreuses écoles du quartier de Neukölln à Berlin. C’est ce que révèle une enquête qualitative menée par l’Association pour la démocratie et la diversité dans les écoles et l’enseignement professionnel dans dix écoles de l’arrondissement.

    (…) Les premiers résultats ont été présentés lundi. Selon l’inventaire, les écoles étudiées sont situées dans des “zones de recrutement de plus en plus ségréguées socialement”, où plus de 90 % des enfants sont issus de familles musulmanes dont la langue d’origine n’est pas l’allemand. Dans bon nombre de ces écoles, il existe une “culture quotidienne qui met en danger la démocratie et restreint la liberté”, déclare Michael Hammerbacher, responsable du projet.

    Les élèves issus de familles musulmanes, en particulier, subissent une forte pression pour s’adapter, par exemple en termes de comportement pendant le mois de jeûne du Ramadan, de relations avec les minorités religieuses ou de port du foulard. “Il ne suffit pas que les élèves se prononcent en privé en faveur d’une interprétation plus stricte de l’islam. De plus en plus, de telles opinions dominent, avec des exigences de plus en plus claires que ces règles soient également respectées par les autres”, indique l’inventaire. “Cela s’applique alors également au personnel éducatif.”

    Par exemple, le directeur d’une école a signalé que les enseignants et les élèves de cette école avaient été interpellés au sujet de leurs “vêtements d’été”. La direction d’une autre école a déclaré qu’un élève avait dit à un membre du personnel d’origine arabe qu’il ne l’écoutait pas parce qu’elle était une “très mauvaise musulmane” en raison de son absence de foulard. Le père du garçon, qui a été convoqué, avait encouragé son fils dans ce comportement.

    (…) M. Hammerbacher indique qu’il a ressenti un “climat de peur” lors des entretiens pour parler ouvertement de la situation problématique. Les écoles interrogées restent donc anonymes.

    (…) “Pendant le Ramadan, nous avons eu des élèves dans les toilettes qui ont veillé à ce que leurs camarades ne boivent pas pendant la pause”, raconte Kötterheinrich-Wedekind. Les jeunes élèves ont également été informés par leurs parents qu’ils devaient respecter les heures de prière et, si nécessaire, prier dans les toilettes si les installations leur étaient refusées. (…)

    Welt.de via fdesouche