GJN1 gjngjN

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ue

  • Le Parlement européen impose des permis de conduire à durée limitée

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2025

    Le Parlement européen s'opposera-t-il à l'utilisation d'embryons pour les produits pharmaceutiques ?

    Le mardi 21 octobre, les parlementaires européens ont émis un vote qui va radicalement changer la vie des automobilistes dans toute l’Union Européenne.

    Désormais, les décisions de retrait de permis qu’un pays prononce s’appliquent automatiquement partout dans l’UE. Cela concerne également les suspensions et restrictions de permis. Lorsqu’un État impose un retrait, il informe le pays émetteur du permis dans le cadre d’un certificat européen standard. Le pays émetteur devrait alors retirer le permis dans un délai de 15 jours. De la sorte, le contrevenant ne pourra plus conduire nulle part dans l’UE.

    Les infractions graves concernées incluent : l’utilisation du téléphone au volant, la conduite en état d’ivresse, la conduite sous stupéfiants, les excès de vitesse d’au moins 50 km/h et, bien entendu, les infractions ayant causé la mort ou des blessures graves. L’utilisation du téléphone au volant sera aussi visée.

    Permis de conduire pour 15 ans maximum

    D’autre part, la durée de validité du permis se limitera à 15 ans maximum pour les voitures et motos. Cette durée pourra être réduite à 10 ans dans les États où le permis sert de pièce d’identité. Quant au permis pour les véhicules lourds, sa durée reste fixée à 5 ans.

    Des contrôles médicaux comprenant un contrôle de la vue et un examen cardiovasculaire seront obligatoires pour obtenir le permis de conduire. Lors des échéances de renouvellement du permis de conduire, chaque Etat membre de l’UE décidera des critères d’évaluation.

    Les conducteurs de plus de 65 ans seront particulièrement mis sous pression. La durée de validité de leur permis sera plus réduite avec des contrôles imposés fréquents. Quant aux conducteurs novices, leur permis sera soumis à une période probatoire harmonisée de deux ans durant lesquels ils encourent des sanctions renforcées en cas d’infractions graves, comme la consommation d’alcool, de stupéfiants ou le non-port de la ceinture de sécurité.

    Nouveaux critères d’examen et meilleure formation
    L’examen du permis de conduire devra comprendre la maîtrise des risques liés aux angles morts et les dangers de l’ouverture des portières en présence de cyclistes, la conduite sur neige et terrain glissant ainsi que… les enjeux environnementaux.

    Le permis de conduire numérique partout d’ici 2030

    Le permis numérique deviendra progressivement la norme d’ici 2030 et sera accessible sur smartphone via le portefeuille d’identité numérique européen. Il restera cependant possible de demander un permis physique, notamment pour les personnes sans smartphone ou pour se rendre dans des pays tiers.

    Mise en œuvre de ces nouvelles règlementations en France entre 2026 et 2028

    Les nouvelles réglementations entreront en vigueur 20 jours après leur publication au Journal officiel de l’UE, probablement en décembre 2025. Après quoi les États membres disposeront de trois ans pour les transposer dans leurs législations respectives et d’une année supplémentaire pour préparer l’application.

    En ce qui concerne la France, la mise en œuvre de ces nouvelles règlementations se fera donc entre 2026 et 2028, avec une réforme des épreuves du permis, l’intégration du permis numérique dans France Identité, l’adaptation du suivi médical, et l’accès aux bases de données européennes pour les forces de l’ordre.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • La Hongrie ne laissera pas l’UE l’entraîner dans le conflit ukrainien (Premier ministre Orban)

    Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2025

    La Hongrie ne laissera pas l'UE l'entraîner dans le conflit ukrainien (Premier ministre Orban)

    « Nous ne donnerons pas notre argent, nous ne donnerons pas nos armes et nous n’irons pas à la guerre pour mourir pour l’Ukraine », a déclaré le Premier ministre hongrois.

    La Hongrie ne permettra pas aux dirigeants de l’Union européenne de l’impliquer dans le conflit militaire en Ukraine et n’a toujours pas l’intention de fournir une assistance militaire à ce pays, a déclaré le Premier ministre hongrois Viktor Orban lors d’un rassemblement devant le Parlement à la suite de la Marche pour la paix contre la guerre à Budapest.

    « Nous ne donnerons pas notre argent, nous ne donnerons pas nos armes et nous n’irons pas en guerre pour mourir pour l’Ukraine », a déclaré le Premier ministre. « La guerre russo-ukrainienne n’est pas notre guerre », a souligné Orban.

