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jérusalem

  • Jérusalem : un juif haineux brise une statue du Christ dans une chapelle franciscaine

    Publié par Guy de Laferrière le 06 février 2023

    Jérusalem – Un juif américain de 40 ans a brisé à coups de marteau une statue de Jésus-Christ dans la chapelle de la Flagellation au début de la Via Dolorosa. Les frères franciscains ont publié un communiqué dans lequel ils dénoncent une « chaîne  » d’événements « dirigés  » contre la communauté catholique, liée à un climat de haine dans l’opinion publique.

    « Nous condamnons fermement cette séquence croissante d’actes graves de haine et de violence contre la communauté chrétienne en Israël. « , a fait savoir par communiqué la Custodie de Terre Sainte dans une note signée par Fr. Francesco Patton et le secrétaire Fr. Albero Joan Pari commentant l’attaque qui a eu lieu dans la Chapelle de la Flagellation, dans la vieille ville de Jérusalem. Il s’agit de l’acte de vandalisme commis par un touriste juif américain, qui a été arrêté par le personnel de l’église et remis à la police après avoir endommagé une statue du Christ. La police l’a détenu, dans l’attente d’une expertise psychiatrique, alors que la Custodie parle ouvertement d’un « crime de haine  » contre la foi lié à « la série d’attentats  » dirigés contre des chrétiens en Israël « au cours du dernier mois « .

    La Custodie rappelle comment « ce n’est pas par hasard que la légitimation de la discrimination et de la violence dans l’opinion publique et dans la scène politique israélienne actuelle se traduit également par des actes de haine et de violence contre la communauté chrétienne « . « Nous espérons et exigeons « , soulignent les responsables chrétiens, « que le gouvernement israélien et les forces de l’ordre agissent résolument pour garantir la sécurité de toutes les communautés, assurer la protection des minorités religieuses et éradiquer le fanatisme religieux, ces graves phénomènes d’intolérance, ces crimes de haine et des actes de vandalisme dirigés contre les chrétiens en Israël. « 

    A la spirale de violence entre Israéliens et Palestiniens (également alimentée par la marche de Ben-Gvir vers l’Esplanade des Mosquées), s’ajoutent depuis des semaines de nombreux incidents à caractère confessionnel. Au moins cinq contre des chrétiens, selon la Custodie, survenue après l’attaque de juifs religieux contre des touristes la semaine dernière, l’inscription « mort aux chrétiens  » sur les murs d’un monastère et l’assaut contre un centre maronite.

    Ce vandalisme dans la vieille ville de Jérusalem n’est que le dernier d’une longue série d’attaques d’intimidation, dont certaines sont signées « price tag » (l’étiquette du prix à payer) et peuvent être attribuées à des colons ou à des extrémistes juifs. Plus tôt cette année, des extrémistes juifs ont profané un cimetière chrétien sur le mont Sion et avaient précédemment attaqué plusieurs autres cibles, notamment l’église près du Cénacle, la basilique de Nazareth et des bâtiments catholiques et grecs orthodoxes.

     

    Source : medias-presse.info

  • Vandalisme au sanctuaire de la Flagellation à Jérusalem

    Publié par Guy de Laferrière le 04 février 2023

    Vandalisme au sanctuaire de la Flagellation à Jérusalem

    Hier, un juif a pénétré dans le sanctuaire de la Flagellation, sur la Via dolorosa, à Jérusalem, est allé dans la chapelle de la Condamnation, a renversé la statue du Christ et lui a frappé la tête à coups de marteau. Arrêté par la police, il a crié : « Il ne peut y avoir d’idoles à Jérusalem, qui est la ville sainte. » Puis il a été conduit à l’hôpital pour une « évaluation psychiatrique »…

    Communiqué de la Custodie de Terre Sainte suite au vandalisme du jeudi 2 février :

    Aujourd’hui à 8h30 du matin, un extrémiste juif est entré dans l’église de la Flagellation, qui est la première étape de la Via Dolorosa, dans la vieille ville de Jérusalem. L’homme a démoli la statue de Jésus et a dégradé le visage de la statue. Après avoir été immobilisé par le portier du sanctuaire, la police est arrivée et l’a arrêté.

    Il s’agit du cinquième incident survenu ces dernières semaines. Pas plus tard que la semaine dernière, des touristes ont été attaqués par un groupe de juifs religieux qui sont entrés dans la Porta Nuova. Ils ont vandalisé la Nouvelle Porte, près du siège de la Custodie de Terre Sainte, jetant des chaises, des tables et des verres et transformant le quartier chrétien en champ de bataille.

    Il y a environ deux semaines, un cimetière chrétien de Jérusalem a été vandalisé, des graffitis “Mort aux chrétiens” ont été inscrits sur les murs d’un monastère du quartier arménien et des locaux utilisés comme église dans le centre maronite de Ma’alot ont été vandalisés.

    Nous suivons avec préoccupation et condamnons fermement cette série croissante d’actes graves de haine et de violence contre la communauté chrétienne en Israël. Ce n’est pas un hasard si la légitimation de la discrimination et de la violence dans l’opinion publique et dans le scénario politique israélien actuel se traduit également par des actes de haine et de violence contre la communauté chrétienne.

    Nous attendons et exigeons que le gouvernement israélien et les forces de l’ordre agissent de manière décisive pour garantir la sécurité de toutes les communautés, garantir la protection des minorités religieuses et éradiquer le fanatisme religieux, ces graves phénomènes d’intolérance, ces crimes de haine et de vandalisme dirigés contre les chrétiens en Israël.

