Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

moussa

  • Noisiel (77) : libéré la veille d’un centre de rétention, Moussa, un clandestin faisant l’objet d’une OQTF, vandalise trois voitures de police

    Publié par Guy Jovelin le 01 février 2022

    Tout juste sorti du commissariat de Noisiel (Seine-et-Marne), un homme est allé sur le parking réservé aux voitures des policiers et en a dégradé trois avant d’être interpellé. En situation irrégulière sur le territoire français, il a été placé en garde à vue.

    C’est une patrouille de police qui, en revenant au commissariat vers 09h30 ce samedi, a pris en flagrant délit un homme en train de dégrader les voitures personnelles des fonctionnaires, sur le parking réservé. Il a été immédiatement interpellé avant d’être placé en garde à vue.

    Âgé de 32 ans, Moussa est en situation irrégulière en France et a fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF) le 20 avril 2021. Il aurait été libéré la veille vers 15 heures du centre de rétention administrative du Mesnil-Amelot. Avant de commettre ces dégradations, l’homme est entré au commissariat mais ne parlant pas le français, n’a pas réussi à se faire comprendre. Il est finalement ressorti.

    Il a dégradé trois véhicules au total, brisant une vitre et cassant un rétroviseur sur chacune des voitures. Une enquête a été ouverte et confiée au commissariat.

    Actu 17 via fdesouche

  • Traumatisée à 7 ans… Voilà pourquoi il n’y a plus de Pierre dans ces écoles

    Publié par Guy Jovelin le 04 mai 2021

    Traumatisée à 7 ans… Voilà pourquoi il n’y a plus de Pierre dans ces écoles

    école,moussa,noémie traumatisée à 7 ans,

    Une histoire comme il en existe bien d’autres similaires dans la France d’aujourd’hui. Encore une chronique du délitement :

    En novembre, Noémie, 7 ans, a été agressée par un enfant de sa classe. Traumatisée depuis, elle ne suit plus une scolarité normale. Ses parents se battent pour qu’elle puisse retourner sereinement en classe.

    Ce mardi 27 avril, Noémie n’a pas fait sa rentrée à la même heure que ses camarades de CE2 à l’école Jean Jaurès de Pantin (Seine-Saint-Denis). Le matin, son père, Nicolas Calzas, lui a fait la classe. L’après-midi, il l’a déposée au portail de l’établissement, au 4 rue Barbara. La fillette s’y rend seulement trois après-midi par semaine, et ça depuis février. Avant et depuis le 6 novembre 2020, elle n’y allait plus.

    Le 5 novembre 2020, Moussa, un élève de 9 ans dans sa classe, l’a poursuivie, une paire de grands ciseaux pointus à la main. Pour le maîtriser, les enseignantes s’y sont mises à trois. L’une d’elles s’est même assise sur lui, en vain : il s’est extirpé. Noémie se cachait sous des bureaux, passant d’une classe à une autre avec la complicité des élèves et d’une enseignante.

    Un pédopsychiatre et un psychiatre diagnostiquent tous deux un traumatisme durable.

    L’Education nationale n’aidera pas les parents. L’inspectrice de la circonscription de Pantin refuse d’aider Noémie au détriment de Moussa, qui mérite lui aussi de suivre une scolarité normale. Elle propose de demander à une équipe éducative « d’accompagner Noémie sur sa phobie d’aller à l’école ». Un conseiller d’aide à la scolarisation des élèves en situation de handicap demande qu’on cesse d’appeler Moussa « l’agresseur » car « désigner un enfant de 10 ans comme un agresseur, ce n’est pas dans les textes de l’Éducation nationale. » Lesparents repartent avec 2 propositions : soit ils aident leur fille à dépasser sa peur, soit ils la changent d’école.

     

    Source : lesalonbeige

  • Nice : « Un accord a été trouvé » pour l’Ivoirien Moussa, le cuisinier sans-papier du “Poppies” qui est menacé d’expulsion

    Publié par Guy Jovelin le 11 mars 2021

    Cet Ivoirien de 34 ans qui vit et travaille à Nice depuis 2014 devait être expulsé après avoir été contrôlé en situation irrégulière dans le restaurant “Poppies”, ouvert illégalement le 27 janvier.

    L’audience du tribunal administratif de Nice qui devait examiner ce mercredi matin la situation de Moussa Ndieng, ce cuisinier ivoirien âgé de 34 ans en situation irrégulière en France depuis 2011, ne s’est pas tenue, a indiqué son avocate Hanan Hmad. “Un accord a été trouvé”, sourit-elle. “Le préfet a abrogé sa décision!”, précise de son côté son associé, Maître Zia Oloumi. En clair : le préfet des Alpes-Maritimes a annulé l’OQTF – l’obligation de quitter le territoire français – qu’il avait prise par arrêté contre le trentenaire, sans papier. “Il n’y a plus lieu au contentieux, donc ça veut dire que l’on peut être optimiste sur la suite”, ajoute maître Oloumi.

    […]

    Nice-Matin via fdesouche