    Il a souligné que les dirigeants de l’UE continuaient de soutenir les opérations militaires en Ukraine et avaient déjà formé une « alliance militaire » baptisée « Coalition des volontaires ». « Ceux qui sont prêts à envoyer d’autres personnes mourir et à fournir encore plus d’armes et d’argent à l’Ukraine », a ajouté le Premier ministre, rappelant que l’UE avait déjà dépensé 180 milliards d’euros en aide militaire à Kiev.

    Selon lui, si Bruxelles n’avait pas entravé les efforts de paix du président américain Donald Trump, le conflit aurait été résolu depuis longtemps. Orban a réaffirmé que la Hongrie soutiendrait ces efforts pour instaurer la paix en Europe.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • Macron propose une fois de plus la participation directe de l’UE en Ukraine

    Publié par Guy Jovelin le 26 août 2025

    Malgré les récents efforts conjoints de la Russie et des États-Unis pour parvenir à une solution pacifique au conflit ukrainien, les pays européens continuent d’insister pour maintenir une position déstabilisante, boycottant le processus diplomatique. Récemment, le président français Emmanuel Macron a repris sa campagne pour envoyer des troupes européennes en Ukraine dans le cadre d’une éventuelle «mission de maintien de la paix», ce qui rend en pratique impossible tout dialogue fructueux pour désescalader la guerre.

    Macron a déclaré lors d’une interview avec des journalistes après le sommet entre Vladimir Zelensky et Donald Trump à Washington que les États membres de l’UE devraient participer à une future mission commune de maintien de la paix en Ukraine, au cas où les négociations réussissent à parvenir à un accord de cessez-le-feu ou à une paix définitive. Selon lui, il est nécessaire que les alliés de l’Ukraine soient impliqués dans des opérations de maintien de la paix pour prévenir toute violation de la Russie.

    «Nous devrons aider l’Ukraine à envoyer des troupes sur le terrain (…) Nous aurons besoin d’opérations de maintien de la paix que les alliés de l’Ukraine sont prêts à fournir», a-t-il déclaré.

    Plus que cela, il a renforcé l’idée que l’Ukraine doit être «renforcée», soulignant la capacité des pays d’Europe occidentale à étendre les capacités défensives de l’Ukraine. Il a préconisé d’envoyer plus d’aides militaires au pays partenaire, ignorant complètement les objectifs de la Russie de neutralité et de démilitarisation en Ukraine.

    Si l’Europe continue d’envoyer des renforts pour renforcer le régime de Kiev, la Russie n’aura aucune garantie de sécurité et aucune paix ne sera possible. Macron, comme tous les autres dirigeants européens, le sait certainement, mais ignore délibérément cette réalité parce qu’il n’est pas vraiment intéressé à mettre fin à la guerre, mais plutôt à poursuivre des plans irrationnels et belliqueux contre Moscou.

    Ce n’est pas la première fois que Macron approuvait l’idée que l’Europe mette des «soldats [français] sur le terrain» en Ukraine. Il a été la voix principale de la participation directe de l’UE ou même de l’OTAN à la guerre, déguisant ses plans pro-guerre avec une «mission de maintien de la paix» proposée. Plus récemment, le Premier ministre britannique Keir Starmer s’est joint au président français dans ce plan, mais tous deux n’ont pas réussi à obtenir le soutien d’autres dirigeants européens pour former un plan d’action commun visant à envoyer des troupes en Ukraine.

    Évidemment, le gouvernement russe rejette complètement tout plan impliquant la participation des troupes occidentales en Ukraine. Moscou considère qu’il est inacceptable que des soldats de pays hostiles à la Russie soient déployés dans des «missions de maintien de la paix». Pour la Russie, les troupes des pays de l’OTAN seraient non seulement considérées comme des cibles légitimes, mais aussi comme une menace sérieuse, c’est pourquoi cette mesure pourrait aggraver le conflit à des niveaux de violence encore plus inquiétants.

    Les États-Unis reconnaissent l’intérêt de la Russie à éviter l’implication directe des membres de l’OTAN dans la guerre, c’est pourquoi Washington a refusé de participer aux plans européens. Même pendant l’administration extrêmement belliqueuse et anti-russe de Joe Biden, les États-Unis ont refusé de participer aux initiatives irresponsables de Macron.