    Fr Francesco PATTON, OFM, Custode de Terre Sainte

    Fr Alberto Joan PARI, OFM, Secrétaire de Terre Sainte
     
    Source : lesalonbeige
  • Des juifs fondamentalistes profanent un cimetière chrétien à Jérusalem

    Publié par Guy de Laferrière le 06 janvier 2023

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    Tombes ouvertes, croix et pierres tombales brisées dans le cimetière anglican de Jérusalem, voilà le résultat du nouvel acte de profanation d’un cimetière chrétien en Israël. Une vidéo montre deux personnes portant des kippa entrant dans le cimetière et le profanant.

    Des vandales non identifiés ont endommagé plusieurs tombes dans le cimetière anglican sur le mont Sion, à Jérusalem et une vidéo de surveillance a filmé deux individus juifs détruisant les pierres tombales.

    Dans leur rapport, les policiers expliquent être arrivés sur les lieux après avoir reçu une plainte pour vandalisme, accompagnée d’images montrant des pierres tombales brisées. La vidéo de la caméra de sécurité a filmé la profanation le 1er janvier à 15h25 et montre deux hommes, portant des kippa, commettre la profanation des tombes de ce cimetière.

    Depuis quelque temps déjà, les différents dirigeants chrétiens de Terre Sainte mettent en garde contre une escalade du radicalisme d’origine juive qui menace la survie même des communautés. En décembre 2021, les patriarches et les chefs des Églises catholiques, orthodoxes et protestantes de Jérusalem ont publié une note commune sévère dans laquelle ils ont mis en garde contre le danger que représentent les groupes radicaux juifs dont l’objectif est de « réduire la présence chrétienne« .

    Cette profanation sur le mont Sion n’est que le dernier acte en date d’une longue série d’attaques et d’intimidations, dont certaines sont signées « prix à payer » et sont imputables à des colons ou à des extrémistes juifs. Parmi leurs diverses cibles, citons l’église près du Cénacle, la basilique de Nazareth ou des édifices catholiques et grecs orthodoxes. Le «prix à payer» est un slogan utilisé par les extrémistes israéliens pour menacer les chrétiens d’avoir «pris leur terre». Avant, le phénomène n’était observé qu’à Jérusalem et dans les zones frontalières avec la Cisjordanie, mais aujourd’hui il s’est propagé à une grande partie du territoire.

     

    Source : medias-presse.info

  • Portes fermées aux chrétiens mais pas aux juifs américains : polémique à Jérusalem

    Publié par Guy Jovelin le 17 décembre 2021

    La décision du gouvernement de la ville a déclenché des protestations de la communauté chrétienne.

    Portes ouvertes pour les pèlerins juifs nord-américains mais pas pour ceux de religion chrétienne : le choix du gouvernement à Jérusalem suscite les protestations de l’Église catholique.

    Tout serait attribuable à l’apparition de la variante Omicron, qui a entraîné une nouvelle fermeture des frontières. Le gouvernement de Jérusalem suit une ligne rigide. Depuis le début de la pandémie la ville est restée ouverte aux non-résidents sans restrictions pendant quelques jours seulement, c’est-à-dire à partir du 1er novembre (date à laquelle les portes ont été ouvertes exclusivement aux touristes vaccinés) au 28, qui est le moment où les premiers cas d’omicron ont été enregistrés. Les Etats inscrits sur la liste rouge, c’est-à-dire celle comprenant les destinations interdites même aux citoyens de tout Israël, continuent de s’allonger de jour en jour : la France, l’Espagne et les Emirats Arabes Unis (Uea) ont récemment été ajouté à la Grande-Bretagne.

    Inutile d’essayer d’obtenir des autorisations spéciales en vue des fêtes de Noël : toutes les demandes des communautés chrétiennes ont été renvoyées à l’expéditeur. Par conséquent, il n’y a aucune possibilité pour les pèlerins d’atteindre la destination tant désirée à cette période spécifique de l’année.

    Une ligne rigide qui ne prévoit pas d’exceptions, même si en pratique ce n’est pas le cas. Les portes de la ville, en effet, seront ouvertes à quelques groupes de jeunes juifs nord-américains, qui visitent habituellement Israël pendant les fêtes de fin d’année en participant à de véritables tournées organisées par l’association Birthright. C’est la décision prise par la ministre Ayelet Shaked, qui a décidé de créer ad hoc et de diriger un comité pour gérer l’afflux de ces petits groupes.

    Le choix n’a pas manqué de susciter la polémique au sein de la communauté chrétienne. « Ces discriminations racistes ne doivent pas se produire. Nous appelons les autorités israéliennes à garantir l’entrée à tous ceux qui veulent visiter le pays quelle que soit leur religion », a déclaré le porte-parole pour les différentes confessions chrétiennes Wadi Abunassar., tel que rapporté par Il Corriere. L’Église catholique, en particulier, est particulièrement irritée par la fermeture totale du gouvernorat de Jérusalem et a décidé de faire appel au ministère du Tourisme. Cependant, la décision en la matière reste entre les mains du ministère de l’Intérieur de Shaked. Pour l’instant, le dicastère catholique s’est borné à confirmer la réalité de l’existence de certaines exceptions accordées aux pèlerins, et il n’est pas exclu que d’autres puissent arriver, même si tout apparaît plutôt enfumé et sans date prévue. Pour l’instant, l’interdiction pour les étrangers a été prolongée jusqu’au 29 décembre, c’est-à-dire à Noël désormais passé.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info