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  • Censure partielle de la "loi Philippine" par le Conseil constitutionnel : merci qui ? Merci le RN !

    Publié par Guy Jovelin le 12 août 2025

    Bryan Masson - Activité Parlementaire | Datan

    Maurice Bernard

    Selon un article de Rachel Binhas, mis en ligne hier sur le site de Marianne, le macroniste Richard Ferrand, président du Conseil constitutionnel, aurait fait pencher la balance en faveur de la censure partielle de la loi, dite "Philippine", visant à faciliter le maintien en rétention des étrangers condamnés pour des faits d’une particulière gravité.

    Selon les informations de l’hebdomadaire, « l’atteinte aux principes constitutionnels », en effet, « n’avait rien d’évident » puisque « les Sages étaient particulièrement divisés sur la position à tenir (…), quatre voix (s’exprimant) en faveur de la censure et quatre autres (estimant) la loi conforme à la Constitution ».

    Rappelons que Richard Ferrand, considéré comme un "fidèle parmi les fidèles" du président de la République, a été proposé par ce dernier, le 10 février dernier, pour présider l’institution du Palais-Royal ; mais qu’il n’a pu accéder définitivement à la fonction qu’à une voix près, à l’issue du vote des membres des commissions des Lois des deux assemblées (39 pour et 58 contre, alors que 59 voix étaient nécessaires pour bloquer sa nomination), grâce à l’abstention des parlementaires du RN et de l’UDR d’Éric Ciotti.

    Le député mariniste Bryan Masson avait alors justifié cette position en déclarant "rassurante" la profession de foi du candidat d’Emmanuel Macron lors de son audition par les parlementaires, au motif que ce dernier s’était engagé « en expliquant qu’il ne devait pas y avoir de gouvernement des juges ».

    En matière d’analyse politique, et d’opposition, on fait mieux…

     

    Source : synthesenationale

  • Cette proposition de loi qui menace les catholiques… avec la complicité du RN !

    Publié par Guy Jovelin le 23 juillet 2025

    Cette proposition de loi qui menace les catholiques

    Sanctionner sévèrement quiconque s’écarte de la vision maçonnique de la république française

    L’été est souvent propice à voir surgir des propositions de lois sournoises. Ainsi en va-t-il de la proposition de loi n°1535 « visant à interdire et sanctionner les contenus et discours à caractère anti-républicain ». Dans son émission vidéo, Alain Escada, président de Civitas International, réagit et dénonce une manœuvre qui prend prétexte de lutter contre les Frères Musulmans pour vouloir faire passer une loi qui visera dans les faits d’abord et avant tout les catholiques ainsi que les royalistes. Le texte de la proposition de loi érige en dogmes intouchables les valeurs républicaines – qui ne sont d’ailleurs pas définies, ce qui permet de punir plus largement ceux qui s’opposent à la doxa – et le laïcisme. Cette proposition de loi souhaite l’instauration d’une censure sans précédent et veut sanctionner sévèrement quiconque s’écarte de la vision maçonnique de la république française.

    Avec la complicité du RN !

    Il convient de noter que cette proposition de loi est déposée par 26 députés, majoritairement LR, mais aussi des macronistes de Renaissance et deux députés RN !

    Voici la liste des 26 députés signataires :

    Vincent Jeanbrun (LR), Joël Bruneau (LIOT), Pierre Cordier (LR), Michel Herbillon (LR), Frédérique Meunier (LR), Hélène Laporte (RN), Eric Pauget (LR), Kévin Mauvieux (RN), Constance de Pélichy (LIOT), Nicolas Ray (LR), Jean-Pierre Taite (LR), Mathieu Lefèvre (Renaissance), Charles Rodwell (Renaissance), Eric Liégeon (LR), Jean-Louis Thiérot (LR), Josiane Corneloup (LR), Brigitte Barèges, Emilie Bonnivard (LR), Sophie Ricourt Vaginay (UDR), Virginie Duby-Muller (LR), Marc Chavent (UDR), Guillaume Lepers (LR), Jean-Pierre Vigier (LR), Laurent Wauquiez (LR), Jean-Didier Berger (LR), Christelle Petex (LR)

     

     
     
     
  • Perquisition du siège du Rassemblement National

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2025

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    Hier matin, la brigade financière, accompagnée de deux juges d’instruction, a procédé à la perquisition du siège du Rassemblement National. Ce nouvel épisode judiciaire s’inscrit dans une longue série de dérives qui démontrent une chose claire : lorsqu’on se vend au Système, on finit par en subir les pires conséquences.
    Le RN, en reniant ses fondamentaux, en abandonnant la ligne de rupture avec le Système et en préférant les salons dorés de la République aux luttes populaires, récolte aujourd’hui les fruits amers de cette trahison. La compromission finit toujours par se retourner contre ceux qui croyaient pouvoir composer avec les forces qu’ils prétendaient combattre.
    Marine Le Pen, en s’agenouillant face à l’ordre établi, en refusant de censurer la nomination de François Bayrou — symbole assumé de la continuité du régime Macron — a laissé passer une occasion majeure de bloquer la machine institutionnelle du pouvoir. Cette inaction, cette volonté de respectabilité dans le cadre pourri de la Ve République, a marqué le début d’une stratégie de reddition qui se paie aujourd’hui au prix fort.
    Pire encore : c’est le Rassemblement National lui-même qui a rendu possible l’accession de l’ignoble Richard Ferrand à la tête du Conseil Constitutionnel, une institution censée garantir l’État de droit mais devenue un bastion d’impunité pour les puissants. Ferrand, condamné pour prise illégale d’intérêts, visé à plusieurs reprises pour des faits graves, incarne à lui seul cette République des copains et des corrompus. Là encore, le RN s’est abstenu, a baissé la tête et a trahi l’espérance populaire qu’il prétend incarner.
    Il n’y a aucune stratégie viable face au Système qui ne soit celle de l’affrontement frontal, déterminé, sans compromission. Le combat doit être mené avec la tête haute et les mains propres, comme le faisait le Front National de Jean-Marie Le Pen qui, malgré toutes les persécutions politiques, n’a jamais été empêtré dans ce genre d’affaires judiciaires sordides.
    L’heure est grave. Il est temps de revenir à une ligne claire, de rupture totale avec ce régime en décomposition, sans calculs électoralistes ni soumission au simulacre institutionnel. Le peuple français mérite une opposition digne, incorruptible, intransigeante. Tout le reste n’est que reniement, carriérisme et lâcheté.
    Le Parti de la France est aujourd’hui le seul parti qui combat ouvertement le Système et qui ne se vendra jamais aux forces de la décadence. Fidèle à la Nation, fidèle au peuple, fidèle à ses principes : notre ligne est droite, notre parole est libre, notre combat est total.
     
    Maxime Morlon - Secrétaire général adjoint du Parti de la France