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grenoble

  • Après les couteaux puis les kalachnikovs, la grenade

    Publié par Guy Jovelin le 13 février 2025

    Mercredi soir, une attaque à la grenade s’est produite dans un bar associatif de Grenoble, dans une zone sensible de la ville, faisant douze blessés dont six en urgence absolue.

    Selon les premières informations confirmées par le procureur par intérim François Touret de Coucy, un homme est passé devant le bar et, sans prononcer de mot, a lancé une grenade qui a explosé dans la pièce principale, au rez-de-chaussée d’un immeuble.

    « Cette personne aurait été armée aussi d’une kalachnikov, mais ça reste à déterminer. Il n’est pas certain que cette kalachnikov ait été utilisée. A priori, les dégâts ont été causés par l’éclatement de la grenade ».

    « Tout doit être étudié, on ne peut pas dire à ce stade si c’est lié au trafic de drogue ».

    Le lanceur de la grenade n’est pas identifié, et aucune interpellation n’a eu lieu ce mercredi soir.

    Vite une loi pour interdire la vente des grenades ! Ah, c’est déjà interdit ? Flûte, que vont pouvoir faire les députés ?

     

    Source : lesalonbeige

  • Grenoble : un policier traîné sur 30 mètres par un jeune de 19 ans à scooter refusant d’obtempérer

    Publié par Guy de Laferrière le 28 juin 2023

    Un homme à scooter a refusé de s’arrêter lorsque les policiers lui ont ordonné, dans la nuit de mardi à mercredi à Grenoble. L’un des fonctionnaires qui a tenté de le maîtriser, a été traîné sur une trentaine de mètres avant de chuter.

    Un jeune homme de 19 ans a refusé d’obtempérer aux policiers à Grenoble (Isère), traînant un fonctionnaire sur une trentaine de mètres, dans la nuit de mardi à mercredi.

    […]

     

    Actu17 via fdesouche

  • Grenoble : le facteur ne passe plus dans certains immeubles à cause d’intimidations par les dealers du quartier

    Publié par Guy de Laferrière le 04 mai 2023

    La semaine dernière, les résidents de deux immeubles de la place Saint-Bruno ont reçu une lettre de La Poste les informant que le courrier ne serait plus distribué dans leurs boîtes aux lettres jusqu’à nouvel ordre et qu’il était disponible à l’agence de La Poste, située place Saint-Bruno. La raison : le facteur ferait l’objet d’intimidations de la part des dealeurs du quartier. La Poste confirmait la suspension de cette distribution dans notre édition du 30 avril.

    Le 2 mai, les habitants de Domisilami, copropriété du 7 passage du marché, concernés par ce problème, ont adressé un courrier à La Poste.

    Ils expliquent : « Si nous notons avec satisfaction votre volonté de prendre soin de votre personnel, nous sommes tout de même surpris par votre décision. En effet, nous ne contestons absolument pas le droit de retrait des salariés, mais nous sommes surpris de votre décision de suspendre un service du service public au nom des incivilités commises. Nous recevons cette décision qui ne comporte aucune date de reprise du service de distribution du courrier comme une atteinte à nos droits de citoyens. S’il convient de lutter chacun à notre façon contre toutes les incivilités commises, nous devons maintenir aussi cet équilibre souvent battu en brèche de la présence des services publics, encore plus dans ces contextes-là. » (…)

    Le Dauphiné via fdesouche

  • Refus d’obtempérer à Grenoble : doigt arraché pour un policier percuté volontairement par le conducteur d’un scooter volé

    Publié par Guy de Laferrière le 16 janvier 2023

    Les policiers ont essuyé un refus d’obtempérer de la part d’un homme sans casque sur un scooter volé. Il a percuté et grièvement blessé l’un des agents, avant de prendre la fuite.

    Un policier de la brigade spécialisée de terrain (BST) a été grièvement blessé à une main ce vendredi soir à Grenoble (Isère) lors d’une intervention, a-t-on appris, confirmant une information du Dauphiné.

    Les forces de l’ordre ont ordonné à un homme à scooter, sans casque, de s’arrêter pour un contrôle à l’angle de l’avenue des Jeux-Olympiques et de la rue de Kaunas. Le conducteur a d’abord ralenti, laissant penser qu’il allait s’arrêter, mais a redémarré soudainement, fonçant sur l’un des agents qui a été percuté. Le fonctionnaire a eu une phalange arrachée. Il a été conduit au CHU de Grenoble.

    Le suspect a abandonné son deux-roues peu après et a pris la fuite vers le quartier Teisseire où un autre homme l’a fait monter sur sa trottinette. Le duo a ensuite disparu. Le scooter, récupéré par la police, était signalé volé. Une enquête a été ouverte.

    Actu 17 via fdesouche

  • Affaire Sciences Po Grenoble : Enseignante, Claire Guéville a été condamnée pour injures et diffamation envers les professeurs accusés « d’islamophobie »

    Publié par Guy de Laferrière le 11 janvier 2023

    Une secrétaire nationale du syndicat Snes-FSU, responsable du secteur lycée, a été condamnée mercredi 11 janvier à une amende de 5 000 euros dont 4 000 euros avec sursis pour injures et diffamation dans l’affaire aux multiples ramifications des accusations d’islamophobie à Sciences Po Grenoble. Également condamnée à verser 2 500 euros de dommages et intérêts, Claire Guéville, professeure d’histoire-géographie à Rouen, compte faire appel.

    L’affaire remonte à mars 2021, quand les noms de deux professeurs de l’IEP de Grenoble sont affichés sur les murs de l’établissement, les accusant d’islamophobie. En réaction à un article sur le sujet, Claire Guéville avait qualifié sur son compte Twitter les deux enseignants de “racistes” et “négationnistes”. L’un d’eux, Vincent Tournier, avait alors porté plainte. Le procès avait eu lieu en novembre 2022 devant le tribunal correctionnel de Grenoble.

    […]

     

    Le 4 mars 2021, des affiches avait été collées sur la façade de l’institut d’études politiques de Grenoble. “Des fascistes dans nos amphis”, “L’islamophobie tue”, mentionnaient-elles. Deux enseignants y étaient nommément visés, les accusant ainsi directement d’islamophobie pour avoir notamment demandé de retirer le terme “islamophobie” de l’intitulé d’une table ronde également axée sur le racisme et l’antisémitisme. Le débat s’était ensuite enflammé jusque sur les réseaux sociaux.

    Franceinfo via fdesouche