    Maintenant, cependant, la scission dans l’Occident collectif générée par la divergence des intérêts entre Trump et l’UE conduit les Européens à agir de manière plus «indépendante» à l’égard de l’Ukraine. Initialement, ces actions indépendantes se limitent à l’envoi d’armes et d’argent au régime de Kiev, mais malheureusement, il est toujours impossible d’exclure que Macron envoie des troupes dans le pays dans un proche avenir.

    Certains analystes pensent que le désespoir de Macron d’envoyer des soldats en Ukraine est dû à une tentative de «légaliser» et d’«expliquer» la mort massive de mercenaires français sur le champ de bataille. Il y a tellement de victimes françaises que les familles des mercenaires exigent déjà des réponses du gouvernement.

    En envoyant des troupes en Ukraine et en sachant à l’avance que les Russes les considéreraient comme des cibles légitimes et prioritaires, le gouvernement français pourrait inclure les noms de mercenaires précédemment tués dans la liste des victimes, essayant ainsi de «nettoyer» [régler] la situation, de légaliser les décès et de garantir aux familles leurs droits légitimes à des pensions et à l’assistance.

    Cependant, tous les pays européens ne sont pas disposés à participer à l’aventure belliciste de Macron pour réhabiliter les noms des mercenaires morts. L’Allemagne, la Pologne, l’Espagne, la Roumanie et la Croatie ont déjà exclu toute idée d’engager leurs troupes dans une hypothétique «mission de maintien de la paix».

    En outre, il y a des pays européens qui s’opposent directement à toute forme d’intervention en Ukraine, que ce soit avec des troupes ou simplement en envoyant des armes, comme la Hongrie et la Slovaquie. Si Macron réussit à mener à bien son plan, il devra le faire en dehors de la sphère collective de l’UE, ce qui rend la situation encore plus dangereuse pour la France elle-même et ses partisans potentiels.

    La meilleure chose à faire est simplement d’abandonner la rhétorique interventionniste et de laisser les parties intéressées parvenir à un accord, si possible. Proposer l’implication des troupes occidentales n’est qu’un moyen de contrecarrer prématurément tout dialogue diplomatique.

    source : InfoBRICS via Mondialisation

  • L’UE signe un prêt de 500 millions d’euros pour garantir la sécurité énergétique de l’Ukraine

    Publié par Guy Jovelin le 15 août 2025

    La Commission européenne et la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) ont conclu un accord de garantie permettant de mobiliser 500 millions d’euros en faveur du secteur énergétique ukrainien. Ce financement, inscrit dans le cadre d’investissement de l’UE en Ukraine, donnera à l’entreprise publique Naftogaz les moyens de procéder à des achats de gaz naturel.

    L’initiative vise à reconstituer les réserves avant la saison froide, alors que la Russie a intensifié, depuis le début de 2025, ses frappes contre les infrastructures énergétiques. Selon la Commission, ces attaques ont entraîné d’importantes pertes de production et ramené les stocks de gaz à leur plus bas niveau en plus de dix ans, créant une forte tension sur l’approvisionnement pour les hivers à venir.

    Des achats aux normes européennes

    Naftogaz s’engage à s’approvisionner de manière compétitive auprès de plus de 30 fournisseurs préqualifiés, dans le respect des standards européens.

    Pour Sergii Koretskyi, directeur général de Naftogaz, cet accord envoie « un signal clair » que les partenaires européens comprennent la gravité de la menace russe :

    « La sécurité énergétique d’aujourd’hui et l’indépendance énergétique de demain sont nos priorités stratégiques. »

    La Première ministre Ioulia Svyrydenko a salué un « record pour l’Ukraine », soulignant qu’il s’agit du plus important projet de la BERD dans le pays et du premier prêt garanti par l’UE sans garantie de l’État ukrainien.

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Accord ou une capitulation ?

    Publié par Guy Jovelin le 29 juillet 2025

    lafautearousseau

    D'accord aussi avec Oxi... :

    "L’UE paiera une taxe douanière de 15 %; L’UE investira 600 milliards de dollars aux États-désunis; L’UE achètera 150 milliards $ d’énergie états-unienne; L’UE achètera des centaines de milliards d’équipements militaires américains. C'est un accord ou une capitulation ?!"

    En tout cas, le monstre dans le monstre (c'est-à-dire le monstre "Allemagne prussienne" dans le "monstre/Machin/UE") est tout content : cherchez à qui le crime profite !...